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TFC 2 - Olympique de Marseille 3 / 24è journée de L1


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54 membres ont voté

  1. 1. résultat du match

    • victoire du TFC
    • match nul
    • victoire de Marseille

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Je vous souhaite a tous de vivre des émotions comme un certain TFC bordeaux avec triplé d elmander qui nous envois en LDC. Je crois que j ai jamais vu un stadium en feu que ce jour là où lors du TFC OM 3-0 la même saison. En tout cas il faut mettre le feu au stade quitte a pas avoir de voix le lendemain au travail 😉

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Étonné de voir qu’on arrive péniblement à 4 pages de discussion seulement sur ce TFC OM hyper excitant pour nous.
Ça doit être la seconde meilleure période sportive pour notre club comptablement parlant depuis 30 ans et sans aucun doute la plus prolifique en terme de spectacle. 

Les twitters, insta, telegram, signal, WhatsApp ne seraient-ils définitivement en train de tuer nôtre bon vieux fofo ? 😌

En tout cas j’espère que la fessée qu’on va leur infliger demain va réveiller tout ce petit monde ! 

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Le 16/02/2023 à 22:15, flibustier a dit :

C'est un vrai match de gala, on a pratiquement atteint l'objectif de cette saison, on a donc rien à perdre. Si le TFC mène vite au score, on aura une ambiance qui portera nos joueurs jusqu'au bout j'en suis certain. Si on en a l'occasion il ne faudra pas se priver de les fracasser. :grin:

Et meme si on prend un but ,on remonteras au score et la victoire seras plus belle ,FORZA VIOLA !!!

il y a 6 minutes, Marcico a dit :

Étonné de voir qu’on arrive péniblement à 4 pages de discussion seulement sur ce TFC OM hyper excitant pour nous.
Ça doit être la seconde meilleure période sportive pour notre club comptablement parlant depuis 30 ans et sans aucun doute la plus prolifique en terme de spectacle. 

Les twitters, insta, telegram, signal, WhatsApp ne seraient-ils définitivement en train de tuer nôtre bon vieux fofo ? 😌

En tout cas j’espère que la fessée qu’on va leur infliger demain va réveiller tout ce petit monde ! 

Demain tu risques de voir les pages défillées ,on est pas encore a demain soir mais un Samedi soir à l'heure de l'apéro ^^

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Je crois qu'on est tous dans l'attentisme....

On est excités et anxieux à la fois.

C'est peut être la première année depuis des décennies que le Stadium sera Violet mais , mais.... On ne sait jamais, tout peut changer et si après un but des marseillais la moitié du Stadium se lève , là, ça va être la douche froide .

On sait qu'on peut vivre une très très belle soirée alors on stresse un peu , on a tellement envie de voir un Stadium en fête et renvoyer les derniers pseudo supporters de l'OM chez eux .... Ne serait-ce qu'un nul après une égalisation toulousaine ce serait déjà une belle ambiance assurée. La victoire , j'ai du mal à y croire mais une défaite avec des sourires narquois des pseudo marseillais , ça ça me ferait mal . 

Vivement demain soir 😉

 

 

 

 

 

 

 

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il y a 23 minutes, JR31 a dit :

Je crois qu'on est tous dans l'attentisme....

On est excités et anxieux à la fois.

C'est peut être la première année depuis des décennies que le Stadium sera Violet mais , mais.... On ne sait jamais, tout peut changer et si après un but des marseillais la moitié du Stadium se lève , là, ça va être la douche froide .

On sait qu'on peut vivre une très très belle soirée alors on stresse un peu , on a tellement envie de voir un Stadium en fête et renvoyer les derniers pseudo supporters de l'OM chez eux .... Ne serait-ce qu'un nul après une égalisation toulousaine ce serait déjà une belle ambiance assurée. La victoire , j'ai du mal à y croire mais une défaite avec des sourires narquois des pseudo marseillais , ça ça me ferait mal . 

Vivement demain soir 😉

 

 

 

 

 

 

 

Il doit y avoir de ça oui, une sorte de pudeur à l’idée d’oser imaginer les humilier. Concernant les tribunes je pense que pas mal de choses ont changé depuis 3 ans quand même grâce au fabuleux travail des IT en virage Brice. 
Je suis à peu près sûr qu’on gagnera le match des tribunes quel que soit le scénario du match. 
Forza Viola venez en violet demain 

Modifié par Marcico
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il y a 37 minutes, JR31 a dit :

C'est peut être la première année depuis des décennies que le Stadium sera Violet mais , mais.... On ne sait jamais, tout peut changer et si après un but des marseillais la moitié du Stadium se lève , là, ça va être la douche froide .

Si c'est que le moitié ça sera déjà pas mal par rapport aux années précédentes. :ninja:

Et puis, s'ils nous emmerdent un peu trop, on peut toujours en attraper un ou deux et les tremper dans du goudron et des plumes.

  • Haha 2
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Il y a 12 heures, Marcico a dit :

Étonné de voir qu’on arrive péniblement à 4 pages de discussion seulement sur ce TFC OM hyper excitant pour nous.
Ça doit être la seconde meilleure période sportive pour notre club comptablement parlant depuis 30 ans et sans aucun doute la plus prolifique en terme de spectacle. 

Les twitters, insta, telegram, signal, WhatsApp ne seraient-ils définitivement en train de tuer nôtre bon vieux fofo ? 😌

En tout cas j’espère que la fessée qu’on va leur infliger demain va réveiller tout ce petit monde ! 

