Gollum

Il s'installe dans l'équipe et on se met à gagner. Une coïncidence, sûrement .

60% de temps additionnel supplémentaire à ce qui est annoncé au bord du terrain, c'est-à-dire 8 mn au lieu de 5, je ne pense pas l'avoir jamais vu. Personne ne s'en souviendra dans la mesure où on garde le résultat mais arbitralement parlant (), cette fin de match à Reims est juste hallucinante...

Le kif. Le gros kif . J'ai regardé avec quelques mn de décalage et je ressors donc tout ébouriffé d'une fin de match insoutenable pour nos couleurs. Comme d'habitude hélas mais cette fois, heureusement, sans conséquence quant aux points pris. Maintenant, va falloir qu'on m'explique un truc : au nom de quoi l'arbitre laisse-t-il trois mn en plus du temps additionnel ? Trois mn en plus des 5 prévues, 60% de plus. Mais c'est déjà arrivé, ça ?? Bon, au final, ça n'altère pas la plus grosse perf toulousaine de la saison en L1, en tout cas sur le plan comptable (car les nuls contre Paris et Marseille lors des matches aller, c'était beau aussi). Une perf insoupçonnable au regard de la désolation dans laquelle le match contre Lens nous avait laissés, le week-end dernier. Déconcertante, quand même, cette équipe toulousaine, au vu du pessimisme et de l'anti-novellisme qui s'épanouissent sur le forum (les miens inclus). Avant le match, je ne donnais pas cher d'un nul à Reims. En début de première MT, je me dis "bon c'est comme contre Lens, on est partis pour 20 mn où on donne tout et ensuite, on va se faire bouffer". Mais on marque vite et ensuite, Toulouse fait montre d'une qualité insoupçonnée : le réalisme, à l'image de ce super deuxième but de Babicka. Et tout ça ne dure pas 20 mn mais toute une MT. Jusqu'à Dallinga qui transforme un péno. Au repos, je kiffe ma race () en me demandant où tout ça va nous amener... La deuxième période refroidit naturellement mon enthousiasme et notre baisse de régime pose hélas question. Ou plutôt, confirme les réponses que l'on a depuis trop longtemps : trois buts d'avance à la MT, c'est pas du luxe pour cette équipe toulousaine . Mais bon, on ne saurait mégoter au vu de l'exploit du jour et de cette première période d'anthologie que nous ont servie nos Toulousains. Pendant plus d'une MT, au vrai, nos joueurs n'ont pas laissé leur adversaire respirer. Rien n'a été facile pour nos adversaires rémois : les contrôles, les dribbles, les frappes. On a pollué le jeu de notre adversaire plus d'une heure durant sans rien lâcher. C'est d'abord le fruit d'une saine remise en cause de nos titulaires : Suazo ou Dallinga, notamment, ont remis les pendules à l'heure. C'est aussi le fruit du serrage de boulons du coach : Spierings et Cissoko, les nonchalants du vestiaire, en ont fait les frais. C'est enfin le fruit du retour de Desler qui, bien que Kamanzi n'ait pas démérité contre Lens, demeure l'une des top réussites de la Comollidata, un symbole éternel du renouveau orchestré par RedBird. Desler, ce seul être qui nous manque tellement qu'on ne s'en rend compte que quand il n'est pas là alors qu'il ne foire qu'un match sur 10 environ. Souvent celui que l'on remarque, hélas, avec l'injustice caractéristique d'un forum de foot... Enfin, la position plus axiale et reculée de Gboho exploite mieux ses qualités. Le garçon manque de puissance mais peut faire valoir son gaz et son toucher de balle, au milieu... Passée l'heure du jeu, on se remet à souffrir et bien sûr, on ne peut pas ne pas mettre le doigt sur la constante de la saison toulousaine : après le coaching de Novell, on est moins bon qu'avant, voire tellement moins bon qu'on n'est pas loin d'y laisser deux points... Admettons que les remplacements de Desler et Babicka - deux de nos meilleurs joueurs - se justifient pour raisons physiques ; on doit alors mettre notre baisse de régime sur le compte de la fatalité d'un banc limité. Au fond, le remplacement que je comprends le mieux, c'est celui de Schmidt, dont l'apport continue de me laisser perplexe. Mais qu'est-ce qui peut bien inciter Novell à préférer Gelabert à Skytta pour prendre le relais de Schmidt ??? Quand va-t-il réaliser que pour que Gelabert s'en tire à son avantage, il faut que l'adversaire ait un statut amateur ?? Mais ma sévérité n'aurait lieu d'être que si Casseres, nonobstant l'arbitrage scandaleux de la fin de rencontre, n'avait pas sauvé les trois points; un viatique si précieux, si inespéré, si inestimable dans notre course au maintien. Je ne sais pas si les cartes de la saison sont rebattues. S'il faut, après le doute puis la sourde colère, basculer dans l'optimisme béat. Au vrai, je ne le pense pas. Mais cette perf indique qu'on a les armes pour se sauver - dans la difficulté, bien sûr - avec cet effectif et ce coach. Sans garantie, sans certitude mais en ayant quand même quelques qualités de ténacité et de combat à faire valoir. Cela ne durera peut-être pas au-delà de ce dimanche. Mais puisqu'on est encore le dimanche en question, alors, à l'équipe toute entière il faut dire un grand : Bravo !!!!!!!!!!!!

