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Mister Yellow

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Non mais l'objectif de la droite c'est pas que l'EN fonctionne correctement. C'est le contraire, plus l'EN aura des problèmes, plus le privé (les copains) prendra des parts de marché.

Donc c'est assez naïf de parler d'incompétence ou je ne sais quoi. Ces gens là savent ce qu'ils font et pourquoi ils le font.

Idem pour l'hopital & co.

 

 

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il y a 48 minutes, Ekelund a dit :

vérifier quoi ? que ses gamins sont dans le public et pas dans le privé ?

à mon avis ils ont aussi oublié de vérifier pour tous les ministres de l'éducation précédents depuis un demi-siècle alors :lol2: 

faut pas se tromper de problème : le souci ce sont ses propos, pas l'endroit où  ses gamins sont scolarisés

Que les ministres ne comprennent pas leur pays parce qu'ils font partie d'une élite qui ne partage pas le quotidien des concitoyens, c'est plutôt un problème.

Le fils Hollande était dans le public. Le public du 16ème, certes, mais le public quand même.

il y a 46 minutes, Facteur_Social a dit :

ils savent très bien où sont les gamins d'un tel et un tel : ils se connaissent, c'est un milieu, la bourgoisie elle a fait ses études avec Macron, c'est la nièce de Nathalie Saint Cricq et d'Alain Duhammel, elle est marié à l'ancien directeur de la société général (conseiller de Sarkozy). C'est un petit monde d'entre soi. Ces dirigeants me dégoutent.

Le monde découvre avec stupéfaction que la bourgeoisie d'État vit hors-sol. Puis ils iront élire des gens RN ou LR qui vivent hors-sol pour dégager les premiers. C'est quand même cocasse !

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Macron et les anciens PS et LR qui l'ont rejoint se foutent du peuple, ils n'y pensent même pas. Ils s'en foutent de mentir, nous ne sommes même pas dans leur logiciel pour enclencher ou empêcher une décision ou une réforme. C'est au-delà du mépris, ils ne rendent des comptes qu'à leur monde (bourgeoisie, Europe, patronat) et Macron l'a bien compris car à gauche (PS) comme à droite ce sont tous des petits marquis excités de pouvoir et de laisser-passer, pour la plèbe c'est 49-3 ou Lbd dans la gueule.

Le communisme éteint, il n'y a plus à avoir peur de la colère de la foule, les gens veulent préserver leur statut et non changer de monde.

Ils peuvent faire absolument ce qu'ils veulent, entre eux, perruques et fard blanc bienvenue dans le 18ème siècle. 

La ministre de l'EN devrait démissionner si on était en démocratie, ils en rigolent en haut lieu.

 

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il y a 38 minutes, dondiego a dit :

Pour moi le problème ce ne sont pas où ses enfants sont scolarisés mais de l’avoir nommée. Et ensuite toute la bouillie mensongère qui suit. 

Qu'elle soit nommée parce qu'elle est compétente, bosseuse, aucun problème.

Moi ce qui me dérange c'est la justification qu'elle donne: elle aurait assumé vouloir plus d'exigence, de cadre pour ses enfants, cela aurait été discuté et commenté mais pas dans ces proportions.

Là, elle a profité du micro pour à la fois essayer de court-circuiter les rumeurs (quand c'est mal fait, c'est encore pire) et faire de la politique (les profs sont trop absents).

Bilan, elle a dû rétropédaler mais le mal est fait.

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il y a une heure, Blob Marley a dit :

Non mais l'objectif de la droite c'est pas que l'EN fonctionne correctement. C'est le contraire, plus l'EN aura des problèmes, plus le privé (les copains) prendra des parts de marché.

Donc c'est assez naïf de parler d'incompétence ou je ne sais quoi. Ces gens là savent ce qu'ils font et pourquoi ils le font.

Idem pour l'hopital & co.