Il faut relativiser, marseille ou pas ça reste un match entre un promu et une équipe qui vise la qualification en ldc et qui est depuis pas mal de temps la meilleure équipe du championnat.  On joue en dernier , Monaco se déplace à Brest et devrait logiquement les dépasser au classement ça peut les piquer . Celui qui me stresse c est rouault , je me demande ce qu il va nous inventer celui là aujourd'hui 

  • Jeff 1
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Ca y est !! Nous y sommes !! Je me fou du score comme de ma première chemise.....seul compte l honneur du peuple violet en tribune. Je suis inquiet de vivre une nouvelle invasion et l on constate que la méthode Redbird a ces limites et que " l affiche du dimanche " 😎, ne fera pas le plein, pour moi premier bémol de la soirée, espérons que se soit le seul..🤞.......p...in  !! Nous etions si bien sans ces sardines depuis 3 ans..🤤💜

Modifié par Violet82
  • Feu 1
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30 000 spectateurs vu le prix de certaines places, c'est probablement une recette exceptionnelle !

Or le club doit aussi gérer l'économique pour espérer grandir.

N'oublions pas que ce soir un club avec un budget de 40 M€ reçoit un club de 250 M€.

Et sur le terrain il n'y aura pas deux équipes égales.

Mais je suis sur que nos joueurs donneront tout ce qu'ils ont.

Le problème avec Marseille cette année c'est que eux aussi ils jouent à fond.

Superbe match en perspective.

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L'ÉQUIPE

M
mercatoLigue 1Ligue 2AngleterreEspagneAllemagneItalieLigue des ChampionsLigue EuropaLigue Europa ConférenceCoupe du mondeCoupe de Franceles notesFoot fémininNationalAmateursautres championnats étrangers Ligue des nationsclass. FIFAQualif. Coupe du monde 2022Euromatches amicaux internationauxEuro EspoirsJeux OlympiquesCoupe du monde (-20)Équipes de FranceTrophée des championsCANCopa AmericaCoupe d'Asie des nationsMondial des clubsSupercoupe de l'UEFABallon d'OrLigue des champions d'AfriqueCopa LibertadoresCoupe de la Ligue
Approché cet hiver par Aston Villa, Mattéo Guendouzi pourrait représenter une plus-value conséquente cet été pour l'OM. (F. Faugère/L'Équipe)
Approché cet hiver par Aston Villa, Mattéo Guendouzi pourrait représenter une plus-value conséquente cet été pour l'OM. (F. Faugère/L'Équipe)
Foot L1, OM
issu du journal
Mattéo Guendouzi, plus si essentiel à l'OM
Homme de base de Jorge Sampaoli, l'international français Mattéo Guendouzi se fait une place au forceps dans la formation d'Igor Tudor, avant un probable départ sous d'autres cieux cet été.
Mathieu Grégoire (avec Ba. C. et V. G.), envoyé spécial permanent à Marseille
mis à jour le 19 février 2023 à 00h15
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Il ne doute pas. Depuis son arrivée à l'été 2021, Mattéo Guendouzi (23 ans) la joue souvent plus marseillais que les Marseillais. Hâbleur, bravache, excessif, il démontre surtout une qualité locale, en balayant les obstacles devant lui comme un simple jeu de quilles. Dans le vestiaire olympien, cette force de persuasion couplée à une grande bouche peut amuser ou agacer, mais personne ne sous-estimera une obstination en fer forgé.

Habitué à scruter les rivaux d'Arsenal pendant ses nombreuses saisons en Premier League avec Manchester United, Eric Bailly a d'abord assisté à son éclosion tonitruante au sein des Gunners d'Unai Emery. Avant de retrouver le bonhomme à la crinière bouclée dans les couloirs de la Commanderie. « Côté personnalité, il n'a pas changé, il est toujours fou, dans le bon sens, dit le défenseur central ivoirien, dans un sourire. C'est un très bon joueur, je suis content de ce qu'il fait, on le voit dans ses performances, il est appelé en équipe de France, ce qui est tout sauf facile. Je le félicite. Il a beaucoup progressé, il est mature, il se donne à fond, quel que soit le poste où il doit jouer. Il se rend toujours disponible. »

lire aussi
L'OM ou l'art de la rotation en défense
Disponible, Guendouzi doit l'être sous Igor Tudor, il n'a pas d'autre choix. Au coeur de son système en 3-4-2-1, le technicien croate a installé le duo Rongier-Veretout, dont il aime la sérénité dans l'entrejeu. L'ex-Lorientais, à ce poste de relayeur, est plutôt synonyme de déséquilibre et de panache pour Tudor. Ce n'est pas un défaut pour l'ancien de la Juventus. Mais ses schémas respirent déjà la prise de risques, alors il y ajoute Guendouzi avec parcimonie, quand il faut faire souffler un de ses deux métronomes. Homme de base de Jorge Sampaoli la saison dernière, l'international français (7 sélections) a dû se réinventer dans la formation de Tudor. Il évolue le plus souvent dans la ligne de deux derrière l'attaquant.

Moins décisif que l'an dernier
Il est parfois une variable d'ajustement, pouvant sortir à la pause (contre Monaco et Clermont ces dernières semaines). Il arrive surtout à profiter des rendements décevants de certains (Gerson, Payet), des recompositions tactiques (Ünder baladé entre ce poste et celui de piston droit) ou des états de forme disparates pour être la seconde option la plus stable.

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Toute l'actu de l'OM
Si Amine Harit, en première partie de saison, ou Ruslan Malinovski, depuis son arrivée en janvier, épousent parfaitement la philosophie Tudor, Guendouzi arrive à la comprendre suffisamment pour faire sa place. « Il n'est plus celui que tu mettais d'office dans le onze, comme sous Sampaoli, explique un cadre du club. Mais dans ce raisonnement à la Tudor, qui va monter à "quatorze titulaires", il est un joueur important. » Haut sur le terrain, Guendouzi a moins marqué ou délivré de passes décisives en L1 que l'an passé, à ce stade de l'exercice. « Les dernières saisons, j'avais très peu de statistiques, c'est mon année la plus aboutie à ce niveau », confiait-il au printemps 2022 à propos de la cuvée Sampaoli.

