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Gollum

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Tout ce qui a été posté par Gollum

  1. grand oral de quoi ? La réponse est "oui".
  2. Doberman m'a déjà posé cette question, je crois. Je te rassure, au début, je pensais que ça ne causait que de foot. Et puis, chemin faisant, je me suis diversifié. Tu es d'ailleurs autorisé à engueuler Rufus et Planino, ils m'ont initié, ces cons . Bon, je sais que tu ne fais pas partie de mes fans alors je vais te rassurer : (1) un jour sans doute, je me ferai discret et (2) un forum est un... optimum de Pareto. On peut y écrire ce qu'on veut sans faire chier quiconque puisque personne n'est obligé de lire ce que tu écris. J'en déduis qu'au fond, je ne dérange personne ; ou seulement ceux qui aiment être dérangés...
  3. 1. Tu réduis donc le libéralisme à la théorie "néoclassique" dans sa version la plus primitive ? On t'a enseigné ça où ?? . Tiens pour ta gouverne, Léon Walras, le père de cette théorie, était socialiste. Et les libéraux de tous pays et de toutes époques ont évidemment vilipendé ce fantasme théorique que constitue la "concurrence pure et parfaite" (qui signifie en fait "absence de concurrence"). 2. La notion d'optimum s'applique aux prix sur un marché (le prix "optimal" est celui qui maximise les échanges entre demandeurs et offreurs). Ton exemple est donc inapproprié puisqu'il porte sur une hypothétique politique des revenus (mais intéressant : il n'y a que dans les régimes non libéraux que les oligarchies se font un max de blé pendant que le petit peuple vit dans la misère). 3. D'ailleurs, comment ferait un riche pour l'être autant (10.000) quand ses "clients potentiels" ne pèsent réunis que 99 euros par jour ? Ton riche ne peut pas être entrepreneur, il n'a pas de marché. A moins de bénéficier d'une aide publique internationale détournée à son profit ou de monopoliser une matière première quelconque, ça ne fonctionne pas. Telle est donc ta lecture de la main invisible ? C'est lettré -Pareto, il faut connaître- mais évidemment inopérant sinon absurde... Mais si souvent enseigné de la sorte, probablement... Heureusement, demain matin, tu pourras boire ton café tranquillement et tout ira mieux. . J'avais compris et tu n'es pas le seul. Mais bon, toi au moins, tu débats. j'en fais aussi des comme ça. il faut dire que je poste beaucoup .
  4. je savais que ça plairait.
  5. Mes réponses précédentes ne l'étaient-elles pas ? Tu sais que si je te réponds sur tous ces points, on va flooder à mort ?? Alors, en faisant de mon mieux pour pas être trop long ( ) : 1. Oui, le communisme est politiquement mort (parmi les rescapés, tu oublies la Corée du Nord) et c'est sa faillite manifeste qui le rend "obsolète" aux yeux de ceux qui, notamment, chez nous, le portèrent au pinacle des décennies durant. Ce qui est amusant, ce sont les tentatives de sauvetage idéologique de cette doctrine non seulement liberticide mais aussi, et cela est beaucoup moins souvent mentionné, économiquement désastreuse (et je ne parle pas du bilan écologique...). Ainsi, les pays communistes sont collectivisés à 100% ; nous le sommes à 50% (c'est le taux des impôts dans le PIB). Ma question est : on s'arrête où ? Il me semble que notre gauche a quand même en tête un "modèle économique" où la puissance publique ne s'arrête pas de prélever et de dépenser, sans la moindre limite (enfin, c'est en tout cas ce qu'elle donne à croire. Aux affaires, ce sera une autre histoire...). En fait, quand je mets l'oreille dans le discours politique, j'ai le choix entre deux options : "on va taxer les riches et réguler le capitalisme pour pouvoir dépenser plus" (la gauche) et "on va dé-rembourser et augmenter les cotisations pour sauver nos régimes sociaux" (à droite). La première posture est totalement démagogique ; la seconde est insoutenable si elle ne s'accompagne pas de réformes structurelles (que la droite ne sait pas mener, pour peu qu'elle le puisse). 