 

 

Sans vouloir te vexer, c'est également l'objectif de la gauche vu tout ce que les ministres de gauche ont décidé lorsqu'ils y étaient. Au niveau des gens qui dirigent il n'y a plus de gauche et de droite, c'est juste un entre-soi de gens qui ont fait les mêmes écoles privées, l'ENA, etc. Et crois-moi, ils se disputent devant les caméras mais se connaissent et s'arrangent très bien en privé.

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il y a 34 minutes, Trinita a dit :

Sans vouloir te vexer, c'est également l'objectif de la gauche vu tout ce que les ministres de gauche ont décidé lorsqu'ils y étaient. Au niveau des gens qui dirigent il n'y a plus de gauche et de droite, c'est juste un entre-soi de gens qui ont fait les mêmes écoles privées, l'ENA, etc. Et crois-moi, ils se disputent devant les caméras mais se connaissent et s'arrangent très bien en privé.

Objectif du centre-gauche, peut-être, mais de la gauche, je ne suis pas d'accord. L'objectif de la gauche pour l'Éducation, c'est l'école publique et laïque, gratuite et de qualité, pour les masses comme pour les élites.

Modifié par Vistule
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Petite remarque sur le fait qu'il est, je trouve, succulent de voir ces gens-là parler de laïcité en toute occasion et pourtant choisir le privé pour leurs enfants.

Faudrait savoir soit c'est essentiel soit ce n'est pas si important que ça...

En réalité aujourd'hui la laïcité ne sert plus qu'a une seule chose la stigmatisation des musulmans.

Si la France est laïque alors faut virer les écoles privées, et le concordat aussi simplement que ça.

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Il y a 2 heures, Blob Marley a dit :

Non mais l'objectif de la droite c'est pas que l'EN fonctionne correctement. C'est le contraire, plus l'EN aura des problèmes, plus le privé (les copains) prendra des parts de marché.

Donc c'est assez naïf de parler d'incompétence ou je ne sais quoi. Ces gens là savent ce qu'ils font et pourquoi ils le font.

Idem pour l'hopital & co.

 

 

Exactement. C’est juste du libéralisme bête et méchant. On saccage les services publics pour faire du privé la solution et offrir de nouveaux marchés très juteux aux premiers de cordée et aux capitaines d’industrie, toute cette clique de merdeux acoquinée au pouvoir et qui ruine aussi bien les services publics que le vrai entrepreneuriat. Au minimum avec Reagan et Thatcher il y avait encore l’idée de marchés concurrentiels. Maintenant il s’agit juste de distribuer des rentes.

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il y a une heure, Flo950 a dit :

En réalité aujourd'hui la laïcité ne sert plus qu'a une seule chose la stigmatisation des musulmans.

Non. Famille d'accueil que je connais de près, qui a adopté un enfant (leur fils du coup) lourdement handicapé depuis sa naissance et ce, toute sa vie. Enorme investissement de toute la famille affective et matérielle face à un enfant dépendant à 100%.

Cet enfant est décédé malheureusement, la famille d'accueil a voulu le faire enterrer sous la croix (ils sont croyants par tradition familiale, pas des fous furieux hein).

Cela leur a été refusé par la Préfecture et le Département pour question de laïcité, l'enfant n'étant pas né dans cette famille ils ont jugé qu'il n'y avait pas le libre arbitrage nécessaire. Leur fils est donc enterré à côté des leurs mais pas dans le caveau familial.

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Il y a 12 heures, Flo950 a dit :

Le principe de laïcité s’applique a tous, mais il est invoqué par les politiques et les médias que dans un seul but stigmatisé les musulmans.

Si ces gens étaient véritablement laïque ils seraient contre les écoles privées.

les écoles privées ne sont pas forcément confessionnelle.

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il y a 17 minutes, Facteur_Social a dit :

les écoles privées ne sont pas forcément confessionnelle.

toutafé, et même celles qui le sont laissent le choix à leurs élèves de suivre ou non un enseignement religieux en sus du cursus obligatoire.

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Il y a 17 heures, Flo950 a dit :

Petite remarque sur le fait qu'il est, je trouve, succulent de voir ces gens-là parler de laïcité en toute occasion et pourtant choisir le privé pour leurs enfants.

