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888.com


Bernd

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La réponse est sur le site off :

La régie commerciale du TFC a été déléguée à EASI Marketing, société d'intégration de services chargée du commercial, marketing, et événementiel pour le sport.

Président : Christophe BOUCHET

Directeur : Laurent MALFETTES

Assistante de Direction : Pascale LECOMTE

Comptabilité/gestion : Laëtitia GOMEZ

Service Commercial : Emmanuel ANDRADE (Responsable), Jean-Jacques N'GOUMOU, Nicolas MARQUIS, Romain DAUCHEL, Hugues CASTAGNA

Tel : 3940 (0,34 /mn)

A noter que la femme de C Bouchet travaille aussi pour le club (sauf erreur de ma part).

Edit : elle a été ou est toujours directrice de TFC Médias mais elle n'apparait pas sur l'organigramme du site off

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Article : [imghttp://img3.free.fr/im/logo_apreuters.gif]Un projet de loi américain ébranle le secteur du jeu en ligne

[2006-10-02 13:15]

LONDRES (Reuters) - Le secteur en pleine croissance des jeux en ligne connaît la pire crise de sa jeune histoire avec le vote, samedi aux Etats-Unis, d'un projet de loi qui coupe leur principale source de revenus.

Les grands spécialistes du secteur cotés à Londres ont dès lundi matin averti sur leurs performances financières et leur capitalisation boursière a fondu de 3,5 milliards de livres (5,2 milliards d'euros) en quelques heures.

PartyGaming, propriétaire du premier site de poker en ligne PartyPoker.com, Sportingbet et 888 ont fait savoir qu'ils se retireraient probablement des Etats-Unis.

"Cet événement constitue un revers important pour notre société, nos actionnaires, nos joueurs et notre secteur", a déploré Mitch Garber, le directeur général de PartyGaming.

La Chambre des représentants et le Sénat américains ont adopté samedi un projet de loi qui interdit aux banques et émetteurs de cartes de crédit d'effectuer des paiements à des sites de jeu en ligne. Le texte doit encore être approuvé par le président George W. Bush pour avoir force de loi.

"L'impact sera énorme pour les perspectives à long terme du jeu en ligne, et en particulier du poker", juge Julian Easthope, analyste chez UBS. "Cela va conduire à un déclin rapide de la fréquentation des sites de poker en ligne".

PartyGaming réalise 78% de son chiffre d'affaires aux Etats-Unis et Sportingbet 62%.

BAISSE DE 60%

PartyGaming, qui compte 19 millions de clients, chutait de 58% en fin de matinée à la Bourse de Londres. Sportingbet, propriétaire des sites sportsbook.com et ParadisePoker.com, accusait la même baisse tandis que 888 perdait 35%. Egalement affecté, l'autrichien bwin.com lâchait 16% à la Bourse de Vienne.

Le secteur des jeux en ligne a connu son véritable essor en 2005 avec l'arrivée en fanfare de ses principaux représentants à la Bourse de Londres, devenue la capitale de cette industrie pas comme les autres.

Les opérateurs de sites tirent l'essentiel de leur chiffre d'affaires des Etats-Unis mais se gardent d'y installer leur siège en raison du caractère ambigu de la législation américaine sur le jeu.

Des dirigeants de Sportingbet et BETonSPORTS ont été récemment arrêtés dans le cadre de lois relevant des Etats et non de l'administration fédérale.

De leur côté, les grands groupes américains de casinos comme Harrah's Entertainment, le géant de Las Vegas, ont dû assister impuissants à l'essor des sites étrangers.

Dans son communiqué, PartyGaming explique que "si le président (Bush) promulgue la loi, la société devra suspendre toutes ses activités de jeu avec de l'argent réel aux Etats-Unis. Une telle suspension aurait un impact considérable sur les performances financières en 2006 et 2007".

Sportingbet a aussi averti sur ses résultats et ajouté que le vote de la loi l'amenait à renoncer à son projet de fusion avec World Gaming.

888 a également fait savoir que le vote de la loi aurait un impact sur ses résultats mais a souligné qu'il restait bénéficiaire et viable.

Les opérateurs de sites entraînent dans leur chute leurs prestataires de services.

Playtech, qui conçoit des logiciels pour le secteur, voit son cours fondre de moitié à la Bourse de Londres en fin de matinée tandis que Neteller, spécialiste des paiements en ligne, s'effondre de 60%.

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Article : [imghttp://img3.free.fr/im/logo_apreuters.gif]Un projet de loi américain ébranle le secteur du jeu en ligne

[2006-10-02 13:15]

LONDRES (Reuters) - Le secteur en pleine croissance des jeux en ligne connaît la pire crise de sa jeune histoire avec le vote, samedi aux Etats-Unis, d'un projet de loi qui coupe leur principale source de revenus.

