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L'éducation


bibeyolo

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Une citation :

"L'éducation est le point où se décide si nous aimons assez le monde pour en assumer la responsabilité.[...] C'est également avec l'éducation que nous décidons si nous aimons assez nos enfants pour ne pas le rejeter de notre monde, ni les abandonner à eux-mêmes, [...] mais les préparer d'avance à la tâche de renouveler le monde"

Des questions :

Il y a celle de la maison et il y a celle de l'école. Où s'arrête l'une et où commence l'autre?

Qu'est-ce qui vous semble le plus important?

A quoi ça sert?(question souvent posée par les élèves)

Pour minibeurre, quelle est la vision libérale de l'éducation?

Un lien :

http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2012/07/30/calcul-mental-faut-il-arreter-denseigner-les-maths-a-lecole/

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Une citation :

"L'éducation est le point où se décide si nous aimons assez le monde pour en assumer la responsabilité.[...] C'est également avec l'éducation que nous décidons si nous aimons assez nos enfants pour ne pas le rejeter de notre monde, ni les abandonner à eux-mêmes, [...] mais les préparer d'avance à la tâche de renouveler le monde"

Des questions :

Il y a celle de la maison et il y a celle de l'école. Où s'arrête l'une et où commence l'autre?

Qu'est-ce qui vous semble le plus important?

A quoi ça sert?(question souvent posée par les élèves)

Pour minibeurre, quelle est la vision libérale de l'éducation?

Un lien :

http://bigbrowser.bl...maths-a-lecole/

C'est le premier topic sur le sujet ? Etonnant :mellow: .

Ta première remarque me rappelle une citation de Montesquieu, furtivement mémorisée. Un truc du genre "il y a trois sortes d'éducation, celle que nous recevons de nos pères, celle que nous recevons de nos maîtres et celle que nous recevons du monde. Cette dernière remet actuellement en cause tout ce que les deux premières nous ont appris". Une citation d'une saisissante actualité, comme souvent d'ailleurs, avec Montesquieu...

Pour répondre simplement à ta dernière question, je ne crois pas qu'il existe une "vision libérale" de l'éducation. Une vision libérale de l'école -privée avec des profs sous contrat de droit privé- sûrement mais de l'éducation, non.

Il faut dire que ta problématique brasse super large...

Une citation :

"L'éducation est le point où se décide si nous aimons assez le monde pour en assumer la responsabilité.[...] C'est également avec l'éducation que nous décidons si nous aimons assez nos enfants pour ne pas le rejeter de notre monde, ni les abandonner à eux-mêmes, [...] mais les préparer d'avance à la tâche de renouveler le monde"

Des questions :

Il y a celle de la maison et il y a celle de l'école. Où s'arrête l'une et où commence l'autre?

Qu'est-ce qui vous semble le plus important?

A quoi ça sert?(question souvent posée par les élèves)

Pour minibeurre, quelle est la vision libérale de l'éducation?

Un lien :

http://bigbrowser.bl...maths-a-lecole/

Intéressant ce lien ; je n'aurais d'ailleurs pas dit que les Ricains avaient le même problème que nous. Car le poids et la fonction des maths dans nos cursus scolaires pose en effet problème ^_^ .

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Il y a le topic sur les profs du forum qui est un peu trop spécifique pour mettre un tel article.

Pour la vision libérale de l'éducation, c'est plus la question caricaturale suivante que je me pose : Dans un système libéral, on ne va éduquer que ce (ceux) qui va (vont) nous apporter du profit ( mais on fait passer nos enfants d'abord aussi pour la survie de notre entreprise "familiale"...). Et cette question est pour moi un paradoxe entre le profit immédiat et le profit à long terme. Les gens doivent sortir du système éducatif en étant apte à produire et chacun à leur place. Si l'école est trop privée, ne risque-t-on pas de passer à côté de gens plus aptes qui ne sont pas nés dans les bonnes familles.

D'autre part, l'éducation coûte énormément en temps et (donc) en argent, pour des résultats difficilement mesurables à court terme. Ne risque-ton pas de la sacrifier sur une ou plusieurs générations, et ne plus pouvoir former dans gens plus tard?(C'est d'ailleurs, même si je ne suis pas intervenu, la raison pour laquelle je trouve que tu balaies l'argument de l'écologie un peu trop vite).