Faudrait savoir soit c'est essentiel soit ce n'est pas si important que ça...

En réalité aujourd'hui la laïcité ne sert plus qu'a une seule chose la stigmatisation des musulmans.

Si la France est laïque alors faut virer les écoles privées, et le concordat aussi simplement que ça.

Loi de 2004:

141-5-1. - Dans les écoles, les collèges et les lycées publics, le port de signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse est interdit. Le règlement intérieur rappelle que la mise en oeuvre d'une procédure disciplinaire est précédée d'un dialogue avec l'élève. »

L'Etat finance pour une bonne part l'enseignement privé mais respecte le  "caractère propre" des établissements.

 

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Il y a 2 heures, Facteur_Social a dit :

les écoles privées ne sont pas forcément confessionnelle.

Certes, mais les écoles confessionnelles demeure une hérésie si véritablement la laïcité est fondamentale pour l'enfant.

Et c'est justement le discours qui est tenu par les politiques depuis des années.

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Il y a 2 heures, Ekelund a dit :

toutafé, et même celles qui le sont laissent le choix à leurs élèves de suivre ou non un enseignement religieux en sus du cursus obligatoire.

Bien sûr. Et le cadre de la laïcité s'applique plus fermement dans les établissements publics, comme la loi le prévoit.

 

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Cet article résume bien la situation : https://www.lemonde.fr/education/article/2024/01/16/derriere-les-propos-d-amelie-oudea-castera-les-crispations-autour-de-l-enseignement-prive-parisien_6211038_1473685.html

Amélie Oudéa-Castéra, une ministre face à l’accusation de séparatisme scolaire

En se positionnant comme une parente d’élève insatisfaite de l’école publique, avec une justification contestée, la nouvelle ministre de l’éducation nationale a heurté le monde enseignant. Ses propos soulignent en creux un problème majeur à Paris, où un élève favorisé sur deux est aujourd’hui scolarisé dans le privé.

Amélie Oudéa-Castéra, au village olympique de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), le 15 janvier 2024.

Amélie Oudéa-Castéra est claire : « Je souhaite clore ce chapitre des attaques personnelles et de la vie personnelle », a déclaré la ministre de l’éducation nationale, de la jeunesse, des sports et des Jeux olympiques et paralympiques, dans la matinée du lundi 15 janvier. Vendredi, alors qu’elle avait hérité du portefeuille de l’éducation depuis moins de vingt-quatre heures, la ministre s’était en effet attiré les foudres de la communauté éducative, en justifiant la scolarisation de ses trois enfants dans le très conservateur collège Stanislas (6e arrondissement de Paris) par l’absentéisme supposé des enseignants de l’école publique.

Trois jours plus tard, il semblerait que l’orage soit parti pour durer. D’abord, parce que Libération a retrouvé l’enseignante du fils aîné, qui a démenti s’être absentée pendant les six mois où l’enfant a été scolarisé à l’école publique de la rue Littré, dans le même 6arrondissement. Mais aussi parce que, par ses déclarations, la nouvelle ministre de l’éducation nationale a mis le doigt sur une série de sujets épidermiques pour le système scolaire – en particulier à Paris.

Les personnes interrogées par Le Monde s’accordent à le dire, il n’y a pas de « jugement » à porter sur le choix du privé, qu’Amélie Oudéa-Castéra partage avec environ 21 % des parents d’élèves en France. Mais la ministre s’est justifiée par les difficultés de remplacement, en se plaçant du côté des parents – par opposition aux enseignants, implicitement critiqués. Colère des syndicats, qui exigent désormais des excuses publiques, comme l’ont fait savoir les responsables de la FSU après avoir « coupé court » à leur première rencontre bilatérale, le 15 janvier.