Fin de match jouissive. D'ailleurs, on aurait dit que les Toulousains avaient gagné le Brennus . D'autant plus méritoire que le Stade termine le match avec un pack de juniors... Au-delà de Dupont, si Galthié doit assumer la mauvaise passe actuelle de l'EDF, la cascade d'indisponibles n'aide pas...

Et bien si, il y a une chose de comparable : en fin de match contre les sudafs, on est à 28-29 pendant 10 mn et durant ces 10 mn là, Ramos et Jallibert ratent deux coups de pied en touche qui permettent aux Boks d'investir notre camp, ne nous donnant jamais l'occasion de revenir. Hier, en début de deuxième MT, Ramos a l'occasion de faire douter l'Irlande en revenant à 4 points. Il rate la pénalité et la France prend un essai en suivant. Avec ces trois points, on aurait pu espérer prendre le renvoi (OK, compte tenu de notre maîtrise dans le jeu aérien, c'est spéculatif, j'en conviens) et aller réinvestir le camp irlandais. Ces moments de bascule, on les perd (et Ramos est d'ailleurs impliqué dans les deux coups). La différence, bien sûr - rassure toi, ça n'aura échappé à personne - c'est que contre l'Afsud, on perd le moment clé dans un match dont on peut dire que dans l'ensemble, on l'a dominé. Tandis qu'hier, on perd une occasion de faire durer le match mais sans être dupe du fait qu'on se serait fait manger à la fin (mais à 13-17, le poids du rouge de Willemse dans l'analyse rétrospective du match aurait sans doute été plus lourd...). Enfin, je ne partage pas ton diagnostic catastrophiste de "on a été dominé sur tous les plans". L'Irlande mène clairement la danse, dans la plupart des secteurs et son monopole du ballon en première MT fait très mal. Mais justement, en début de deuxième MT, on est toujours dans le match et on peut envisager de faire aux Irlandais ce que les Sudafs nous ont fait, c'est-à-dire piquer alors qu'on est dominé. Mais on rate le coche et le reste s'ensuit. Pour autant, je ne ne jetterais pas forcément tout. Pour moi, il y a deux soucis d'ensemble à régler d'urgence : évidemment la touche mais au moins autant si ce n'est pire, le jeu au pied. On n'est pas invité au plus haut niveau, dans ce domaine clé, que ce soit avec ou sans le ballon.

