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Rachat du club


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Il y a 9 heures, Spidav3231 a dit :

Une info sur le départ de Mbappe a Madrid ? 

Si les investisseurs se barrent ....ça va commencer sacrément à puer à la LFP ...

L’article cité parle d’un intérêt non sollicité: ça veut dire que quelqu’un vient te chercher pour vendre alors que le propriétaire n’était à priori pas positionné comme vendeur donc pourquoi parler d’une fuite des investisseurs ? Si quelqu’un te démarche ça montre au contraire que tu es attractif donc où est le signe négatif là dedans ?

Je ne vois pas non plus le rapport avec Mbappé 

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il y a 26 minutes, Spidav3231 a dit :

Nous verrons bien.... Mais les investisseurs ne viennent pas pour la beauté du football français... 

Un investisseur de va jamais dans un domaine pour la beauté.

Quelqu'un qui investi dans les énergies verte, professionnel ou particulier le fait pour les grasses subvention et sa conscience personnelle pas pour la beauté du geste.

Modifié par VioletSmurf
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Il y a 1 heure, Asha31 a dit :

En tout les cas, on note un courageux et élégant mea culpa de lesviolets.cons. C'est tout à leur honneur -_-

 

 

:ninaj:

"Le président peut possiblement jouer sur les mots"

Avec des infos comme ça on peut en faire des articles #insiders #vouslaurezluicienpremier #commeannoncésurLV.com

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Il y a 2 heures, Asha31 a dit :

En tout les cas, on note un courageux et élégant mea culpa de lesviolets.cons. C'est tout à leur honneur -_-

 

 

:ninaj:

En effet, le  :ninja: s'impose.

Avec 40 ans de retard, ils découvrent que les PB sont un paradis fiscal pour les sociétés et que la detention directe d'actifs date du moyen-âge économique, saut pour le plombier ou l'épicier du coin. Ça progresse.

A ce rythme, peut-être que dans 20 ans JB aimera le Tef, et pas seulement pour ce que le Tef lui permet d'être.

Va-t-il faire encaisser ses clics aux PB ou dans une fiducie luxembourgeoise maintenant qu'il commence à comprendre que la vérité ne sort pas que du café du commerce après un apéro trop prolongé? Mystère. A suivre donc.

Modifié par Alfcat
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il y a 55 minutes, 3noze3 a dit :

"Le président peut possiblement jouer sur les mots"

Avec des infos comme ça on peut en faire des articles #insiders #vouslaurezluicienpremier #commeannoncésurLV.com

"Officialisation à venir dans les heures qui suivent..."

Ils passent quand même encore pour de sacrés branquignoles.

Parce qu'encore une fois, ils ont une info, celle qu'il y a aurait du changement à hauteur des propriétaires. Mais ils sont tellement pressés de balancer comme des hystériques qu'ils ont l'info exclusives avant tout le monde, en d'en faire un drama, qu'ils ne montrent ni prudence, ni recul. Et après ça se dit journalistes...

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  • 2 semaines plus tard...

Et pourquoi pas Nathalie Portman au board du club ? 😎

https://www.lequipe.fr/Football/Article/Pourquoi-les-stars-du-cinema-et-de-la-musique-investissent-dans-le-soccer-aux-etats-unis/1447276

Pourquoi les stars du cinéma et de la musique investissent dans le soccer aux États-Unis

Au pays du « soccer », on a vu passer beaucoup de stars du ballon rond. Lionel Messi, Thierry Henry, Kaka ou encore Zlatan Ibrahimovic, ils ont tous fait un passage, plus ou moins éclair, dans les rangs de la Major League Soccer (MLS). Mais, aujourd'hui, la ligue nord-américaine semble attirer un autre type de célébrités. Loin des plateaux de cinéma et des salles de concerts, les stars du show-business ont trouvé dans la MLS et le soccer un nouveau terrain de jeu.