Les grands spécialistes du secteur cotés à Londres ont dès lundi matin averti sur leurs performances financières et leur capitalisation boursière a fondu de 3,5 milliards de livres (5,2 milliards d'euros) en quelques heures.

PartyGaming, propriétaire du premier site de poker en ligne PartyPoker.com, Sportingbet et 888 ont fait savoir qu'ils se retireraient probablement des Etats-Unis.

"Cet événement constitue un revers important pour notre société, nos actionnaires, nos joueurs et notre secteur", a déploré Mitch Garber, le directeur général de PartyGaming.

La Chambre des représentants et le Sénat américains ont adopté samedi un projet de loi qui interdit aux banques et émetteurs de cartes de crédit d'effectuer des paiements à des sites de jeu en ligne. Le texte doit encore être approuvé par le président George W. Bush pour avoir force de loi.

"L'impact sera énorme pour les perspectives à long terme du jeu en ligne, et en particulier du poker", juge Julian Easthope, analyste chez UBS. "Cela va conduire à un déclin rapide de la fréquentation des sites de poker en ligne".

PartyGaming réalise 78% de son chiffre d'affaires aux Etats-Unis et Sportingbet 62%.

BAISSE DE 60%

PartyGaming, qui compte 19 millions de clients, chutait de 58% en fin de matinée à la Bourse de Londres. Sportingbet, propriétaire des sites sportsbook.com et ParadisePoker.com, accusait la même baisse tandis que 888 perdait 35%. Egalement affecté, l'autrichien bwin.com lâchait 16% à la Bourse de Vienne.

Le secteur des jeux en ligne a connu son véritable essor en 2005 avec l'arrivée en fanfare de ses principaux représentants à la Bourse de Londres, devenue la capitale de cette industrie pas comme les autres.

Les opérateurs de sites tirent l'essentiel de leur chiffre d'affaires des Etats-Unis mais se gardent d'y installer leur siège en raison du caractère ambigu de la législation américaine sur le jeu.

Des dirigeants de Sportingbet et BETonSPORTS ont été récemment arrêtés dans le cadre de lois relevant des Etats et non de l'administration fédérale.

De leur côté, les grands groupes américains de casinos comme Harrah's Entertainment, le géant de Las Vegas, ont dû assister impuissants à l'essor des sites étrangers.

Dans son communiqué, PartyGaming explique que "si le président (Bush) promulgue la loi, la société devra suspendre toutes ses activités de jeu avec de l'argent réel aux Etats-Unis. Une telle suspension aurait un impact considérable sur les performances financières en 2006 et 2007".

Sportingbet a aussi averti sur ses résultats et ajouté que le vote de la loi l'amenait à renoncer à son projet de fusion avec World Gaming.

888 a également fait savoir que le vote de la loi aurait un impact sur ses résultats mais a souligné qu'il restait bénéficiaire et viable.

Les opérateurs de sites entraînent dans leur chute leurs prestataires de services.

Playtech, qui conçoit des logiciels pour le secteur, voit son cours fondre de moitié à la Bourse de Londres en fin de matinée tandis que Neteller, spécialiste des paiements en ligne, s'effondre de 60%.

Oula, moi qui comptait ouvrir un compte sur Neteller. En tout cas j'espere que je pourrais continuer à faire du poker en ligne. En plus, comment ils peuvent interdir un log au states qui fonctionnent sur le net ? En france, c'est illégal en argent réel, mais on peut quand même y jouer...

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Lyon : Communiqué du club

Damien MERCEREAU - mardi 03 octobre 2006 - 08h52

L'Olympique lyonnais a publié lundi sur son site Internet (www.olweb.fr) un communiqué sur les sites de paris en ligne.

Communiqué de l'OL

Certains clubs dont le Toulouse FC, ont exprimé brièvement leur souhait que l'Olympique Lyonnais et en particulier Jean-Michel AULAS les aident davantage dans la défense des intérêts de tous les clubs au regard de la situation de monopole dont bénéfice la Française des Jeux.

L'OLYMPIQUE LYONNAIS rappelle qu'il est parfaitement solidaire de la position générale du football français, d'une part en étant l'un des initiateurs d'une action contre les sites de paris en ligne pour utilisation abusive du calendrier de L1, des clubs et de leurs logos, et des joueurs, d'autre part en proposant d'interroger la Commission Européenne sur les excès monopolistiques dont bénéficierait la Française des Jeux et qui ne seraient pas comparables avec la situation dans certains pays européens dans lesquels les clubs de football perçoivent des revenus récurrents, à l'instar de l'Italie avec leTotocalcio.

olweb

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Lyon : Communiqué du club

Damien MERCEREAU - mardi 03 octobre 2006 - 08h52

L'Olympique lyonnais a publié lundi sur son site Internet (www.olweb.fr) un communiqué sur les sites de paris en ligne.