2. Je ne crois pas une seconde que l'extrême gauche française soit autre chose que léniniste. Elle fait plus ou moins semblant d'être fréquentable, c'est tout. Le parti des travailleurs ou LO ne font pas mystère de leur modèle de société. Et le NPA est une sorte de parti communiste à la sauce gauchiste qui se contente de casser du sucre sur le système sans en inférer le moindre embryon de proposition politique. Et pour cause... J'y ajoute le FN : le discours économique de Marine est absolument édifiant !! 3. oui, je rejette le marxisme (en dépit du respect que j'ai pour la profondeur de l'oeuvre de Marx) car il est assis sur une théorie fausse de l'auto destruction du capitalisme et un fantasme politique pur, celui de la lutte des classes. 4. Aspirer à ce que tout le monde ait un niveau de vie décent est évidemment irréprochable. Mais en redistribuant sans limite aux uns ce que gagnent les autres, on casse le moteur du développement -l'activité- qui permet précisément d'atteindre cet objectif. Voilà l'effet pervers de nos "économies mixtes" qualifiées à défaut d'autre chose de "social démocrates". 5. Qu'entends tu par "droite française liberticide" ? J'aurais tendance à souscrire à ce jugement (à condition de ne pas penser que la gauche l'est moins) mais encore faut-il savoir ce qu'il recouvre. Ni la droite, ni la gauche françaises ne sont libérales en tout cas, voilà qui est certain. Bon, sur les points 2 à 5, je me trouve pas mal. Désolé pour le point 1... Quant à ce que le marxisme a de persistant, dans notre débat, je dirais (1) une lecture de nos rapports sociaux en termes de lutte des classes et (2) un anticapitalisme primaire. Et puis, cette idée lancinante que les individus doivent être "dirigés" par une puissance supérieure (l'Etat) même si c'est plus du léninisme, en l'occurrence que du marxisme... Je me suis beaucoup censuré pour faire court... . Mais tant que mon verbiage n'empêche pas ta crevette de rouler sur son tapis, l'essentiel est probablement sauf
  6. Ah, si tout était de ce tonneau . Mais en même temps, tout ça est un peu court (ce n'est pas un reproche)... Il y a encore beaucoup de "marxisme" dans l'idéalisme des socialistes français -c'est bien, d'ailleurs, l'une de leurs grosses difficultés politiques- et dans "nos" manières de concevoir les problèmes de gouvernement et de société. C'est vrai que, quant aux finalités -appelons ça "humanisme" ou selon ton terme, émancipation- social démocratie et libéralisme sont fondamentalement sur la même ligne. Mais après, il y a "tout ce qui ne se voit pas", les conséquences cachées des politiques, les effets pervers, etc. etc. Mais encore une foi, si la France cessait d'être cette "Union soviétique qui a réussi" pour s'aligner sur une social démocratie de type "nordique", je pense qu'on ferait quelques progrès significatifs. Ce n'est pas mon idéal mais n'étant pas fanatique (enfin, pas totalement), je sais me contenter de relativement peu. Cher bison danois, ce que tu fais est déloyal. Je n'ai d'ailleurs lu que les premières lignes et je n'irai pas plus loin (plus tard). Car comme tu es psychologiquement intuitif, tu as parfaitement cerné certaines de mes pathologies les plus criantes. Tu t'es dit, "avec pareto, il va passer le stade de la demi molle et on l'arrête plus jusqu'à demain". Je loue évidemment cet intérêt soudain pour la théorie économique libérale mais là, vraiment, j'ai des trucs à faire. D'autant plus depuis que je me sais fiché !!! Et mettre un sachet de cocaïne devant le nez d'un mec qui sort de cure de désintox, ça te fait jouir, aussi ? Et ça se dit humaniste...