L'une des plus récentes franchises de la ligue, l'Austin FC, fondée en 2019, compte par exemple au sein de son groupe d'investisseurs, l'acteur oscarisé Matthew McConaughey. À 2 000 kilomètres de là, à Los Angeles, Will Ferrell, connu pour ses comédies à succès dans les années 2000, est l'un des copropriétaires du LAFC. Toujours en Californie, mais cette fois-ci dans le football féminin, Natalie Portman est à l'origine de la création du Angel City FC, et co-actionnaire du club avec Jessica Chastain, Uzo Aduba, ou encore Eva Longoria pour ne citer qu'elles. Une constellation de « stars » en tout genre qui maille ainsi la carte du football étasunien.

Si cette tendance « n'est pas nouvelle », elle est beaucoup plus importante aujourd'hui. « Dans les années 70, il y avait une ligue de soccer, la NASL, où Elton John était déjà copropriétaire d'une équipe (Les Aztecs de Los Angeles) qui a vu passer Johan Cruyff ou George Best entre autres. Il y avait également un autre club, les Philadelphia Fury, qui appartenait à l'époque à Peter Frampton, Mick Jagger et Paul Simon », rappelle Luc Arrondel, économiste et directeur de recherche au CNRS.

Des clubs qui ont vite fini par mettre la clé sous la porte, faute d'un modèle économique viable et victime d'une époque où le soccer n'était pas aussi apprécié. Mais, désormais, les choses ont changé. Le ballon rond gagne chaque année en popularité, et tape dans l'oeil des people. « Plus le football devient populaire aux États-Unis, plus les stars s'y intéressent », observe Antoine Latran, journaliste spécialiste de la MLS. « Il y a un côté aussi très mainstream aujourd'hui autour du football aux États-Unis, ce qui rend l'investissement plus "cool" d'une certaine façon », ajoute-t-il.

Denis Bouanga célébrant la victoire du Los Angeles FC face à Vancouver (5-2) en octobre dernier. (J. Durr/Usa Today Sports/Reuters)

Denis Bouanga célébrant la victoire du Los Angeles FC face à Vancouver (5-2) en octobre dernier. (J. Durr/Usa Today Sports/Reuters)

Ces dix dernières années, les investissements des célébrités dans des clubs de football aux États-Unis ont ainsi presque été multipliés par dix. S'ils étaient, dans les années 70, des cas isolés et le plus souvent « passionnels », ils sont aujourd'hui plus répandus. Une tendance d'abord explicable par le coût d'entrée peu cher pour les investisseurs. « Investir en MLS est beaucoup moins cher que dans les autres ligues telles que la NFL, la MLB, la NHL ou la NBA par exemple », précise Antoine Latran.

Un modèle d'investissement moins risqué

À l'opposé, en Europe, les investissements des célébrités dans le football se font plus rares. Mis à part Ryan Reynolds et Rob McElhenney à Wrexham, au Pays de Galles, les exemples sont peu nombreux.

Si l'investissement des célébrités dans le football est aussi différencié entre l'Amérique et l'Europe, c'est également dû à l'une des spécificités des championnats nord-américains. « L'investissement des "stars" au niveau des ligues sportives américaines, comme la MLS, est beaucoup moins risqué que pour les stars françaises, par exemple, qui pourraient investir dans des clubs européens, tout simplement parce que le système nord-américain de ligue fermée leur garantit une stabilité, et d'une façon générale, une création de valeur » explique Vincent Chaudel, expert en marketing et cofondateur de l'Observatoire du Sport Business.

« Si vous investissez chez nous, dans un club qui est en Ligue 1 et que malheureusement, il est relégué en Ligue 2, vous avez quasiment tout perdu »

Vincent Chaudel, expert en marketing et cofondateur de l'Observatoire du Sport Business

En effet, en MLS, il n'y a, pour rappel, pas de système de relégation, ni de promotion avec les autres divisions inférieures. Un club qui finit dernier du championnat y restera l'année suivante. Cette particularité, la ligue de football américaine l'a voulue dès ses débuts, en 1993, afin de faciliter l'arrivée de nouveaux investisseurs.