Pour l'article, je l'ai mis car il représente une pensée bien présente et sûrement réelle en France, évidemment. Par contre, je pense(avis personnel) qu'on tend à supprimer les maths abstraits dans les programmes pour supprimer leur sélection. On les remplace par la résolution de problèmes plus concrets. PISA est devenu un graal qui va complètement bouleverser l'enseignement (http://fr.wikipedia.org/wiki/Programme_PISA, voir chapitre sur les limites). J'espère qu'on va gagner en motivation ce qu'on perdra en abstraction.

P.S.:J'ai brassé large pour ne pas couler. D'ailleurs, heureusement que je t'ai mis une dédicace, sinon j'aurais pu finir avec un magnifique bide.

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Il y a le topic sur les profs du forum qui est un peu trop spécifique pour mettre un tel article.

Pour la vision libérale de l'éducation, c'est plus la question caricaturale suivante que je me pose : Dans un système libéral, on ne va éduquer que ce (ceux) qui va (vont) nous apporter du profit ( mais on fait passer nos enfants d'abord aussi pour la survie de notre entreprise "familiale"...). Et cette question est pour moi un paradoxe entre le profit immédiat et le profit à long terme. Les gens doivent sortir du système éducatif en étant apte à produire et chacun à leur place. Si l'école est trop privée, ne risque-t-on pas de passer à côté de gens plus aptes qui ne sont pas nés dans les bonnes familles.

D'autre part, l'éducation coûte énormément en temps et (donc) en argent, pour des résultats difficilement mesurables à court terme. Ne risque-ton pas de la sacrifier sur une ou plusieurs générations, et ne plus pouvoir former dans gens plus tard?(C'est d'ailleurs, même si je ne suis pas intervenu, la raison pour laquelle je trouve que tu balaies l'argument de l'écologie un peu trop vite).

Pour l'article, je l'ai mis car il représente une pensée bien présente et sûrement réelle en France, évidemment. Par contre, je pense(avis personnel) qu'on tend à supprimer les maths abstraits dans les programmes pour supprimer leur sélection. On les remplace par la résolution de problèmes plus concrets. PISA est devenu un graal qui va complètement bouleverser l'enseignement (http://fr.wikipedia..../Programme_PISA, voir chapitre sur les limites). J'espère qu'on va gagner en motivation ce qu'on perdra en abstraction.

P.S.:J'ai brassé large pour ne pas couler. D'ailleurs, heureusement que je t'ai mis une dédicace, sinon j'aurais pu finir avec un magnifique bide.

Le succès de ce topic semble en effet mitigé :grin: . Il y a beaucoup de profs sur ce forum et j'imagine qu'ils ne veulent pas causer boulot pendant les vacances, ça se comprend :rolleyes::ninja: .

Tes questionnements sont pertinents. Mais brassent vraiment très très large. Enfin, j'essaierai de répondre... ;)

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Le succès de ce topic semble en effet mitigé :grin: . Il y a beaucoup de profs sur ce forum et j'imagine qu'ils ne veulent pas causer boulot pendant les vacances, ça se comprend :rolleyes::ninja: .

Tes questionnements sont pertinents. Mais brassent vraiment très très large. Enfin, j'essaierai de répondre... ;)

Je rajouterais que le terme d'Education ne peut se rapporter uniquement à la dimension des apprentissages scolaires. On ne peut uniquement éduquer pour obtenir "des résultats satisfaisants"...

Et la transmission des valeurs alors ?!! Ce sujet pourrait être intéressant si on le rapportait aux joueurs de football par contre...

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Deux conceptions de l'éducation semblent se dessiner, autour de la notion de majorité de l'enfant, concept au combien crucial :

- La première veut que l'enfant acquiert des savoirs à l'école et en famille en vue de son autonomie théorique à 18 ans. A 18 ans, il devrait pouvoir vivre seul (ou en couple d'ailleurs).

- La seconde viserait plutôt à préserver l'innocence du jeune jusqu'à ses fameux 18 ans, âge auquel il pourra commencer à s'intéresser aux choses de la vie comme la gestion du quotidien ou les choses de l'amour ou du sexe. On est proche ici d'un Rousseau qui prônait que si un enfant posait des questions sur la sexualité avant cet âge, il faudrait sérieusement se poser des questions sur la qualité de l'éducation qu'il a reçue.

Oui la transmission des valeurs est essentielle : je suis pour doubler le nombre d'heures d'éducation civique au collège (on passerait de 1 heure à 2), diffuser le sentiment d'appartenance nationale mais tout en développant l'esprit de tolérance et d'ouverture aux autres peuples et cultures. Ce n'est absolument pas incompatible.