  7. C'est tout à fait juste : je te donne acte que mon "comme souvent" était déplacé. Alors : 1. Les plans d'ajustement structurel ne sont pas la panacée universelle, c'est évident. Mais la question est : pourquoi de tels plans ont-ils été nécessaires ? A quoi succèdent-ils, historiquement ? Réponse : à 30 ans d'une aide publique au développement absolument et totalement et au surendettement corrélatif ("à la grecque") de nombreux pays du "sud". On a oublié qu'à l'époque, le Mexique et l'Argentine étaient en état de faillite consommée. C'est d'ailleurs l'exemple du voisin argentin qui a décidé le gouvernement chilien (Pinochet n'était déjà, à l'époque, qu'une marionnette) à adopter une politique "libérale" à la "mode Chicago" (l'un des soucis que je rencontre, sur ce forum, c'est que la culture libérale des uns et des autres est évidemment peu développée et donc, faut déjà s'entendre sur ce qu'on entend par "libéral"). Le bilan économique du Chili des années 1980 est plutôt positif et il est même probable que les plans d'ajustement ont permis ou facilité "l'émergence" de certains pays du même nom. Mais leur bilan est contrasté, oui. 2. Je te rejoins, bien entendu. A condition de s'imposer des limites claires dans la redistribution, lorsque impôts et dépenses prennent un tour insoutenable. La Suède l'a fait au début des années 1990 et ce n'est pas un pays que l'on qualifiera de libéral. Ce qui m'inquiète, à propos de la France, c'est que ni "l'idéologie dominante" ni, en conséquence, nos gouvernants, ne semblent prêts à prendre la mesure de ce qui se passe. Et la plupart des arguments que je développe sur ce forum s'adressent à des poncifs d'ultra gauche particulièrement tenaces. Pas à des propositions relevant du socialisme à la suédoise... D'où mon détour par la genèse "étatiste" des régimes totalitaires... euh, j'en conviens hélas. Mon naturel indolent... Mais t'inquiète, je bosse aussi tard le soir ( ).
  8. Ouf !!! J'ai un moment pensé que tu allais me "forcer" à discuter et vu que je résiste difficilement à ce type de tentation ... Mais bon, si je suis bien ton emploi du temps de la semaine, le dimanche, tu ânonnes et le lundi, tu te branles. Je ne te jette pas la pierre, l'essentiel est bien de se faire plaisir .
  9. Bon, la caricature sur la main invisible, c'est convenu. Quant à ce qui te fait dire que Jospin fut l'un des bons élèves de l'Europe, je veux bien des précisions. Il me semble plutôt que Jospin a laissé passer l'occasion de réformes que la forte croissance économique de l'époque -portée par la bulle internet (et donc provisoire)- aurait rendues moins pénibles. Mais ce qui est sûr, c'est que quand j'examine n'importe quel bilan de n'importe quel homme de droite ou de gauche de ces 30 dernières années, j'en reste . Je ne te dirai donc pas que Jospin est meilleur ou moins bon qu'un autre ; pour moi, ça revient à causer des qualités techniques respectives d'Arles Avignon et de Boulogne sur mer . En revanche, ce que tu dis du pro capitalisme de Rocard -enfin, c'est ce que je comprends car je n'ai pas lu la référence dont tu parles- je trouve ça potentiellement instructif. Si tu peux développer, ça peut même carrément devenir intéressant... mais pour l'heure, faut que je déconnecte un peu.
  10. Ooops, si tu reviens à la charge, on n'a pas fini. Bon, quant au second point, je n'ai pas eu à me forcer, il m'a suffi de te lire... Le socialisme nazi (que l'on devrait qualifier de "racial-socialisme") n'a évidemment pas les mêmes bases "fantasmatiques" que le communisme, ça va sans dire. Mais comme lui, (1) il pose que la "société" s'impose à l'individu, (2) il asservit l'économie aux besoins de l'Etat et (3) il pourvoit aux "besoins essentiels" de ce qu'il considère être "sa population". On retrouve certaines constantes de cette "façon de voir les choses" dans les discours d'extrême gauche, aujourd'hui (chez moi, l'extrême gauche commence avec Mélenchon) et, bien entendu, chez Marine Le Pen, dont le discours économique a bel et bien quelque chose de "fasciste" (donc de gauche...). Pointer du doigt les "riches", les "capitalistes", les "banques" -tout ce beau monde qui fut promptement assimilé, jadis, à la "juiverie internationale"- ça aurait même comme un relent d'anathème totalitaire. Et ces relents là, dieu sait que ça pue... Bien sûr, la plupart des gauches européennes sont bien loin de céder à de telles tentations populistes. Mais chez nous, faut croire que ça fonctionne... Enfin, un peu seulement. De ce point de vue, d'ailleurs, le score de Hollande a quelque chose de rassurant.