« La MLS est née dans les années 90, à une époque où il y avait très peu de "soccer" aux États-Unis, et pas de division professionnelle. Donc ça voulait dire demander à des investisseurs de créer des franchises qui coûtaient des millions de dollars pour les lancer dans une ligue qui n'existait pas encore. C'était un risque total. C'est clair que dès le départ, il n'a jamais été question de promotion ou de relégation, simplement d'attirer des investisseurs qui vont être capables de mettre les millions qu'il faut », précise Antoine Latran. Un « cocon » financier qui a permis à la ligue nord-américaine d'être plus attractive, et surtout, d'attirer une multitude d'investisseurs, plus ou moins riches, à l'image des célébrités.

Une nouvelle dimension pour le « soccer » aux États-Unis

L'investissement de plus en plus important des célébrités dans le soccer est également le reflet de la nouvelle dimension populaire et économique que prend ce sport aux États-Unis. D'abord mis de côté par les Américains, le soccer attire aujourd'hui les foules dans ses stades.

En moins de dix ans, la MLS a presque doublé son nombre de spectateurs. Lors de la saison 2022-2023, 10,8 millions de spectateurs se sont donné rendez-vous dans un stade de MLS. À titre de comparaison, il y avait 9 millions de spectateurs en Ligue 1 cette même saison. Les célébrités qui se tournaient vers d'autres sports pour investir, investissent maintenant le soccer, considéré plus comme plus facile d'accès, plus populaire et de plus en plus rentable.

Et cette dynamique ne semble pas près de s'arrêter. « Les quatre années à venir vont être des années très importantes pour le football aux États-Unis, avec bien évidemment la Coupe du monde en 2026 mais, déjà, la Coupe du monde des clubs en 2025 et, probablement, la Coupe du monde féminine en 2027, mais aussi les Jeux Olympiques de Los Angeles en 2028. Ça veut dire quatre années importantes où les compétitions majeures auront lieu aux États-Unis », rappelle Vincent Chaudel, cofondateur de l'Observatoire du Sport Business.

Un engouement qui laisse entrevoir une plus grande dynamisation de la ligue et de ce sport dans les années à venir. Beaucoup cherchent ainsi à y investir dès aujourd'hui, afin de faire des placements financiers juteux pour le futur.

« Si vous investissez 50 millions d'euros ou 1 milliard dans une franchise, vous êtes sûr dix ans après que votre mise a été multipliée par 1,2,3 ou 4 », assure Vincent Chaudel. À Los Angeles, notamment, le LAFC de Will Ferrel, qui a dû investir plusieurs centaines de millions d'euros pour son droit d'expansion et la construction de son stade, a aujourd'hui réussi à devenir le club le mieux valorisé de la ligue, atteignant en 2023 le milliard de dollars, selon les estimations du magazine économique Forbes. Ce qui en fait la première franchise milliardaire de la MLS. De quoi encourager d'autres célébrités à miser sur le soccer dans les prochaines années.

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  • 1 mois plus tard...

A mon avis ce n est pas le TEF qui est venu mais la sté qui detient les 85% du capital qui n etaient pas detenus par Rebbird mais par une structure hollandaise il me semble.

Donc pas certain que ca se voit ou que ca se sache plus que cela

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Il y a 2 heures, PHILOUDU14 a dit :

A mon avis ce n est pas le TEF qui est venu mais la sté qui detient les 85% du capital qui n etaient pas detenus par Rebbird mais par une structure hollandaise il me semble.

Donc pas certain que ca se voit ou que ca se sache plus que cela

Ou la voiture de Comolli sur Leboncoin :ninja: 

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Le 18/03/2024 à 17:40, PHILOUDU14 a dit :

A mon avis ce n est pas le TEF qui est venu mais la sté qui detient les 85% du capital qui n etaient pas detenus par Rebbird mais par une structure hollandaise il me semble.

Donc pas certain que ca se voit ou que ca se sache plus que cela

Hypothèse intéressante :)

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