5
Auteur d'un but et de 5 passes décisives cette saison en L1, Mattéo Guendouzi comptait 3 réalisations et 6 offrandes en Championnat à l'entame de la 24e journée l'an dernier.
Il s'épanouit autrement, en attendant un éventuel passage de flambeau à Azzedine Ounahi, au style différent. « Azzedine est dans le dynamisme, la verticalité, le dribble et les transitions, là où Matteo, un travailleur, apporte par son volume de courses et sa rudesse physique », explique-t-on au club. Le départ de Guendouzi est clairement programmé cet été. En janvier, Aston Villa a approché le joueur, avec un contrat mirifique et plusieurs appels d'Emery, qui voulait retrouver son ancien protégé. Le clan Guendouzi a écouté, fait part de cet intérêt à Pablo Longoria, avant de refermer la porte. Les Villans n'ont ainsi formulé aucune offre officielle à l'OM.

Pour les différentes parties, Guendouzi a tout pour être l'un des grands transferts marseillais du prochain mercato. Jeune, international, avec un salaire encore trop conséquent, une capacité d'adaptation prononcée et un profil rare. À quel prix ? Cet hiver, la direction soufflait en voyant la somme de 30 millions d'euros dans les journaux, sous-entendant que sa valeur marchande pouvait être bien plus élevée encore. En ces temps de débrouille et d'inflation, les couteaux suisses sont devenus un luxe.

 
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Approché cet hiver par Aston Villa, Mattéo Guendouzi pourrait représenter une plus-value conséquente cet été pour l'OM. (F. Faugère/L'Équipe)
Foot
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Mattéo Guendouzi, plus si essentiel à l'OM

Homme de base de Jorge Sampaoli, l'international français Mattéo Guendouzi se fait une place au forceps dans la formation d'Igor Tudor, avant un probable départ sous d'autres cieux cet été.

Mathieu Grégoire (avec Ba. C. et V. G.), envoyé spécial permanent à Marseillemis à jour le 19 février 2023 à 00h15
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Habitué à scruter les rivaux d'Arsenal pendant ses nombreuses saisons en Premier League avec Manchester United, Eric Bailly a d'abord assisté à son éclosion tonitruante au sein des Gunners d'Unai Emery. Avant de retrouver le bonhomme à la crinière bouclée dans les couloirs de la Commanderie. « Côté personnalité, il n'a pas changé, il est toujours fou, dans le bon sens, dit le défenseur central ivoirien, dans un sourire. C'est un très bon joueur, je suis content de ce qu'il fait, on le voit dans ses performances, il est appelé en équipe de France, ce qui est tout sauf facile. Je le félicite. Il a beaucoup progressé, il est mature, il se donne à fond, quel que soit le poste où il doit jouer. Il se rend toujours disponible. »

Disponible, Guendouzi doit l'être sous Igor Tudor, il n'a pas d'autre choix. Au coeur de son système en 3-4-2-1, le technicien croate a installé le duo Rongier-Veretout, dont il aime la sérénité dans l'entrejeu. L'ex-Lorientais, à ce poste de relayeur, est plutôt synonyme de déséquilibre et de panache pour Tudor. Ce n'est pas un défaut pour l'ancien de la Juventus. Mais ses schémas respirent déjà la prise de risques, alors il y ajoute Guendouzi avec parcimonie, quand il faut faire souffler un de ses deux métronomes. Homme de base de Jorge Sampaoli la saison dernière, l'international français (7 sélections) a dû se réinventer dans la formation de Tudor. Il évolue le plus souvent dans la ligne de deux derrière l'attaquant.

Moins décisif que l'an dernier

Il est parfois une variable d'ajustement, pouvant sortir à la pause (contre Monaco et Clermont ces dernières semaines). Il arrive surtout à profiter des rendements décevants de certains (Gerson, Payet), des recompositions tactiques (Ünder baladé entre ce poste et celui de piston droit) ou des états de forme disparates pour être la seconde option la plus stable.

 
 

Si Amine Harit, en première partie de saison, ou Ruslan Malinovski, depuis son arrivée en janvier, épousent parfaitement la philosophie Tudor, Guendouzi arrive à la comprendre suffisamment pour faire sa place. « Il n'est plus celui que tu mettais d'office dans le onze, comme sous Sampaoli, explique un cadre du club. Mais dans ce raisonnement à la Tudor, qui va monter à "quatorze titulaires", il est un joueur important. » Haut sur le terrain, Guendouzi a moins marqué ou délivré de passes décisives en L1 que l'an passé, à ce stade de l'exercice. « Les dernières saisons, j'avais très peu de statistiques, c'est mon année la plus aboutie à ce niveau », confiait-il au printemps 2022 à propos de la cuvée Sampaoli.

5
Auteur d'un but et de 5 passes décisives cette saison en L1, Mattéo Guendouzi comptait 3 réalisations et 6 offrandes en Championnat à l'entame de la 24e journée l'an dernier.

Il s'épanouit autrement, en attendant un éventuel passage de flambeau à Azzedine Ounahi, au style différent. « Azzedine est dans le dynamisme, la verticalité, le dribble et les transitions, là où Matteo, un travailleur, apporte par son volume de courses et sa rudesse physique », explique-t-on au club. Le départ de Guendouzi est clairement programmé cet été. En janvier, Aston Villa a approché le joueur, avec un contrat mirifique et plusieurs appels d'Emery, qui voulait retrouver son ancien protégé. Le clan Guendouzi a écouté, fait part de cet intérêt à Pablo Longoria, avant de refermer la porte. Les Villans n'ont ainsi formulé aucune offre officielle à l'OM.

Pour les différentes parties, Guendouzi a tout pour être l'un des grands transferts marseillais du prochain mercato. Jeune, international, avec un salaire encore trop conséquent, une capacité d'adaptation prononcée et un profil rare. À quel prix ? Cet hiver, la direction soufflait en voyant la somme de 30 millions d'euros dans les journaux, sous-entendant que sa valeur marchande pouvait être bien plus élevée encore. En ces temps de débrouille et d'inflation, les couteaux suisses sont devenus un luxe.