  11. Comme souvent, tu es un tantinet ( ) caricatural ; inévitable, me diras tu, quand on postes trop court sur de tels sujets, probablement. 1. Bon, sur le point 1, j'avoue lire et relire, il n'y a rien à en tirer. Soit tu fabules, soit l'absence d'arguments rend la sentence creuse. 2. Oui, en 1980, au moment d'ailleurs où la dictature -féroce dans les années 1970- s'adoucit. Mais qu'en déduis tu, au juste ??? C'est parce que tu es un intuitif et que tu as donc compris que je n'en avais pas. C'est d'ailleurs ce constat, j'imagine, qui t'empêche de répondre aux sollicitations que je t'adresse ou aux questions que je te pose. Car je ne puis évidemment imaginer que tu sois aussi dépourvu d'arguments que nombre de tes co-religionnaires. Et pourtant, mon dernier post était gentil...
  12. et je crois deviner l'interprétation que tu as conçue de ces débats... attention : fascisme et nazisme sont aussi des socialismes, comme leur nom l'indique (enfin, celui du nazisme en tout cas). La question est : est ce qu'une social-démocratie (un socialisme modéré) peut dégénérer en socialisme totalitaire ? Ma réponse : j'espère que non .
  13. Mais non, mais non : je n'attaque que quand on est vindicatif à mon endroit (et encore, pas toujours parce que des fois, c'est tellement débile que ça vaut même pas une réponse). En l'occurrence, tu es sincère et pondéré ; et sur le fond, bien entendu que tes convictions sont respectables, ça va même de soi. Le truc, c'est que les (vrais) libéraux ont fondamentalement les mêmes. Mais "ils" n'ont pas la même vision que toi des moyens à mettre en oeuvre pour améliorer ce pauvre monde. En gros et à moins de me caricaturer, si tu veux te friter avec un mec qui trouve que la misère, c'est cool, trouve toi un autre pigeon. Je déplore juste (1) que le socialisme soit associé à l'humanisme alors que cette idéologie a enfanté les régimes les plus monstrueux de l'histoire humaine et (2) qu'il ait statut de pouêt* ou du moins, "paradigmatique". C'est que le socialisme a gagné la bataille des idées et refuse évidemment d'acquitter la rançon de sa gloire. D'ailleurs, parce que je sais que t'es un type intelligent, si ce sujet t'intéresse -la bataille des idées- je peux te conseiller un vraiment bon bouquin bien écrit et pas libéral pour un sou qui en cause de manière instructive. Enfin, oui, la tonalité "religieuse" du socialisme bien pensant m'agace. Je connais des mecs très à gauche qui partagent cette aversion. N'est-il pas paradoxal, tout de même, de se goberger sans cesse de laïcité et de passer son temps à psalmodier, sermonner, moraliser en permanence, sur un ton de chanoine s'adressant à ses paroissiens ? D'ailleurs, toi même n'as tu pas tendance à tenir tout discours contraire pour quelque chose relevant de "l'hérésie" ? Après, au PS, ya des mecs constructifs qui ont des idées intéressantes à faire valoir par exemple quant à la manière de "sécuriser" la protection sociale avant que la faillite n'intervienne. Une réflexion "à la scandinave", en quelque sorte. Pas une éructation de fanatique entreprenant de gauchiser tant et plus un pays qui croule sous l'impôt et la dette publique.
  14. Oooops, attends, je vais pas plus loin, je me sens soudain comme touché par la grâce. Qu'est-ce que tu préfères ? Que je me prosterne en direction de la Mecque (comme ça tu pourras me botter le cul) ou que je m'agenouille devant un crucifix ? Parce que c'est beau ce que tu dis, tu sais . re .
