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Gollum

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Tout ce qui a été posté par Gollum

  1. Appelez-le Pugaard (si on en croit l'incruste de l'Équipe donnant le nom du premier buteur toulousain du soir...).
  2. Bah, en début de championnat, Dijon était quand même annoncé parmi les favoris (même si j'ai dit ne pas avoir été plus que ça impressionné par leur recrutement). Du coup, tu peux te dire qu'avec un coach dont on a expérimenté le potentiel de (re)mobilisation et un traumatisme de la descente éventuellement en train d'être digéré (parce que Dijon, comme nous avant eux, c'est salement descendu en L2...), ça peut faire un truc un peu détonnant. Perso, je me méfie. Et je doute que de notre côté, on n'ait pas un coup de pompe tôt ou tard... Ceci dit, je préfère notre place à la leur, hein .
  3. Et j'ajouterais, bigrement intelligent.
  4. Là je te trouve généreux .
  5. C'est ça. Hésitant, manque criant d'autorité. Et pour un DC, le manque d'autorité, c'est emmerdant...
  6. Les deux sont cumulables...
  7. Par la même occasion, s'il peut nous en dire plus sur Pugaard, le premier buteur toulousain du soir, je suis preneur .
  8. Il me semble qu'il reste 29 journées à disputer...
  9. Paris sera un poursuivant sérieux et surtout, Garande est en train de refaire sa spéciale remontée avec Dijon... (et j'ajoute qu'Ajaccio se fait quand même bien sucrer le pénis, ce soir...)
  10. Quelle marge... Retors en début de rencontre mais pas plus. Tôt ou tard, c'est comme si le TFC devait marquer, inéluctablement, et conserver ensuite... Y'a un petit côté PSG dans cette équipe toulousaine. On peut toujours s'amuser à mégoter, trouver que ci, que ça, qu'untel pourrait faire mieux bref, faire semblant de se faire peur ou presque. Mais en définitive, la L2 est un championnat qui se joue à 19 et que Toulouse regarde de (tout en) haut... Pourvu que ça dure quand même.
  11. ah mais le nombre dans la surface est une chose : cette équipe se projette, effectivement. Elle se projette, elle se replie... elle court, comme nous l'avons tous noté. Mais techniquement, je reste sur ma faim. Onaiwu a raté tous les ballons qu'il a essayé de contrôler (et d'ailleurs, c'est sur un de ses contrôles manqués qu'on ouvre le score ). Les latéraux ont aussi eu du déchet (il me semble que les deux derniers matches de Dessler sont un peu en dessous des précédents). Brecht, en revanche, a élevé le niveau entrevu ces derniers temps.
  12. Spierings n'a surtout pas joué au début, comme par hasard quand notre jeu était moins maîtrisé. Depuis qu'il est titulaire, cette équipe a trouvé rien moins que son équilibre. Mais bon, je répète, question de goût...
  13. Chacun ses goûts . Les deux sont excellents, de toute façon.
  14. Très sévère... Lent, non. Il a été assez en vue et a fait mal à la défense adverse. La répétition des efforts, c'est un vrai souci, la précision technique aussi (il n'est pas le seul). Mais sa rentrée n'est pas "catastrophique".
  15. Pour moi, c'est carrément celui de ce début de saison...
  16. Je parlerais plus de fulgurances que de niveau élevé. C'est déjà très, très bien car si en plus de jouer vite et de se déplacer partout, cette équipe alignait les passes comme le PSG, elle remporterait tous ses matches fingers in the nose. Mais justement, Brecht, Ado, Healey (bien sûr), Desler, Sylla ont trop de déchet pour que l'ensemble de la partie soit techniquement fluide.
  17. Ah, merci Dide !! J'avais peur de manquer le fil de l'actualité . Blague à part, le cas Ainu'u va finir par poser problème... À partir de sa rentrée, le Stade se fait défoncer en mêlée. Et le souci, c'est que je n'ai jamais vu ce jeune garçon ne pas se faire défoncer en mêlée. Et je dis bien "défoncer", pas simplement "dominer". Au point que le Stade doive inventer sa vraie fausse blessure en fin de match et consentir àjouer avec un mec de moins... Je pense qu'on va voir venir un pilier droit assez vite... Ou alors, qu'Ainu'u fasse du joug jour et nuit...