Modifié par mora
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il y a 9 minutes, mora a dit :

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Approché cet hiver par Aston Villa, Mattéo Guendouzi pourrait représenter une plus-value conséquente cet été pour l'OM. (F. Faugère/L'Équipe)
Approché cet hiver par Aston Villa, Mattéo Guendouzi pourrait représenter une plus-value conséquente cet été pour l'OM. (F. Faugère/L'Équipe)
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Mattéo Guendouzi, plus si essentiel à l'OM
Homme de base de Jorge Sampaoli, l'international français Mattéo Guendouzi se fait une place au forceps dans la formation d'Igor Tudor, avant un probable départ sous d'autres cieux cet été.
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Il ne doute pas. Depuis son arrivée à l'été 2021, Mattéo Guendouzi (23 ans) la joue souvent plus marseillais que les Marseillais. Hâbleur, bravache, excessif, il démontre surtout une qualité locale, en balayant les obstacles devant lui comme un simple jeu de quilles. Dans le vestiaire olympien, cette force de persuasion couplée à une grande bouche peut amuser ou agacer, mais personne ne sous-estimera une obstination en fer forgé.

Habitué à scruter les rivaux d'Arsenal pendant ses nombreuses saisons en Premier League avec Manchester United, Eric Bailly a d'abord assisté à son éclosion tonitruante au sein des Gunners d'Unai Emery. Avant de retrouver le bonhomme à la crinière bouclée dans les couloirs de la Commanderie. « Côté personnalité, il n'a pas changé, il est toujours fou, dans le bon sens, dit le défenseur central ivoirien, dans un sourire. C'est un très bon joueur, je suis content de ce qu'il fait, on le voit dans ses performances, il est appelé en équipe de France, ce qui est tout sauf facile. Je le félicite. Il a beaucoup progressé, il est mature, il se donne à fond, quel que soit le poste où il doit jouer. Il se rend toujours disponible. »

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Moins décisif que l'an dernier
Il est parfois une variable d'ajustement, pouvant sortir à la pause (contre Monaco et Clermont ces dernières semaines). Il arrive surtout à profiter des rendements décevants de certains (Gerson, Payet), des recompositions tactiques (Ünder baladé entre ce poste et celui de piston droit) ou des états de forme disparates pour être la seconde option la plus stable.

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Auteur d'un but et de 5 passes décisives cette saison en L1, Mattéo Guendouzi comptait 3 réalisations et 6 offrandes en Championnat à l'entame de la 24e journée l'an dernier.
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Homme de base de Jorge Sampaoli, l'international français Mattéo Guendouzi se fait une place au forceps dans la formation d'Igor Tudor, avant un probable départ sous d'autres cieux cet été.

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Habitué à scruter les rivaux d'Arsenal pendant ses nombreuses saisons en Premier League avec Manchester United, Eric Bailly a d'abord assisté à son éclosion tonitruante au sein des Gunners d'Unai Emery. Avant de retrouver le bonhomme à la crinière bouclée dans les couloirs de la Commanderie. « Côté personnalité, il n'a pas changé, il est toujours fou, dans le bon sens, dit le défenseur central ivoirien, dans un sourire. C'est un très bon joueur, je suis content de ce qu'il fait, on le voit dans ses performances, il est appelé en équipe de France, ce qui est tout sauf facile. Je le félicite. Il a beaucoup progressé, il est mature, il se donne à fond, quel que soit le poste où il doit jouer. Il se rend toujours disponible. »

Disponible, Guendouzi doit l'être sous Igor Tudor, il n'a pas d'autre choix. Au coeur de son système en 3-4-2-1, le technicien croate a installé le duo Rongier-Veretout, dont il aime la sérénité dans l'entrejeu. L'ex-Lorientais, à ce poste de relayeur, est plutôt synonyme de déséquilibre et de panache pour Tudor. Ce n'est pas un défaut pour l'ancien de la Juventus. Mais ses schémas respirent déjà la prise de risques, alors il y ajoute Guendouzi avec parcimonie, quand il faut faire souffler un de ses deux métronomes. Homme de base de Jorge Sampaoli la saison dernière, l'international français (7 sélections) a dû se réinventer dans la formation de Tudor. Il évolue le plus souvent dans la ligne de deux derrière l'attaquant.

Moins décisif que l'an dernier

Il est parfois une variable d'ajustement, pouvant sortir à la pause (contre Monaco et Clermont ces dernières semaines). Il arrive surtout à profiter des rendements décevants de certains (Gerson, Payet), des recompositions tactiques (Ünder baladé entre ce poste et celui de piston droit) ou des états de forme disparates pour être la seconde option la plus stable.

 
 

Si Amine Harit, en première partie de saison, ou Ruslan Malinovski, depuis son arrivée en janvier, épousent parfaitement la philosophie Tudor, Guendouzi arrive à la comprendre suffisamment pour faire sa place. « Il n'est plus celui que tu mettais d'office dans le onze, comme sous Sampaoli, explique un cadre du club. Mais dans ce raisonnement à la Tudor, qui va monter à "quatorze titulaires", il est un joueur important. » Haut sur le terrain, Guendouzi a moins marqué ou délivré de passes décisives en L1 que l'an passé, à ce stade de l'exercice. « Les dernières saisons, j'avais très peu de statistiques, c'est mon année la plus aboutie à ce niveau », confiait-il au printemps 2022 à propos de la cuvée Sampaoli.

5
Auteur d'un but et de 5 passes décisives cette saison en L1, Mattéo Guendouzi comptait 3 réalisations et 6 offrandes en Championnat à l'entame de la 24e journée l'an dernier.