  15. Dis donc, t'es courageux de continuer à discuter avec moi !! Ton côté charitable, sans doute. Non, bien entendu, une social démocratie tout à fait civilisée est pensable -j'ai maintes fait fois allusion au "modèle scandinave"- mais en l'occurrence, Floolf avait l'air de sous entendre que la "malbouffe" était inhérente au libéralisme. Ce qui est évidemment faux, une économie libérale se traduisant d'ailleurs par une nourriture très différenciée. D'ailleurs, une partie de la malbouffe est très largement subventionnée par les politiques publiques (la politique agricole commune). Mais ce sera pour une autre fois, j'interviens ici en pointillés ; les posts du jour étant consacrés aux primaires socialistes, tout ce qui relève de l'anti socialisme primaire est incongru. Enfin, dans ce bistrot, il est toujours malvenu mais aujourd'hui, je suis presque de cet avis ...
  16. . Joli mais ça ne fonctionne qu'à condition de prévoir un arbitrage au-delà de la partialité, genre, interdire aux Argentins de plaquer. Mais il n'y a que des arbitres impartiaux sur ce forum, donc... Je me demandais qui la relèverait. Tu sais, en URSS, les gens bouffaient ce qu'ils pouvaient, quand ils pouvaient et ce n'était pas un régime libéral. On confond souvent "productivisme" et "libéralisme". Enfin on confond plein de choses, ce n'est pas grave .
  17. Ah, tiens, j'ai bien fait de venir ! Bon, évidemment, tu ne donnes pas dans l'hystérie de tes petits camarades. L'âge, sans doute ou une pondération plus naturelle. Mais dès que tu abordes la chose politique, une fois le packaging retiré, les mêmes inepties affleurent. Comparaison outrancière (libéralisme = apartheid ), partialité des références (quel rapport existe t-il, historiquement entre "le corps de millions de gens" et le socialisme ? Tu as toute la semaine pour plancher sur le sujet) et puis pour le reste, une espèce de grand n'importe quoi que le fait de poster avant le café du matin peut sans doute expliquer. Quant aux sermons qui te tiennent lieu de prêt à penser, il est normal que leur caractère de pouêt* t'échappe. Quand la société de consommation t'incite à bouffer de la merde, on a parfois tendance à ignorer qu'existe, ailleurs, une cuisine rare, savoureuse au palet et de surcroît, bonne pour la santé. Qu'est-ce qu'un type dont la bonne conscience alimente manifestement les fantasmes masturbatoires vient, lui, chercher sur un forum de supporters de foot ? J'ai une petite idée te concernant mais comme d'habitude, ton avis m'intéresse .
  18. Je compatis, quand même... Après avoir failli être présidente en 2007, elle aurait pu être première dame de France en 2012 ; je comprends qu'elle ait les boules.
  19. je crains que non... J'attends aussi, comme tout le monde.
  20. Mais non. En lisant tes posts, ils se prendraient d'affection pour cette petite planète qui a si gentiment accueilli l'un des leurs .
  21. Ah, je me demandais quand ça commencerait à devenir intéressant... Je te concède qu'étant jeune, il est normal que tu en saches un peu moins qu'un plus vieux et en conséquence, mes ne sont pas charitables. Mais comme, à parcourir tes posts, tu ne te gênes pas pour adopter un ton méprisant à l'égard de nombre de tes contemporains, une petite fessée le cul nu ne peut que te faire du bien. Et puis, ya 30 ans, 20 ans, 10 ans, j'entendais les mêmes inepties que celles que tu me sers aujourd'hui. 30 ans de mondialisation, d'effondrement du communisme et, pour notre pays, de croissance atone, de sous investissement chronique, de fuite en avant dans les déficits et l'impôt, de chômage endémique, d'exclusion sociale croissante. Et les mêmes illuminés qui ânonnent leurs versets socialistes, encore et toujours, sempiternellement, au mépris des évidences et des réalités. Tu es un croyant. Tu cherches à valider ta foi, coûte que coûte. Yaka taxer plus, yaka donner plus de moyens, yaka redistribuer plus. De yaka en yaka, quand l'impôt représentera 80% du PIB et la dépense publique, 100%, tu trouveras encore moyen de dire qu'il faut aller plus loin dans le sens de la collectivisation. Or, puisque tu me sors le raisonnement contrefactuel classique ("on peut pas prouver que si on change un truc qui existe, ça ira mieux"), je porte à ta connaissance que l'effondrement du communisme est d'abord un échec économique. Et les soviétiques, pourtant, ils étaient redistributifs à 100%. Je connais peu d'expériences historiques aussi édifiantes... Mais ce n'est pas grave, continue à te draper dans ta foi et à mépriser le principe de rationalité. Pour ma part, je vous rends à votre topic de papouilles verbales entre happy few hystéro-gauchistes car hier était hier et aujourd'hui, j'ai autre chose à faire... Mais c'était édifiant, j'ai passé un bon moment !! Et puis, je reviendrai plus tard lire vos conneries, c'est tellement rafraîchissant, au fond .