Communiqué de l'OL

Certains clubs dont le Toulouse FC, ont exprimé brièvement leur souhait que l'Olympique Lyonnais et en particulier Jean-Michel AULAS les aident davantage dans la défense des intérêts de tous les clubs au regard de la situation de monopole dont bénéfice la Française des Jeux.

L'OLYMPIQUE LYONNAIS rappelle qu'il est parfaitement solidaire de la position générale du football français, d'une part en étant l'un des initiateurs d'une action contre les sites de paris en ligne pour utilisation abusive du calendrier de L1, des clubs et de leurs logos, et des joueurs, d'autre part en proposant d'interroger la Commission Européenne sur les excès monopolistiques dont bénéficierait la Française des Jeux et qui ne seraient pas comparables avec la situation dans certains pays européens dans lesquels les clubs de football perçoivent des revenus récurrents, à l'instar de l'Italie avec leTotocalcio.

olweb

Ouais d'un côté je critique ce type de site, histoire de faire bien lèche boule. Mais de l'autre j'essaie de récupérer du pognon à la FDJ.

JMA n'est pas solidaire des autres, là, il se fout dfe leur gueule <_<

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Oula, moi qui comptait ouvrir un compte sur Neteller. En tout cas j'espere que je pourrais continuer à faire du poker en ligne. En plus, comment ils peuvent interdir un log au states qui fonctionnent sur le net ? En france, c'est illégal en argent réel, mais on peut quand même y jouer...

Pour l'instant, cette proposition de loi n'a pas encore été voté (même si ça devrait être le cas je pense) et de toute façon, elle ne s'appliquerai qu'aux résidents US.

La plupart des sociétés de jeu d'argent online attendaient cette décision depuis l'éclatement de la bulle internet de toute façon. Et puis, la plupart de ces sites ont une clientèle mondiale, et les clients américains ne représentent qu'une minorité alors leur résultats n'en seront que peu affectés (même si la nouvelle à fait lourdement chuté leur cours de bourse au NYSE).

Je pense qu'il y a très peu de chances qu'une loi équivalente voit le jour en Europe ... enfin j'espère <_<

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Invité GoTFC

Bruxelles est plus "libéral" que les USA, on va se les faire la FDJ , je vous le dis.

Dès la décision de Bruxelles prise (et positive), on retrouvera nos belles PUBs et la FDJ ne pourra rien faire, juste se faire Me**** (censuré) <_<

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Invité tou_lou_sain

Le jour où la FDJ perdra le monopole des jeux c'est l'Etat Français qui sera le plus gros perdant.

Ce manque à gagner comment croyez-vous qu'il va être comblé?

Par la fiscalité.

Et qui payera?

Nous tous.

Petit à petit la règlementation pour tout ce qui touche au net va se mettre en place : ces dernières années la technique est allée plus vite que la mise en place de lois gérant commerce et jeux en ligne.

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Article : [imghttp://img95.imageshack.us/img95/8403/1bn4.png]Une LFP de rêve

Un merci à la Ligue de Football Professionnel qui a très lourdement sanctionné (une remontrance !!) le Président de l'OL pour cause d'approche illicite de Franck Ribéry avant le Mondial 2006 en Allemagne. Un grand merci pour avoir donné un match de suspension et une grosse amende (15 000 !) à François Clerc pour n'avoir pas respecté une signature qui pourtant était conforme.

Et encore un très grand merci d'avoir interdit toute forme de publicité pour jeux et paris en ligne pour les clubs de Ligue 1 et 2 alors que la Commission européenne ne s'est toujours pas positionnée Pffttt ! Si on ajoute le couac en Coupe de la Ligue qui consistait à favoriser Lyon et Bordeaux en Ligue des Champions en leur épargnant le 1er tour en oubliant prodigieusement Lille Les décisions de la LFP ne sont plus surprenantes, elles deviennent risibles

On a les journaux "avec nous", une fois n'est pas coutume... <_<

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Bruxelles est plus "libéral" que les USA, on va se les faire la FDJ , je vous le dis.

Dès la décision de Bruxelles prise (et positive), on retrouvera nos belles PUBs et la FDJ ne pourra rien faire, juste se faire Me**** (censuré) ;)

La politique de la concurrence à Bruxelles est beaucoup moins "libérale" comme tu dis que lois Antitrust aux ETats Unis.