Il s'épanouit autrement, en attendant un éventuel passage de flambeau à Azzedine Ounahi, au style différent. « Azzedine est dans le dynamisme, la verticalité, le dribble et les transitions, là où Matteo, un travailleur, apporte par son volume de courses et sa rudesse physique », explique-t-on au club. Le départ de Guendouzi est clairement programmé cet été. En janvier, Aston Villa a approché le joueur, avec un contrat mirifique et plusieurs appels d'Emery, qui voulait retrouver son ancien protégé. Le clan Guendouzi a écouté, fait part de cet intérêt à Pablo Longoria, avant de refermer la porte. Les Villans n'ont ainsi formulé aucune offre officielle à l'OM.

Pour les différentes parties, Guendouzi a tout pour être l'un des grands transferts marseillais du prochain mercato. Jeune, international, avec un salaire encore trop conséquent, une capacité d'adaptation prononcée et un profil rare. À quel prix ? Cet hiver, la direction soufflait en voyant la somme de 30 millions d'euros dans les journaux, sous-entendant que sa valeur marchande pouvait être bien plus élevée encore. En ces temps de débrouille et d'inflation, les couteaux suisses sont devenus un luxe.

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Les Néerlandophones Thijs Dallinga (à g.), Branco van den Boomen (au centre) et Brecht Dejaegere. (R. Perrocheau/L'Équipe)

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Toulouse

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Comment Toulouse gère la barrière de la langue dans son vestiaire polyglotte

Toulouse est le club de Ligue 1 qui possède le plus grand nombre de nationalités dans son effectif cette saison. Ce qui suppose une certaine organisation en termes de communication.

Hugues Sionismis à jour le 19 février 2023 à 00h05

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Même si les départs hivernaux du Guinéen Issiaga Sylla (à Montpellier) et du Finlandais Naatan Skÿtta, prêté à Odense (D1 danoise), ont fait baisser les statistiques chères au président Damien Comolli, Toulouse reste de loin le club de Ligue 1 le plus international cette saison. Avec 19 nationalités issues des cinq continents dans l'effectif, le promu assume pleinement son recrutement, qui s'appuie sur la data. Mais ce large éventail de profils n'est pas sans répercussion. Il nécessite une organisation précise au quotidien pour que tout ce petit monde se comprenne bien.

« Notre staff technique parle français, anglais et espagnol toute la journée. Le coach se traduit lui-même. Ça fait réviser », s'amuse Comolli, habitué à jongler avec les langues. C'est aussi le cas de l'entraîneur Philippe Montanier, qui a dirigé la Real Sociedad ou encore Nottingham Forest avant de se poser dans la Ville rose, et de son nouvel adjoint espagnol Carles Martinez Novell, également grand voyageur. Leurs expériences respectives participent à la réussite actuelle du Téfécé. Autant que la communication bien huilée mise en place autour des nouveaux joueurs venus de l'étranger.

Leur intégration rapide est favorisée par deux salariés polyglottes exclusivement dédiés, le team manager Seji Rose et l'officière de liaison Léonie Caubet. Grâce à eux, le Néerlandais Saïd Hamulic, dernier arrivé au club, a par exemple vite trouvé un appartement en ville et déjà commencé à apprendre le français. « C'est obligatoire pour les recrues, confirme le capitaine Brecht Dejaegere, élément central de la cohésion du groupe par ses facilités linguistiques (anglais, espagnol, flamand et français) qui lui valent le surnom de "traducteur". C'est une bonne chose, quand on joue dans un autre pays, d'avoir la volonté de s'adapter en parlant vite la langue. »

Mikkel Desler (à gauche) et Rasmus Nicolaisen (à droite), ici à la poursuite d'Adrien Thomasson, sont les deux Danois du Téfécé. (Alexandre Dimou/FEP/Icon sport)

La présence dans le vestiaire de plusieurs groupes de compatriotes ou de joueurs aux origines similaires contribue aussi à la bonne harmonie de l'équipe. Conscient de cette chance, l'entraîneur n'hésite pas à se reposer sur celles qu'il appelle affectueusement des « mafias ». La plus importante, « la hollandaise », compte cinq membres (Aboukhlal, Dallinga, Hamulic, Spierings et Van den Boomen), auxquels s'ajoutent le Belge Dejaegere et le Franco-Australien Denis Genreau, marié à une Néerlandaise et qui comprend aussi le flamand. « C'est une vraie aide. Le coach nous donne des consignes et on en parle entre nous en match », explique Dejaegere, citant l'exemple du coup franc marqué par Branco van den Boomen face au PSG (1-2, le 4 février), après une rapide discussion avec son partenaire.

Aboukhlal et Chaïbi complices en « franglais »

Les cinq Scandinaves (Desler, Haug, Kamanzi, Nicolaisen et Zanden) et les deux Sud-Américains (Ratao et Suazo) se sont aussi naturellement rapprochés mais aucun circuit de communication n'est figé. Un peu isolé au départ dans cette galaxie cosmopolite, le Serbe Veljko Birmancevic a été heureux d'accueillir Hamulic, Bosnien d'origine, et se montre plus ouvert depuis cet hiver qu'il peut mieux s'exprimer.

Le Serbe Veljko Birmancevic, ici face au Monégasque Caio Henrique, était un peu isolé avant l'arrivée du Bosnien d'origine Saïd Hamulic. (N. Luttiau/L'Équipe)

L'international marocain Zakaria Aboukhlal et Farès Chaïbi, déjà appelé avec les Espoirs algériens, ont aussi noué une belle complicité malgré la barrière de la langue. Le deuxième ne parlant pas arabe, c'est dans un mélange de « franglais » qu'ils échangent le plus souvent. « En Belgique, on dit "parler avec des cheveux", c'est trop drôle », se marre leur capitaine.