Oui mais il faut remarquer que pour un coup, les pénaltouches ont été payantes. C'est sur l'une d'elles qu'on revient au score en fin de première MT. Au vrai, il ne s'agit pas d'incriminer Ramos, auteur d'un match honnête par ailleurs (et Crowley rate deux buts dont un plus facile). Ce qui me frappe, au-delà de la supériorité irlandaise d'ensemble, c'est que contre l'Irlande comme contre l'Afsud, les cadres s'avèrent être un maillon faible, aux moments-clés. Pas sûr que le match d'hier se joue sur des détails, hélas mais au plus haut niveau, c'est souvent le cas. Et il faut donc être capable de serrer le jeu dans les moments d'extrême tension. Or, les Français donnent l'impression de craquer sous le poids de l'enjeu ou de la pression. Un peu le négatif de nos handballeurs, si l'on veut.

Et bé . J'ai quasiment trouvé l'EDF meilleure à 15 contre 14 qu'avant la sortie de Willemse (dont la carrière en bleu est probablement terminée mais ce n'est peut-être pas le seul...). Début de match cataclysmique avec, comme action de cette première demi-heure pour moi, Danty (un centre, rappelons le), déposé en vivacité par Beird (un deuxième ligne...). Mais ensuite, j'ai trouvé qu'on remontait la pente... Devant, dans l'ensemble, je ne nous ai pas trouvés si nuls. Bien sûr, avec Mauvaka puis Marchand au lancer, on est ici bien placés pour savoir que tu vas souffrir en touche. Et les soucis de soutien dans les rucks s'étaient déjà vus lors de l'élimination face à l'Afsud. Mais en mêlée, on a dominé, nos mauls étaient plutôt bons, quelques avants ont pu gagner des duels après la sortie de Willemse et certains joueurs ont été à la hauteur de leur statut (Ollivon en particulier). Ce n'est probablement pas suffisant face à une machine comme l'Irlande mais à la MT, t'es encore vivant. Le problème, c'est que tu peux toujours t'arracher voire sauver les meubles devant, avec une charnière et une ligne arrière de ce niveau, tu ne peux tout simplement rien espérer. Le jeu au pied de Jallibert est insuffisant et il est inutile de parler du match de Lucu. Les centres français sont cramés. Mais ce qui me frappe le plus, c'est le craquage, une fois de plus (comme contre l'Afsud) des joueurs cadres, derrière. La pénalité que rate Ramos - dont on sait qu'il est en régression dans cet exercice - en début de deuxième MT vaut très cher. Tu peux revenir à 13-17 et jouer sur l'énergie du désespoir face à des Irlandais qui se seraient peut-être mis à douter comme il arrive que ce soit le cas, quand tu joues avec un avantage (d'un joueur, en l'espèce). Au lieu de ça, tu laisses les Irlandais revenir dans ton camp et marquer en profitant d'un autre craquage : celui de Penaud, absolument tragique dans le jeu aérien. Les erreurs de Penaud, pour moi, pèsent lourd au final. C'est pas possible de jouer ailier et de pas être foutu de cueillir un ballon dans les airs... La fin de match est anecdotique dans la mesure où tu foires complètement la possibilité d'un retour improbable, à un moment charnière du match (le début de seconde période), notamment parce que Ramos et Penaud le font basculer en ta défaveur. C'est l'Irlande, en face. Impossible de prétendre exister avec de telles défaillances individuelles dans nos rangs. Il est en train de laisser de grosses plumes... L'autre truc qui m'interroge, c'est le reste du staff. Labit, Ghezzal, Edwards, ce sont des coaches de haut niveau que les clubs s'arrachent. Arrietaz et Sempéré, je suis moins sûr...

La coupe d'Europe, aussi. Je fais partie des dingos qui pensent qu'un miracle est possible .