Mais pour le coup, ici cela n'a rien avoir avec ça, parce que la loi a été proposée par le congrés tandis que la Commission Européenne va juger une question d'atteinte à la concurrence par la FDJ et ne jugera pas le problème des jeux d'argent sur internet sur le fond.

Donc à priori, la décision de la Commission devrait être favorable à ???.com

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La politique de la concurrence à Bruxelles est beaucoup moins "libérale" comme tu dis que lois Antitrust aux ETats Unis.

Mais pour le coup, ici cela n'a rien avoir avec ça, parce que la loi a été proposée par le congrés tandis que la Commission Européenne va juger une question d'atteinte à la concurrence par la FDJ et ne jugera pas le problème des jeux d'argent sur internet sur le fond.

Donc à priori, la décision de la Commission devrait être favorable à ???.com

PartyGaming et 888 sont les premiers acteurs du secteur à avoir annoncé leur retrait des Etats-Unis.

La tendance est tout autre de ce côté-ci de l'Atlantique puisque Charlie McCreevy, le commissaire européen au Marché intérieur, a annoncé mardi que la Commission européenne s'en prendrait cette semaine aux monopoles sur les jeux en Europe. "Ce sera au tour de l'Autriche, de la France et de l'Italie jeudi, si tout se déroule comme prévu", a-t-il indiqué à des journalistes, ajoutant que 15 ou 16 pays membres pourraient être concernés.

Paris a fait l'objet de vives critiques des sociétés de paris après l'arrestation le mois passé de deux responsables de Bwin.com lors d'une conférence de presse au centre d'entraînement de l'AS Monaco, dont la société autrichienne est le sponsor

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Invité tou_lou_sain

Aucune décision ne sera entérinée avant plusieurs mois voire plusieurs années.

L'Etat français ne lâchera pas (à juste raison) comme ça les milliards d'euros qui entrent dans ses caisses.

J'ai bien peur qu'il nous faille trouver un autre sponsor.

D'ailleurs aujourd'hui c'est le monopole du PMU qui est mis en exergue par Bruxelles.

Et pas la FdJ ...

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Aucune décision ne sera entérinée avant plusieurs mois voire plusieurs années.

L'Etat français ne lâchera pas (à juste raison) comme ça les milliards d'euros qui entrent dans ses caisses.

J'ai bien peur qu'il nous faille trouver un autre sponsor.

D'ailleurs aujourd'hui c'est le monopole du PMU qui est mis en exergue par Bruxelles.

Et pas la FdJ ...

Jeux en ligne: la France mise en demeure par Bruxelles

Par Christophe Guillemin

ZDNet France

12 octobre 2006

Juridique - Lexécutif européen ouvre une enquête sur le monopole de la Française des jeux et du PMU sur les jeux dargent. La France est suspectée de ne pas respecter les réglementations européennes sur la libre circulation des services.

Comme attendu depuis la fin septembre, la Commission européenne s'attaque au monopole d'État dont bénéficient la Française des jeux (FDJ) et le PMU sur les jeux d'argents, dont les paris en ligne. Bruxelles a ouvert une enquête qui cible la France, mais aussi l'Autriche et l'Italie.

Le collège des Commissaires a validé, ce 12 octobre, le principe de mettre en demeure la France pour entraves supposées à la concurrence. Des demandes officielles d'informations, ou «lettres de mise en demeure», seront reçues dans les jours à venir par les États concernés qui auront alors deux mois pour répondre, indique Bruxelles.

La Commission souhaite vérifier que le monopole de la FDJ et au PMU est compatible avec la libre circulation des services garantie par le traité CE (dont la dernière version est celui de Nice de 2001). L'ouverture de ce type d'enquête ne se fait jamais sans de fortes présomptions et correspond à la première étape d'une procédure pour infraction.

La DG Markt en première ligne

Le dossier a été monté sur la base de plusieurs plaintes par la direction générale du Marché intérieur et des services (DG Markt), qui met clairement en cause le système français. «Soit cette activité est considérée comme dangereuse et donc interdite à tout le monde. Soit elle est considérée comme non dangereuse et ouverte à tous. Soit elle présente des risques, et alors des restrictions peuvent être imposées aux acteurs. Mais elle ne peut être confiée exclusivement à certaines entreprises», nous confiait récemment son porte-parole.

Bruxelles espère parvenir à une «solution rapide et satisfaisante au problème». Dans le pire des cas, elle pourrait traîner la France devant la Cour de justice des communautés européennes et réclamer une amende. La plupart du temps, l'État poursuivi se conforme aux règles européennes avant qu'une amende soit prononcée

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