Dans ce melting-pot, les Français ne sont pas en reste. À l'image des jeunes Kévin Keben et Christian Mawissa, qui n'hésitent pas à demander conseil aux nombreux anglophones pour certains mots, ou d'Anthony Rouault qui prend des cours d'anglais, les joueurs formés au club pour la plupart ont compris les efforts à effectuer pour fluidifier la communication, même si celle-ci l'est déjà, selon Comolli. Ce qui n'empêche pas « une petite jalousie » ressentie à l'égard des étrangers, d'après un proche de joueur francophone. Rien d'handicapant au vu des bons résultats. Montanier préfère d'ailleurs souligner la « très bonne ambiance », assurant qu'aujourd'hui, « le foot est international ».

lire aussiToute l'actualité du Téfécé

Un air de Babel

Les 19 nationalités sportives représentées cette saison à Toulouse.

France (5) : F. Chaïbi (*), M. Dupé (g.), T. Himeur (g.) (*), G. Restes (g.), A. Rouault
Pays-Bas (3) : T. Dallinga, S. Spierings, B. Van den Boomen
Danemark (2) : M.Desler, R. Nicolaisen Norvège (2) : K. Haug (g.), W. Kamanzi
Angleterre (1) : R. Healey
Australie (1) : D. Genreau (*)
Belgique (1) : B. Dejaegere
Bosnie (1) : S. Hamulic (*)
Brésil (1) : R. Ratao
Cameroun (1) : K. Keben
Cap-Vert (1) : L. Costa (*)
Chili (1) : G. Suazo
Grèce (1) : T. Tsingaras
Japon (1) : A. Onaiwu
Mali (1) : M. Diarra (*)
Maroc (1) : Z. Aboukhlal (*)
Serbie (1) : V. Birmancevic
Suède (1) : O. Zanden
Suisse (1) : V. Sierro

(*) Les joueurs qui possèdent une double-nationalité.

publié le 19 février 2023 à 00h05mis à jour le 19 février 2023 à 00h05

Toulouse (FRA)

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Guendouzi plus si essentiel à l'OM 

L'art de la rotation défensive 

Le cauchemar des supporters nantais à Turin 

Une attaque à retrouver 

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Buteo55 pas besoin d'être de la même nationalité pour bien jouer au football. Le TFC a un groupe solidaire, avec des joueurs combatifs qui s'éclatent sur le terrain. Depuis 2 saisons, aller au Stadium, est redevenu un vrai plaisir, entre le jeu pratiqué ( + victoires, buts..) et l'ambiance en tribunes, alors que les joueurs soient hollandais ou brésiliens, peu importe, ils se battent pour le même maillot.

 

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Désolé c'est moche... Flemme 🙂

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il y a 20 minutes, Toulouzain a dit :

Oui et dans tous les cas t es pas à l abris de tomber sur une bande d abrutis qui te feront danser

Contre Rennes c était pareil ? Car j avais devant moi un gars avec le maillot Rennais, les stadiers ne devrait pas intervenir ??  Car j imagine que l'on va voir ce soir des Maillots ou autre signe de Sardines dans le stade...

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On est fébrile hein ? 
On sent bien que ce qui compte le plus ce soir c’est de gagner le match des tribunes, d’enfin pouvoir être fier de nos couleurs, de faire fermer le claquer des supporters occitans de l’OM. 
Et on est fébrile, on parle peu pour le moment car on n’est pas sûr à 100% que le Stadium sera acquis à la cause du Téf. 
 

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il y a 6 minutes, Tonton a dit :

Contre Rennes c était pareil ? Car j avais devant moi un gars avec le maillot Rennais, les stadiers ne devrait pas intervenir ??  Car j imagine que l'on va voir ce soir des Maillots ou autre signe de Sardines dans le stade...

Rennes c est pas gênant,  le soucis avec l om c est qu ils sont nombreux et souvent arrogants ça exaspère 

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Il y a 12 heures, Marcico a dit :

Il doit y avoir de ça oui, une sorte de pudeur à l’idée d’oser imaginer les humilier. Concernant les tribunes je pense que pas mal de choses ont changé depuis 3 ans quand même grâce au fabuleux travail des IT en virage Brice. 
Je suis à peu près sûr qu’on gagnera le match des tribunes quel que soit le scénario du match. 
Forza Viola venez en violet demain 

Imaginer humilier l’OM ce soir  ce serait très présomptueux 😉

c’est sûrement la plus belle équipe de L1 cette saison que l’on joue ce soir. 
 

hâte de voir l’ambiance !

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J'espère que Rouault aura régler son problème amoureux et sera pleinement concentré. 

Je ne sais pas pourquoi mais je pense que Nicolaisen va s'illustrer sur ce match. Le problème c'est que je ne sais pas si c'est en bien ou en mal. Je verrai bien un but de sa part mais c'est mon 💓 qui parle là pas ma raison.

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il y a une heure, mora a dit :

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Approché cet hiver par Aston Villa, Mattéo Guendouzi pourrait représenter une plus-value conséquente cet été pour l'OM. (F. Faugère/L'Équipe)
Approché cet hiver par Aston Villa, Mattéo Guendouzi pourrait représenter une plus-value conséquente cet été pour l'OM. (F. Faugère/L'Équipe)
Foot L1, OM
issu du journal
Mattéo Guendouzi, plus si essentiel à l'OM
Homme de base de Jorge Sampaoli, l'international français Mattéo Guendouzi se fait une place au forceps dans la formation d'Igor Tudor, avant un probable départ sous d'autres cieux cet été.
Mathieu Grégoire (avec Ba. C. et V. G.), envoyé spécial permanent à Marseille
mis à jour le 19 février 2023 à 00h15
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Il ne doute pas. Depuis son arrivée à l'été 2021, Mattéo Guendouzi (23 ans) la joue souvent plus marseillais que les Marseillais. Hâbleur, bravache, excessif, il démontre surtout une qualité locale, en balayant les obstacles devant lui comme un simple jeu de quilles. Dans le vestiaire olympien, cette force de persuasion couplée à une grande bouche peut amuser ou agacer, mais personne ne sous-estimera une obstination en fer forgé.