  18. Oui, et ce sera forcément reconduit, ne serait-ce que pour conserver Ngoumou en super sub(encore qu'à ce titre, Ratao offre aussi une option). Mais attention, les déplacements grenoblois n'étaient pas très compliqués à neutraliser . Parfois voire souvent, on sous-estime le mérite de notre équipe (or, elle est vraiment forte, pour cette L2). Mais il faut aussi réaliser que l'adversaire était faiblissime (je ne pense d'ailleurs pas que le coach grenoblois fera de vieux os).
  19. J'ai la même vision du match (j'ai appelé ça un faux 4-3-3). Ce qui est nouveau, c'est cette espèce de 4-3-3 modulaire, capable de se transformer en 442 selon les courses des joueurs. En revanche, le volume des courses ne m'a pas semblé si différent de ce que j'ai vu lors des matches précédents. Cette équipe galope tout le temps. Beaucoup. Ce qui me laisse craindre un coup de pompe hivernal, sans le craindre vraiment car toutes les équipes ont un coup de moins bien, en cours de saison.
  20. Compliqué de "figer" ce milieu, en effet. Parfois, en première période, j'ai vu une sorte de trapèze, avec Spierings et VdB un peu reculés (gauche et droite chacun) et devant, Brecht et Genreau (gauche et droite aussi). Mais si Brecht (quasi ailier gauche) et Spierings (sentinelle) ont à peu près gardé leur zone, Genreau s'est promené un peu partout et VdB s'est retrouvé assez libre, aussi. Je pense que l'une des directions de Montanier, c'est de demander aux joueurs d'aller là où est l'espace libre (en attaque) et là où sont les joueurs adverses (en défense). D'où cette impression de courses quasi incessantes. La mobilité est vraiment ce qui caractérise cette équipe toulousaine (quand on se souvient des plots casanovesques, quel contraste...).
  21. Les Toulousains n'ont pas eu à forcer leur talent. D'abord parce que leur force, c'est justement de forcer une bonne partie du match . Comme d'habitude, beaucoup de concentration, de volume, de courses et un système assez désarmant de faux 442 (Brecht en vrai-faux ailier gauche) ont eu raison de la petite résistance grenobloise. Ensuite parce que nos attaquants ont montré qu'ils avaient juste le talent nécessaire. À 1-0, il n'y avait déjà plus personne, en face. Je ne sais pas ce qui est arrivé à ces Grenoblois, à l'intersaison (à part la perte de leur coach, ce qui est sans doute trop). Mais avoir joué les premiers rôles la saison dernière et devenir "ça", je suis obligé d'éprouver quelque compassion à l'endroit des supporters grenoblois... C'est le genre de match qui va pas rehausser les actions de la L2 mais les chances du TFC de monter, si, et c'est bien l'essentiel . Du coup, j'en viendrais presque à faire la fine bouche. Bien sûr, le contenu a été plaisant, la vraie nouveauté résidant, pour moi, dans la liberté de déplacement de Genreau (je sais même pas exactement où il était censé être positionné...). Et bien sûr, le relâchement de fin de match ne compte pas. Par contre, j'ai plusieurs fois été agacé par un déchet technique excessif. Onaiwu plante deux buts mais en dehors de ça, il a tout foiré. Sylla a 12 poumons mais fait toujours du Sylla. Même VdB n'a pas eu sa précision habituelle. Disons que y'avait la place pour en mettre le double. Mais bon, je chipote. La différence de niveau entre ce TFC et son adversaire du jour est abyssale. Montanier a pu faire tourner et le club peut maintenant commencer à cibler ses adversaires et ses grands rendez-vous. Difficile de rêver à saison mieux entamée .