  22. je vais pas tarder puisque ya les Blacks qui entrent en piste... Les arguments, je te les ai donnés (relis, ya plein de faits, de chiffres). Tandis que toi, tu es sur le registre des intentions, des pétitions de principe et du déni de logique. Normal : ton raisonnement est biaisé à la base puisque tu n'as pas été biberonné aux bons concepts, aux bons raisonnements, aux bonnes théories. Tu es jeune, donc, tu peux encore t'en sortir, il n'est pas trop tard...
  23. Tu es caricatural au possible. Décidément, tu aurais dû être entrepreneur. Quand ya une connerie à dire, t'es toujours le premier sur le marché même si Baker, c'est vrai, te fait une concurrence quasi déloyale, à l'occasion. Et d'une, le "seuil de pauvreté" est plus généreusement calculé aux USA qu'en France (un pauvre US, selon les stats, a un revenu plus élevé que le "pauvre" français). Et de deux, quantité de pauvres totalement désocialisés sont absolument incapables de bénéficier des aides dont tu parles, à cause des démarches qu'elles impliquent. Et de trois, les USA disposent de quantité d'assurances sociales (le new deal) et d'une sécurité sociale pour les pauvres (Medicaid). La vérité est que la France superpose un système "assistantiel" (qui a sa justification) à un système pseudo assurantiel qui, lui, ne remplit pas sa fonction "solidaire" et devrait donc être largement privatisé. Ne serait-ce que pour laisser respirer les entreprises et que celles-ci puissent créer les emplois qui bénéficieraient aux catégories les plus vulnérables de la population. Tu veux pas nous causer d'un sujet que tu connais parce que franchement...
  24. Ben oui : le secteur privé compte pour 50% de l'offre des maisons de retraite, en France. Et c'est le segment (notamment lucratif) qui se développe le plus. En outre, ne confondons pas deux choses : la production et le financement. Il n'y a évidemment aucune nécessité à ce qu'un établissement de quoi que ce soit soit public. L'enjeu serait plutôt de permettre aux "pauvres" d'avoir accès aux prestations essentielles, dans ta logique. Mais dans la mesure où nos assurances sociales sont déjà en faillite -et nos collectivités publiques aussi- il n'y a évidemment plus un sou qui vaille pour financer de manière sérieuse le risque "dépendance"... et sinon, tu ne t'arrêtes jamais ?? Tu dors pas la nuit ?
  25. bon, c'est bien ce que je disais. Toi, tu acceptes la dictature au nom du "bien". Moi, je pense qu'on fait d'autant mieux le bien que ce n'est pas de façon dictatoriale. En outre, la plupart des prélèvements fiscaux et sociaux, dans ce pays, ne bénéficient pas aux personnes les plus dans le besoin. La preuve est dans ce que tu dis : notre économie hyper socialisée (à l'aune du standard occidental : si on a le modèle soviétique en tête, en revanche, on est ultra libéral) produit autant de pauvres que les USA (en % de la population). :lol2: Mais tu t'arrêtes jamais !!! C'était une opération de com' du sieur Kouchner et elle n'a naturellement servi à rien. Le riz que bouffent les affamés Somaliens, il est fourni par les Nations Unies ; et s'il n'arrivait pas aux bénéficiaires, c'est que les clans somaliens l'empêchaient de quitter les entrepôts de mogadiscio... Ce sont les GI's qui ont permis de débloquer le problème. D'autre part, si l'intervention publique se limitait à la construction et l'entretien des routes, je crois qu'on serait nombreux à la tolérer .
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