Entre le fait de dire "j'appartiens à ce pays et je me reconnais en ses valeurs" et "les autres pays sont des cons qui n'ont rien compris à la vie", y'a un fossé énorme.

A suivre.

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- La seconde viserait plutôt à préserver l'innocence du jeune jusqu'à ses fameux 18 ans, âge auquel il pourra commencer à s'intéresser aux choses de la vie comme la gestion du quotidien ou les choses de l'amour ou du sexe. On est proche ici d'un Rousseau qui prônait que si un enfant posait des questions sur la sexualité avant cet âge, il faudrait sérieusement se poser des questions sur la qualité de l'éducation qu'il a reçue.

Oui la transmission des valeurs est essentielle : je suis pour doubler le nombre d'heures d'éducation civique au collège (on passerait de 1 heure à 2), diffuser le sentiment d'appartenance nationale mais tout en développant l'esprit de tolérance et d'ouverture aux autres peuples et cultures. Ce n'est absolument pas incompatible.

Entre le fait de dire "j'appartiens à ce pays et je me reconnais en ses valeurs" et "les autres pays sont des cons qui n'ont rien compris à la vie", y'a un fossé énorme.

Mais nous avons pourtant tous une libido à partir de notre naissance (pour Freud en tout cas). Parler de sexualité avec des enfants qui se questionnent, c'est contribuer à éviter d'avoir une société de frustrés !

Et puis à l'époque de Rousseau, You Porn n'existait pas..

Pour la deuxième partie de ton intervention, je suis d'accord avec toi sur le fait que les français sont éduqués à être des nombrilistes ; ça se ressent vachement quand je voyage en Europe. On a vraiment une image de connards fiers et arrogants difficile à défendre quand tu croises une horde de français qui sont là juste pour baiser ou pour plier le bar, ou qui parle pas un mot d'anglais, ou qui ne fait aucun effort...

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Mais nous avons pourtant tous une libido à partir de notre naissance (pour Freud en tout cas). Parler de sexualité avec des enfants qui se questionnent, c'est contribuer à éviter d'avoir une société de frustrés !

Et puis à l'époque de Rousseau, You Porn n'existait pas..

Pour la deuxième partie de ton intervention, je suis d'accord avec toi sur le fait que les français sont éduqués à être des nombrilistes ; ça se ressent vachement quand je voyage en Europe. On a vraiment une image de connards fiers et arrogants difficile à défendre quand tu croises une horde de français qui sont là juste pour baiser ou pour plier le bar, ou qui parle pas un mot d'anglais, ou qui ne fait aucun effort...

je sais pas qui t'as rencontré dans tes voyages, mais mon expérience est tout autre. Va faire un pic nic en norvège, chacun pour sa gueule, aucun partage, par exemple.

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je sais pas qui t'as rencontré dans tes voyages, mais mon expérience est tout autre. Va faire un pic nic en norvège, chacun pour sa gueule, aucun partage, par exemple.

Je parlais surtout de l'image des français à l'étranger. Laquelle est souvent liée à leur comportement en général, car heureusement, il y a des français qui voyagent intelligemment...

Je n'ai jamais était en Norvège, ni en Scandinavie d'ailleurs (j'espère un de ces 4). Cependant, tout comme toi, j'ai également été rassuré sur le fait que nous ne sommes pas les seuls "mal éduqués" d'Europe même s'il me semble que, pour en avoir croiser à travers mes périples, les scandinaves sont des gens fiers, qui restent groupés, mais respectueux des règles de vie locales et collectives de base...

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  • 9 months later...
  • 5 months later...

Une citation :

"L'éducation est le point où se décide si nous aimons assez le monde pour en assumer la responsabilité.[...] C'est également avec l'éducation que nous décidons si nous aimons assez nos enfants pour ne pas le rejeter de notre monde, ni les abandonner à eux-mêmes, [...] mais les préparer d'avance à la tâche de renouveler le monde"

Des questions :

Il y a celle de la maison et il y a celle de l'école. Où s'arrête l'une et où commence l'autre?

Qu'est-ce qui vous semble le plus important?

A quoi ça sert?(question souvent posée par les élèves)

Pour minibeurre, quelle est la vision libérale de l'éducation?

Un lien :

http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2012/07/30/calcul-mental-faut-il-arreter-denseigner-les-maths-a-lecole/

 

Tiens, l'education à la maison :

 

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  • 1 year later...