Habitué à scruter les rivaux d'Arsenal pendant ses nombreuses saisons en Premier League avec Manchester United, Eric Bailly a d'abord assisté à son éclosion tonitruante au sein des Gunners d'Unai Emery. Avant de retrouver le bonhomme à la crinière bouclée dans les couloirs de la Commanderie. « Côté personnalité, il n'a pas changé, il est toujours fou, dans le bon sens, dit le défenseur central ivoirien, dans un sourire. C'est un très bon joueur, je suis content de ce qu'il fait, on le voit dans ses performances, il est appelé en équipe de France, ce qui est tout sauf facile. Je le félicite. Il a beaucoup progressé, il est mature, il se donne à fond, quel que soit le poste où il doit jouer. Il se rend toujours disponible. »

lire aussi
L'OM ou l'art de la rotation en défense
Disponible, Guendouzi doit l'être sous Igor Tudor, il n'a pas d'autre choix. Au coeur de son système en 3-4-2-1, le technicien croate a installé le duo Rongier-Veretout, dont il aime la sérénité dans l'entrejeu. L'ex-Lorientais, à ce poste de relayeur, est plutôt synonyme de déséquilibre et de panache pour Tudor. Ce n'est pas un défaut pour l'ancien de la Juventus. Mais ses schémas respirent déjà la prise de risques, alors il y ajoute Guendouzi avec parcimonie, quand il faut faire souffler un de ses deux métronomes. Homme de base de Jorge Sampaoli la saison dernière, l'international français (7 sélections) a dû se réinventer dans la formation de Tudor. Il évolue le plus souvent dans la ligne de deux derrière l'attaquant.

Moins décisif que l'an dernier
Il est parfois une variable d'ajustement, pouvant sortir à la pause (contre Monaco et Clermont ces dernières semaines). Il arrive surtout à profiter des rendements décevants de certains (Gerson, Payet), des recompositions tactiques (Ünder baladé entre ce poste et celui de piston droit) ou des états de forme disparates pour être la seconde option la plus stable.

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Toute l'actu de l'OM
Si Amine Harit, en première partie de saison, ou Ruslan Malinovski, depuis son arrivée en janvier, épousent parfaitement la philosophie Tudor, Guendouzi arrive à la comprendre suffisamment pour faire sa place. « Il n'est plus celui que tu mettais d'office dans le onze, comme sous Sampaoli, explique un cadre du club. Mais dans ce raisonnement à la Tudor, qui va monter à "quatorze titulaires", il est un joueur important. » Haut sur le terrain, Guendouzi a moins marqué ou délivré de passes décisives en L1 que l'an passé, à ce stade de l'exercice. « Les dernières saisons, j'avais très peu de statistiques, c'est mon année la plus aboutie à ce niveau », confiait-il au printemps 2022 à propos de la cuvée Sampaoli.

5
Auteur d'un but et de 5 passes décisives cette saison en L1, Mattéo Guendouzi comptait 3 réalisations et 6 offrandes en Championnat à l'entame de la 24e journée l'an dernier.
Il s'épanouit autrement, en attendant un éventuel passage de flambeau à Azzedine Ounahi, au style différent. « Azzedine est dans le dynamisme, la verticalité, le dribble et les transitions, là où Matteo, un travailleur, apporte par son volume de courses et sa rudesse physique », explique-t-on au club. Le départ de Guendouzi est clairement programmé cet été. En janvier, Aston Villa a approché le joueur, avec un contrat mirifique et plusieurs appels d'Emery, qui voulait retrouver son ancien protégé. Le clan Guendouzi a écouté, fait part de cet intérêt à Pablo Longoria, avant de refermer la porte. Les Villans n'ont ainsi formulé aucune offre officielle à l'OM.

Pour les différentes parties, Guendouzi a tout pour être l'un des grands transferts marseillais du prochain mercato. Jeune, international, avec un salaire encore trop conséquent, une capacité d'adaptation prononcée et un profil rare. À quel prix ? Cet hiver, la direction soufflait en voyant la somme de 30 millions d'euros dans les journaux, sous-entendant que sa valeur marchande pouvait être bien plus élevée encore. En ces temps de débrouille et d'inflation, les couteaux suisses sont devenus un luxe.

 
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Approché cet hiver par Aston Villa, Mattéo Guendouzi pourrait représenter une plus-value conséquente cet été pour l'OM. (F. Faugère/L'Équipe)
 
Approché cet hiver par Aston Villa, Mattéo Guendouzi pourrait représenter une plus-value conséquente cet été pour l'OM. (F. Faugère/L'Équipe)
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Mattéo Guendouzi, plus si essentiel à l'OM

Homme de base de Jorge Sampaoli, l'international français Mattéo Guendouzi se fait une place au forceps dans la formation d'Igor Tudor, avant un probable départ sous d'autres cieux cet été.

Mathieu Grégoire (avec Ba. C. et V. G.), envoyé spécial permanent à Marseillemis à jour le 19 février 2023 à 00h15
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Il ne doute pas. Depuis son arrivée à l'été 2021, Mattéo Guendouzi (23 ans) la joue souvent plus marseillais que les Marseillais. Hâbleur, bravache, excessif, il démontre surtout une qualité locale, en balayant les obstacles devant lui comme un simple jeu de quilles. Dans le vestiaire olympien, cette force de persuasion couplée à une grande bouche peut amuser ou agacer, mais personne ne sous-estimera une obstination en fer forgé.