  22. Je suis également étonné par son placement (je fais partie de ceux qui lui voient une responsabilité, sur le but, ce qui m'empêche de considérer qu'il a été si bon que certains disent, au Havre). Mais admettons qu'il craigne une frappe surpuissante sur côté ouvert ou, plus sûrement, un ballon dans la surface qui termine sur la tête d'un coéquipier. Y'a plusieurs options à envisager et ce n'est évidemment pas simple. En revanche, je le trouve trop lent à la réaction (j'ai même l'impression qu'il foire son premier appui ou un truc dans le genre...).
  23. Ben disons que l'avantage, avec Gollum sur l'épistémologie, c'est qu'en t'arrêtant au troisième mot d'une phrase qui a à peine commencé (vu qu'elle n'en est qu'au troisième mot quand tu t'arrêtes ), tu abrèges assez vite tes souffrances .
  24. On pourrait se marrer deux minutes . Outre la morgue des journalistes connaisseurs du foot, expliquant avant le match que Paris, c'était à des années lumières du petit club brugeois (lequel pourrait en emmerder d'autres, soit dit en passant parce que ces jeunes gens m'ont fort impressionné), le match d'hier met au jour deux handicaps parisiens, l'un habituel, l'autre négligé : (1) Paris n'a toujours pas un milieu travailleur digne de ce nom; les Parisiens ont planté chacune de leurs campagnes européennes à cause de ça et n'ont toujours pas réglé le souci. Or, quand tu défends à 7 joueurs de champ au mieux, c'est un gros souci. (2) empiler les momies rutilantes, c'est sympa mais quand tu vois le peps du dénommé Lang, en face, tu te dis que Messi, même si c'est encore très bien (Neymar, nettement moins...), c'est un peu comme Djoko, Federer et Nadal en tennis : non seulement ça prend une année supplémentaire par an () mais chaque année, y'a des jeunots qui progressent de façon exponentielle et se mettent à tout péter alors que personne ne les attendait. Or, les jeunots en question ne sont pas à Paris. Donc, oui, je sens qu'on va se marrer...
  25. En épistémologie, on considère généralement qu'une bonne théorie scientifique n'est justement une théorie qu'à partir du moment où elle est "réfutable". Autrement dit, elle est construite de telle sorte que même en tentant de la défendre, si quelque chose la contredit, elle n'est plus valable. Quand, a posteriori, face à un événement contraire, on essaie de sauver la théorie à coups de circonlocutions plus ou moins sibyllines, on franchit le pas qui sépare la science du dogme. Alors, naturellement, le jugement qu'on porte sur un match ou joueur de foot n'est pas un exercice scientifique. On ne fait pas de théorie, on réagit à un truc qui nous plaît, nous passionne, nous agace et on donne notre avis pour le plaisir de le donner. Ce qui est singulier, dans ton cas -mais tout le forum est au courant, je crois- c'est que tu tentes systématiquement de rationaliser, d'objectiver la folle passion que tu éprouves pour Rouault. Au lieu de t'en tenir à "je l'aime", tu nous expliques chaque WE qu'il est fondamentalement irréprochable même lorsqu'il devient compliqué de contester qu'il a commis une ou deux grosses bêtises. J'avoue ne pas comprendre ce dont ça procède et je ne comprends pas plus ce que tes contradicteurs trouvent à y redire puisque justement, ta position est dogmatique ; tout ce que tu postes confirmera toujours l'axiome qui fonde ton propos : Rouault est bon. C'est tout ce qui me concerne, en l'occurrence. Je ne pense pas que tu croies en ton propre argument -un match se juge sur sa "globalité" (vu qu'il y a des moments où il ne se passe rien)- et même en rebondissant sur cet argument, le match de Rouault (et de son compère de la DC) pourrait être critiqué (car il est des matches où l'équipe est sous pression et ça devient vraiment hard pour les DC; mais comme équipe "pressante", j'ai quand même vu plus redoutable que Le Havre, sans parler de son escouade offensive, franchement limitée...). Mais bon, c'est en l'occurrence un argument opportuniste, que tu brandis "parce que Rouault". Si c'était un autre joueur, je ne doute pas que tu aurais la tête plus froide...
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