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Toulousiano

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ce soir je vais me mater un film que tout le monde a du voir sauf moi : saw

bon finalement j'ai pas maté ça, j'ai vu "millenium", pas la série de merde avec la grosse (:blush:), mais le film scandinave sorti l'an dernier..

et là je dis : :(

du très très bon cinéma -_-

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bon finalement j'ai pas maté ça, j'ai vu "millenium", pas la série de merde avec la grosse (:blush:), mais le film scandinave sorti l'an dernier..

et là je dis : -_-

du très très bon cinéma -_-

Pas vu en entier (saloperie de 72 minutes :( ) mais j'avais beaucoup aimé!

Sinon j'ai revu The Big Lebowski hier soir! Ce film est génial! -_-

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on est d'accord, mario est au cinéma ce que yoda est à la musique <_<

-_-

je trouve le traitement des deux sujets maladroit.

Into the wild : au début cela part comme un remake du Lauréat (sacré film), apres le gars il brule son pognon pour retourner à la nature et rencontre que des gens sympas ( Candide au pays des Indiens) tout cela dans un drame psychologique lié à des parents qui se foutent sur la gueule...Les images sont belles, les scenes au ralenti moyenne....(le gars se rase avec l'aide du systeme d'arrosage grandeur nature, ou bien il se lave la figure sous une cascade d'eau...), bref il n'y a aucune surprise dans ce film, tout est assez cousu du fil blanc. Quand à l'acteur avec sa gueule d'ange, on y croit pas du tout, cela sonne faux tout le long du film. La scène du serrage de ceinture par perte de poids qui revient plusieurs fois au cas où on comprendrait pas que quand on bouffe pas on ne risque pas de grossir...Film trop long, on s'emmerde, l'emotion ne passe pas.

Donnie Darko : Au début je croyais que c'était un sujet sur la schizophrénie, du style la vision de la vie déformé par le prisme de la maladie. Pourquoi pas c'était pas mal. Par contre quand arrive la fin, on comprends que le sujet c'est bien de la science fiction et que le gars se scrifie pour sauver la planète. Ensuite je vais voir les commentaires sur le net, la vision de l'auteur du film, et là je suis encore plus perplexe

Le réalisateur Richard Kelly donne sa théorie personnelle dans les commentaires du DVD et dans plusieurs interviews. Selon lui, le 2 octobre à minuit, un « univers tangent » se sépare de l'univers normal au moment où Donnie est appelé pour la première fois par Frank, immédiatement avant l'arrivée de l'artefact. Cet univers, instable par nature, s'arrêtera inévitablement dans moins de six semaines et détruira l'« univers premier » si l'élément perturbateur, à savoir l'arrivée de l'artefact, n'est pas corrigé. Le rôle de Donnie (le « Living Receiver ») est d'assurer la fermeture de l'« univers tangent », et reçoit pour cette tâche certains pouvoirs surnaturels. Ceux qui meurent ou qui vont mourir dans l'« univers tangent », les « Manipulated Dead », peuvent guider et assister Donnie pour que sa mission soit une réussite. Frank lui apparaît ainsi à plusieurs reprises, tandis que Gretchen va influencer le choix final de Donnie. Les autres personnages « Manipulated Living » savent inconsciemment ce qui se passe et poussent Donnie à fermer l'« univers tangent ».

Le site web officiel du film donne une autre interprétation, éclaire certaines zones d'ombre sur l'histoire et révèle ce qui arrive à plusieurs personnages de l'« univers premier », une fois corrigé. Le film en lui-même laisse ouverte la possibilité que toute l'histoire se déroulant dans l'« univers tangent » soit en fait une hallucination ou un rêve du héros, lequel est considéré comme un schizophrène paranoïaque par son psychiatre bien qu'elle lui avoue implicitement par la suite, dans la version longue du film, qu'il n'est pas fou, ses médicaments étant des placebos. La diversité des analyses faites par les fans montre bien à quel point le film peut être vu et compris selon différents angles.

:blush-anim:

C'est comme un tableau en fait, on choisit sa version.

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<_<

je trouve le traitement des deux sujets maladroit.

Into the wild : au début cela part comme un remake du Lauréat (sacré film), apres le gars il brule son pognon pour retourner à la nature et rencontre que des gens sympas ( Candide au pays des Indiens) tout cela dans un drame psychologique lié à des parents qui se foutent sur la gueule...Les images sont belles, les scenes au ralenti moyenne....(le gars se rase avec l'aide du systeme d'arrosage grandeur nature, ou bien il se lave la figure sous une cascade d'eau...), bref il n'y a aucune surprise dans ce film, tout est assez cousu du fil blanc. Quand à l'acteur avec sa gueule d'ange, on y croit pas du tout, cela sonne faux tout le long du film. La scène du serrage de ceinture par perte de poids qui revient plusieurs fois au cas où on comprendrait pas que quand on bouffe pas on ne risque pas de grossir...Film trop long, on s'emmerde, l'emotion ne passe pas.

Donnie Darko : Au début je croyais que c'était un sujet sur la schizophrénie, du style la vision de la vie déformé par le prisme de la maladie. Pourquoi pas c'était pas mal. Par contre quand arrive la fin, on comprends que le sujet c'est bien de la science fiction et que le gars se scrifie pour sauver la planète. Ensuite je vais voir les commentaires sur le net, la vision de l'auteur du film, et là je suis encore plus perplexe

:blush-anim:

C'est comme un tableau en fait, on choisit sa version.

C'est le fondement même de toute oeuvre artistique.

Elle doit créer quelque chose chez celui qui la regarde. On l'interprète avec notre propre sensibilité, notre humeur du moment, nos gouts aussi.

C'est pour ça que ça me fait rigoler quand je lis qu'untel a des gouts de chiottes.

Soit une oeuvre nous parle soit elle nous repousse ou au mieux crée de l'indifférence polie.

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C'est le fondement même de toute oeuvre artistique.

Elle doit créer quelque chose chez celui qui la regarde. On l'interprète avec notre propre sensibilité, notre humeur du moment, nos gouts aussi.

C'est pour ça que ça me fait rigoler quand je lis qu'untel a des gouts de chiottes.

Soit une oeuvre nous parle soit elle nous repousse ou au mieux crée de l'indifférence polie.

je le sais parfaitement et je l'ai fait exprès de l'écrire :blush-anim:

sauf qu'un tableau n'a pas besoin spécialement de cohérence, un film, une pièce, un livre, il en faut un minimum à mon gout bien sur.

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je le sais parfaitement et je l'ai fait exprès de l'écrire :blush-anim:

sauf qu'un tableau n'a pas besoin spécialement de cohérence, un film, une pièce, un livre, il en faut un minimum à mon gout bien sur.

Je ne suis pas certain qu'un tableau ou qu'un poème n'aient pas besoin de cohérence.

Mais c'est sur que c'est plus évident pour un livre ou un film.

Au fait, ça fait longtemps que tu n'as pas posté de vidéos persos.

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