Le choix de « l’exigence »

« La ministre a démontré qu’elle ne connaît pas l’éducation nationale, analyse Rodrigo Arenas, député La France insoumise du 13e arrondissement de la capitale et ancien coprésident de la Fédération des conseils de parents d’élèves (FCPE). Les enseignants, c’est un corps. Quand vous en attaquez un, vous les attaquez tous. Du reste, tout le monde sait que le premier problème du système scolaire, ce sont les absences. Mais c’était à la Macronie de trouver des solutions, ce qu’ils n’ont pas fait depuis 2017. »

Outre qu’Amélie Oudéa-Castéra a pointé sous sa casquette d’usagère les difficultés d’un système dont elle a désormais la charge, son témoignage la positionne en parent d’élève de l’enseignement privé. Pour les commentateurs du système éducatif, là se situe la véritable faute.

La ministre assume en effet d’avoir fait le choix de « l’exigence », en s’assurant que ses enfants sont « heureux », « épanouis », « en sécurité » et entourés « d’amis ». « Avec cette phrase sur les amis, elle sous-entend que l’enfant ne s’en serait pas fait dans l’école du quartier et revendique une forme de séparatisme scolaire, assure Pierre Ouzoulias, sénateur communiste de Gennevilliers (Hauts-de-Seine) et vice-président du Sénat, qui a déposé un projet de loi visant à moduler les subventions des collectivités aux établissements privés sur la base de leur taux de mixité. Elle a précisé ensuite qu’elle n’était pas catholique et que la religion n’avait pas joué. L’entre-soi social est donc revendiqué en tant que tel. »

A Stanislas, une homogénéité sociale record

« A ceci près que l’école Littré, ce n’est pas une banlieue difficile », s’agace un membre de l’inspection générale de l’éducation nationale. L’indice de position sociale de cette école est en effet comparable à celui de Stanislas, même si Littré est plus hétérogène. Connu du grand public pour s’être souvent retrouvé en tête des classements des meilleurs lycées de France (avec 100 % de réussite au bac et 100 % de mention en 2022), Stanislas est en revanche célèbre parmi les spécialistes pour son homogénéité sociale record. « 0,4 % des élèves du collège sont d’origine défavorisée et 90 % sont d’origine très favorisée, contre un élève sur deux à l’échelle de Paris », rappelle Julien Grenet, chercheur à l’Institut des politiques publiques et spécialiste de la mixité scolaire. Sur les classes de lycée, la proportion d’élèves très favorisés atteint 93 %, toujours pour 0,4 % d’élèves défavorisés.

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La ministre de l’éducation nationale a ainsi mis le doigt sur un problème majeur à Paris, où la part des élèves dans l’enseignement privé augmente rapidement, ainsi que la concentration des enfants issus de milieux favorisés dans ces mêmes établissements. Le taux de scolarisation dans le privé est passé de 31 % de collégiens au début des années 2000 à 37,5 % en 2022. Dans les lycées, la proportion d’élèves du privé atteint 40 %, contre 37 % vingt ans auparavant. Cette augmentation s’intensifie fortement entre 2020 et 2022.

La principale explication, outre une réforme du système d’affectation des lycéens aux effets marginaux, est la forte baisse démographique à Paris. La capitale a perdu 25 % de ses naissances entre 2010 et 2022. Cette chute est répercutée sur l’enseignement public, où l’on ferme des classes sans fermer l’équivalent dans l’enseignement privé. Pour la rentrée 2024, un total de 125 suppressions de postes est ainsi envisagé dans les écoles publiques parisiennes.

Selon Julien Grenet, si rien n’est fait, la proportion d’élèves dans le privé à Paris atteindra 48 % en 2033. Une augmentation qui a en outre des conséquences importantes sur la ségrégation sociale, le privé restant sous tension, avec moins de places à offrir que de candidats. Cette sélectivité de l’enseignement privé joue en effet en faveur d’une plus forte concentration des catégories favorisées : un élève favorisé sur deux est aujourd’hui scolarisé dans le privé à Paris, mais ils pourraient être 70 % en 2033.