Pas faux dans l'ensemble. C'est un mercato d'hiver qui ne s'écarte pas des fondamentaux du club. On dégraisse plus qu'on engraisse, dans une optique de rationalisation. Les joueurs qui sont partis ne servaient à rien, ceux qui restent sont donc en saine concurrence. Quant à l'apport des recrues, je suis plus réservé que toi sur Gboho, qui me semble manquer de puissance (or, c'est le souci n°1 de l'équipe). Mais l'idée est d'apporter un peu plus de variété offensive et c'est effectivement là que le bât blesse. Deux recrues, ça peut paraître peu mais les manques sont tels qu'on ne peut raisonnablement prétendre les combler en janvier, sauf à repartir de zéro. C'est un peu ce que tente Lyon, on verra ce que ça donne... Ce mercato me paraît aussi aller dans le sens d'une responsabilisation de Novell. Ça m'indique que son crédit n'est pas illimité. Le staff et l'équipe sont donc invités à se sortir les doigts pendant que nous, on serrera les fesses .

C'est en France. 25-12 pour les Bleus.

Du coup, on peut peut-être rappeler Kombouaré ? J'ai cru comprendre que lui aussi était très green(s) .

Apparemment, cette saison, il y a eu erreur de dosage .

Et Emmanuel Rivière . Étonné que personne n'en parle .

Ah vous aussi, vous croyez en l'efficience des marchés !!!! Enfin un (autre) ultralibéral sur ce forum !! Somalia n'était pas si mauvais. Et Ben Bassat a eu une bonne période, si ma mémoire ne me fait pas défaut... Mais sinon, ça pique, cette liste...

Je suis OK avec ta suggestion sur les pénos (c'est vrai que ça fausse la stat d'ensemble et déjà que je suis pas fan de la stat en foot...). Par contre, pour moi, la variable clé qui explique ou devrait expliquer les xG, c'est le temps dont bénéficie le buteur pour la mettre au fond. Un attaquant de L1 (même si Pereira est milieu), c'est un pro de haut niveau, qui fait absolument ce qu'il veut avec un ballon dès lors qu'il en a le temps. Or, Pereira a tout le temps d'ajuster Restes. C'est bien simple, on ne lui oppose strictement rien et ce temps, il le met à profit. Par contre, quand tu es à l'arrache, que tu as un défenseur qui te presse ou te colle, c'est une autre histoire. Quand le ballon arrive vite aussi (cf le raté de Bangré à Marseille ou celui de Vitinha contre Rennes). Et c'est là, notamment, qu'intervient l'autre variable clé que ne capture pas les xG : le talent...

Je pense au contraire que c'est Gelabert qui descend dans la hiérarchie .

Complètement d'accord avec ça . Du coup j'envisage désormais de liker tous tes posts dans le topic "actualités politiques" .

merci .

Oui, je fais une différence entre "mental" et "état d'esprit". Le premier n'est pas loin de la notion de "confiance" et on sent les joueurs dans le seau à ce niveau. Le second renvoie plutôt à l'implication et je ne vois pas de problème là-dessus. Et sinon, hélas, il y a effectivement de quoi être blasé. Marrant parce que selon les stats et notamment les xG, nous disent les violets.com, on aurait dominé le match. L'impression visuelle est pourtant toute différente et effectivement déprimante. Bien que notre inefficacité fasse aussi partie du tableau général de la déprime. Une seule bonne nouvelle : à force de rater des pénos, on va sérieusement baisser la norme xG dans ce domaine et les stats ne pourront donc plus rien nous reprocher .

Merci pour les réponses (plus de smiley pour aujourd'hui). C'est vrai qu'il est tellement à l'aise en DC que ça matche. À voir s'il peut être envisagé en ARG, je pense que oui.

Son poste d'origine, c'est bien latéral gauche ou c'est un central de formation ? Je comprends que le forum ait déjà envie de le cloner pour le mettre en 6 - il y a des idées plus saugrenues après son show hier - mais perso, je le positionnerais tout simplement à (ce que je pense être) son poste d'origine. Faire souffler Suazo est une priorité d'ordre public.