C'est dommage de supprimer le latin et le grec.

 

C'était des matières, qui, sans être fondamentales pour la grande majorité des élèves, avaient le mérite de leur faire acquérir une certaine forme de rigueur.

 

Une occasion manquée de donner de bonnes bases aux élèves...

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C'est dommage de supprimer le latin et le grec.

C'était des matières, qui, sans être fondamentales pour la grande majorité des élèves, avaient le mérite de leur faire acquérir une certaine forme de rigueur.

Une occasion manquée de donner de bonnes bases aux élèves...

Je trouve l'idée de supprimer les classes euros au collège et de mettre la LV2 dès la 5eme très bonne. Ça réduira les inégalités, le fait que les meilleurs élèves soient rassemblés dans une même classe affaibli les autres classes, ce qui creusent l'écart entre les élèves et pas seulement en langue.

Pour le latin c'est plus discutable. J'en ai fait jusqu'en 3eme, je suis pas convaincu de l'efficacité. C'est un plus mais pas une base selon moi. À choisir entre mettre plus d'anglais ou du latin je prends l'anglais. On est parmi les moins bons en langues en France. Il faut prendre exemple sur les pays nordiques dans ce domaine voir dans toute l'éducation. C'est une étape dans cette direction.

Puis je ne suis pas sur qu'il y aura éternellement des profs pour enseigner cette matière. Déjà que de moins en moins d'élèves s'y intéressent ...

Cette réforme m'a l'air bien. La volonté d'élever le niveau global en langues d'une majorité et mieux que d'élever beaucoup celui de quelques uns.

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Je trouve l'idée de supprimer les classes euros au collège et de mettre la LV2 dès la 5eme très bonne. Ça réduira les inégalités, le fait que les meilleurs élèves soient rassemblés dans une même classe affaibli les autres classes, ce qui creusent l'écart entre les élèves et pas seulement en langue.

Pour le latin c'est plus discutable. J'en ai fait jusqu'en 3eme, je suis pas convaincu de l'efficacité. C'est un plus mais pas une base selon moi. À choisir entre mettre plus d'anglais ou du latin je prends l'anglais. On est parmi les moins bons en langues en France. Il faut prendre exemple sur les pays nordiques dans ce domaine voir dans toute l'éducation. C'est une étape dans cette direction.

Puis je ne suis pas sur qu'il y aura éternellement des profs pour enseigner cette matière. Déjà que de moins en moins d'élèves s'y intéressent ...

Cette réforme m'a l'air bien. La volonté d'élever le niveau global en langues d'une majorité et mieux que d'élever beaucoup celui de quelques uns.

 

Au contraire de le supprimer, je le généraliserai. Avec tous les avantages que ça comporte pour perfectionner son anglais (cours d'histoire en anglais, etc.)

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Au contraire de le supprimer, je le généraliserai. Avec tous les avantages que ça comporte pour perfectionner son anglais (cours d'histoire en anglais, etc.)

Bonne idée mais irréalisable à moyen terme. Il faudrait former et embaucher des professeurs. Sans compter le coût que sa demande. On peut déjà se satisfaire que le gouvernement ai arrêté l'hémorragie dans l'éducation. Sarkozy qui a supprimé des postes.

Je suis en terminale. On est 35 dans ma classe et mon prof de philo a été absent plus d'un mois sans être remplacé, l'année du bac et en ES ... C'est sans doute pas le cas dans les lycées où Sarkozy a mis ces enfants.

Je trouve que cette réforme est un bon compromis avec des moyens limités. L'éducation est quand même la base de la société. On tape dessus pour faire des économies à court terme. Mais quelle perte de richesse à long terme ...

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Bonne idée mais irréalisable à moyen terme. Il faudrait former et embaucher des professeurs. Sans compter le coût que sa demande. On peut déjà se satisfaire que le gouvernement ai arrêté l'hémorragie dans l'éducation. Sarkozy qui a supprimé des postes.

Je suis en terminale. On est 35 dans ma classe et mon prof de philo a été absent plus d'un mois sans être remplacé, l'année du bac et en ES ... C'est sans doute pas le cas dans les lycées où Sarkozy a mis ces enfants.

Je trouve que cette réforme est un bon compromis avec des moyens limités. L'éducation est quand même la base de la société. On tape dessus pour faire des économies à court terme. Mais quelle perte de richesse à long terme ...

 

vu que son rejeton fait ses études aux states... :ninja:

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  • 3 weeks later...

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