Un « réflexe de classe »

Stanislas, comme d’autres établissements privés cotés de la capitale, bénéficie par ailleurs d’un système d’allocation des moyens plus souple que le public, qui lui permet de proposer une plus large offre pédagogique dans les années qui précèdent le baccalauréat. Comme l’avait démontré Le Monde en janvier 2023, le lycée Stanislas dispose, pour l’ensemble de ses élèves, d’un supplément d’environ quarante heures par semaine par rapport à un établissement public de taille équivalente. « A Paris, vous aurez bientôt une école des riches et une école des pauvres », s’alarme Pierre Ouzoulias, qui dénonce « une vision néolibérale, qui consiste à dire que l’enseignement est un marché comme un autre où il est normal de mettre en concurrence les différents établissements ».

La ministre de l’éducation déchire par ailleurs le voile pudique qui recouvrait jusqu’ici une réalité bien connue à Paris : « Une bonne partie du personnel politique scolarise ses enfants dans le privé », glisse un ancien conseiller ministériel. Amélie Oudéa-Castéra assumerait, pour la première fois, un « réflexe de classe », avance même un ancien recteur, tandis qu’un autre rappelle que cette réalité s’est vue – de manière plus feutrée – « à droite comme à gauche » ces dernières décennies.

Sur les quatre ministres de l’éducation depuis l’élection d’Emmanuel Macron en 2017, deux ont fait leur scolarité dans l’enseignement privé (Jean-Michel Blanquer et Gabriel Attal), et deux y ont inscrit leurs enfants (Pap Ndiaye et Amélie Oudéa-Castéra). Loin d’être anecdotique, cette réalité pose de profondes questions de gouvernance, dans la mesure où le système public est administré par des politiques qui n’en sont pas les usagers.

Atmosphère homophobe et sexiste

Le dernier volet de cette polémique à multiples détentes est l’identité idéologique de Stanislas. Dans cet établissement réputé conservateur régnerait, d’après plusieurs enquêtes de presse, dont celle du Monde, une atmosphère homophobe et sexiste. L’établissement est également cité dans des affaires d’agressions sexuelles mettant en cause d’anciens aumôniers et des anciens cadres dont l’ancien directeur Daniel Chapellier – qui conteste les faits –, mis en examen pour « agression sexuelle sur mineur de moins de 15 ans ».

Une mission de l’inspection générale de l’éducation nationale, mandatée par Pap Ndiaye en 2022 après des révélations de Mediapart, a remis ses conclusions à Gabriel Attal à la fin de l’été 2023. Selon nos informations, la mission signalerait des manquements au code de l’éducation et notamment à la loi Debré, qui régit l’enseignement privé sous contrat. Un dossier sur lequel la nouvelle ministre pourrait se retrouver juge et partie ? Le ministère indique avoir transmis les « recommandations » contenues dans ce rapport d’inspection à l’académie de Paris, chargée de leur mise en œuvre, et l’inspection générale a récemment fait un point sur Stanislas avec le diocèse de Paris.

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il y a 7 minutes, 3noze3 a dit :

Cours de théâtre obligatoire et uniforme généralisé

Rep à ça le manque d'enseignants !

A t'il précisé si les profs de théâtre devaient se mettre en couple avec les élèves? 

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il y a 14 minutes, Blob Marley a dit :

L'uniforme c'est vraiment le truc pour faire plaisir aux vieux canal CNews. Absolument personne n'en veut : les élèves, les personnels de l'EN, les parents.

Ca plus la Marseillaise, ce foutage de gueule sérieux.

Ne sera appliqué que si ça fait ses preuves, si ça apporte quelque chose.

Avec retour des établissements testés, des parents, des élèves...

Je vois pas ce qu'on peut faire de mieux pour traiter ce sujet 

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il y a 32 minutes, Blob Marley a dit :

L'uniforme c'est vraiment le truc pour faire plaisir aux vieux canal CNews. Absolument personne n'en veut : les élèves, les personnels de l'EN, les parents.

Personnellement ça fait longtemps que je suis pour l’uniforme à l’école.

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