La saison passée, on avait eu des matches aller franchement compliqués puis une montée en puissance extraordinaire à partir de janvier (avec le record des buts marqués en Europe ou un truc dans le genre). Là, j'ai quand même l'impression d'une inexorable dégradation depuis l'été. La pente de la chute n'est pas bien raide, certes, c'est juste un peu moins bien chaque semaine et pour nous, un peu plus douloureux, comme un supplice chinois. Pas forcément techniquement, d'ailleurs (c'est uniformément mauvais depuis le début de saison, dans ce registre) mais physiquement et mentalement... Pardon de tempérer votre optimisme, cher ami Nounouille. Je vous sais fragilisé, comme nous tous, par ce que vous voyez et endurez. Mais continuez de nous communiquer cette foi qui vous permet de ne pas céder à la déception, voire de la sublimer. Vous avez toute mon admiration pour cet acte de courage. Vous devez maintenant en avoir pour nous tous - oui, vous êtes l'Élu - et souffrir que certains ne puissent aller au-delà de la lucidité, voire se laissent engloutir par sa noire froideur. Car la lucidité, c'est la chambre froide où gisent les rêves, la fosse commune où s'amoncellent les espoirs déçus, l'Alcatraz des révoltes intérieures. L'impossibilité d'une île. Continuez d'être notre Steve Mc Queen, notre Tim Robbins. Évadez-nous de cette prison mentale à coups de cuillères à café d'optimisme dans le long tunnel glaiseux que constitue cette saison. Pour qu'au bout du chemin, tous, nous entrevoyions la lumière .

Si c'est pas le plus beau match de la saison (en top 14 du moins), ça n'en est pas loin. Cet alliage de rigueur défensive et d'inspiration offensive - même si inévitablement, on pourra regretter que certains coups n'aient pas été finis - c'est normalement la marque du Stade en phase finale. En janvier, je ne l'attendais pas. Le Stade voulait manifestement prendre un ascendant sur son futur adversaire en coupe d'Europe et montrer, par ailleurs, qu'il était hors de question de se laisser décrocher au classement. De la belle ouvrage et un bien beau match de rugby !

Évidemment OK avec tout ça. Et deux choses qui méritent en effet d'être mises en exergue : (1) l'excuse de la coupe d'Europe (que j'ai souvent convoquée lors des matches aller) ne tient effectivement pas en ce moment et (2) en début de saison - et de match, aujourd'hui - on gagnait des duels. Niveau ballon, c'est moche depuis le début de saison mais on s'envoyait et ça pouvait compenser Là, on est à la rue dans ce domaine aussi car le bloc ou le collectif homogène qui a pu arracher quelques bons nuls en première partie de saison, n'existe plus. Je ne pense pas que ce soit un problème d'état d'esprit - j'en suis même certain - sauf peut-être chez Dallinga dont certaines attitudes m'agacent (comme chez Spierings mais on peut difficilement incriminer ce dernier aujourd'hui ). Plutôt un souci physique de fond (chez Suazo ou Schmidt, au premier chef) et sans doute aussi un problème mental. Un sentiment d'impuissance est en train de gagner l'équipe et quand tu as un rat dans la cervelle, ça finit aussi par rejaillir sur les efforts que tu fournis. En début de deuxième MT il me souvient une sortie de camp des Lensois après qu'un défenseur a effacé trois ou quatre Toulousains ; ça se finit en occase lensoise, comme par hasard jugulée par Mawissa, le seul constamment à la hauteur de l'enjeu, mentalement et physiquement, ce qui est trop peu.

Oui, le forum se divise en deux camps, comdab, concernant l'origine du marasme (encore que marasme est exagéré : pour l'heure, je ne vais pas au-delà de "saison décevante"). C'est la faute au coach ou c'est la faute aux joueurs. Je penche toujours pour la dernière option mais je suis quand même de plus en plus critique vis-à-vis du coach. Quant à Mawissa, il divise le forum en un seul camp : celui de l'enthousiasme.