 
 

Habitué à scruter les rivaux d'Arsenal pendant ses nombreuses saisons en Premier League avec Manchester United, Eric Bailly a d'abord assisté à son éclosion tonitruante au sein des Gunners d'Unai Emery. Avant de retrouver le bonhomme à la crinière bouclée dans les couloirs de la Commanderie. « Côté personnalité, il n'a pas changé, il est toujours fou, dans le bon sens, dit le défenseur central ivoirien, dans un sourire. C'est un très bon joueur, je suis content de ce qu'il fait, on le voit dans ses performances, il est appelé en équipe de France, ce qui est tout sauf facile. Je le félicite. Il a beaucoup progressé, il est mature, il se donne à fond, quel que soit le poste où il doit jouer. Il se rend toujours disponible. »

Disponible, Guendouzi doit l'être sous Igor Tudor, il n'a pas d'autre choix. Au coeur de son système en 3-4-2-1, le technicien croate a installé le duo Rongier-Veretout, dont il aime la sérénité dans l'entrejeu. L'ex-Lorientais, à ce poste de relayeur, est plutôt synonyme de déséquilibre et de panache pour Tudor. Ce n'est pas un défaut pour l'ancien de la Juventus. Mais ses schémas respirent déjà la prise de risques, alors il y ajoute Guendouzi avec parcimonie, quand il faut faire souffler un de ses deux métronomes. Homme de base de Jorge Sampaoli la saison dernière, l'international français (7 sélections) a dû se réinventer dans la formation de Tudor. Il évolue le plus souvent dans la ligne de deux derrière l'attaquant.

Moins décisif que l'an dernier

Il est parfois une variable d'ajustement, pouvant sortir à la pause (contre Monaco et Clermont ces dernières semaines). Il arrive surtout à profiter des rendements décevants de certains (Gerson, Payet), des recompositions tactiques (Ünder baladé entre ce poste et celui de piston droit) ou des états de forme disparates pour être la seconde option la plus stable.

 
 

Si Amine Harit, en première partie de saison, ou Ruslan Malinovski, depuis son arrivée en janvier, épousent parfaitement la philosophie Tudor, Guendouzi arrive à la comprendre suffisamment pour faire sa place. « Il n'est plus celui que tu mettais d'office dans le onze, comme sous Sampaoli, explique un cadre du club. Mais dans ce raisonnement à la Tudor, qui va monter à "quatorze titulaires", il est un joueur important. » Haut sur le terrain, Guendouzi a moins marqué ou délivré de passes décisives en L1 que l'an passé, à ce stade de l'exercice. « Les dernières saisons, j'avais très peu de statistiques, c'est mon année la plus aboutie à ce niveau », confiait-il au printemps 2022 à propos de la cuvée Sampaoli.

5
Auteur d'un but et de 5 passes décisives cette saison en L1, Mattéo Guendouzi comptait 3 réalisations et 6 offrandes en Championnat à l'entame de la 24e journée l'an dernier.

Il s'épanouit autrement, en attendant un éventuel passage de flambeau à Azzedine Ounahi, au style différent. « Azzedine est dans le dynamisme, la verticalité, le dribble et les transitions, là où Matteo, un travailleur, apporte par son volume de courses et sa rudesse physique », explique-t-on au club. Le départ de Guendouzi est clairement programmé cet été. En janvier, Aston Villa a approché le joueur, avec un contrat mirifique et plusieurs appels d'Emery, qui voulait retrouver son ancien protégé. Le clan Guendouzi a écouté, fait part de cet intérêt à Pablo Longoria, avant de refermer la porte. Les Villans n'ont ainsi formulé aucune offre officielle à l'OM.

Pour les différentes parties, Guendouzi a tout pour être l'un des grands transferts marseillais du prochain mercato. Jeune, international, avec un salaire encore trop conséquent, une capacité d'adaptation prononcée et un profil rare. À quel prix ? Cet hiver, la direction soufflait en voyant la somme de 30 millions d'euros dans les journaux, sous-entendant que sa valeur marchande pouvait être bien plus élevée encore. En ces temps de débrouille et d'inflation, les couteaux suisses sont devenus un luxe.

Il n'y a rien sur le Tef dans l'Equipe ?

il y a 32 minutes, koala a dit :

J'espère que Rouault aura régler son problème amoureux et sera pleinement concentré. 

Je ne sais pas pourquoi mais je pense que Nicolaisen va s'illustrer sur ce match. Le problème c'est que je ne sais pas si c'est en bien ou en mal. Je verrai bien un but de sa part mais c'est mon 💓 qui parle là pas ma raison.

Il a conclu contre Reims !

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il y a 17 minutes, Zorglub a dit :

Il n'y a rien sur le Tef dans l'Equipe ?

Un article sur les 19 nationalités du tèf, mais leur player est de plus en plus compliqué à contourner. Y est notamment confirmé ce que certains présentaient par rapport à Birmancevic : son adaptation était difficile et l'arrivée d'Hamulic lui a fait du bien.

 

Melting-pot dans la Ville rose
HUGUES SIONIS
 
Les Néerlandophones Thijs Dallinga (à g.), Branco van den Boomen (au centre) et Brecht Dejaegere. - Romain Perrocheau/ L’Équipe


Le promu est le club de L1 qui possède le plus grand nombre de nationalités dans son effectif cette saison. Ce qui suppose une certaine organisation en termes de communication.

 

Même si les départs hivernaux du Guinéen Issiaga Sylla (à Montpellier) et du Finlandais Naatan Skÿtta, prêté à Odense (D1 danoise), ont fait baisser les statistiques chères au président Damien Comolli, Toulouse reste de loin le club de Ligue 1 le plus international cette saison. Avec 19 nationalités issues des cinq continents dans l’effectif, le promu assume pleinement son recrutement, qui s’appuie sur la data.


Mais ce large éventail de profils n’est pas sans répercussion. Il nécessite une organisation précise au quotidien pour que tout ce petit monde se comprenne bien. « Notre staff technique parle français, anglais et espagnol toute la journée. Le coach se traduit lui-même. Ça fait réviser », s’amuse Comolli, habitué à jongler avec les langues. C’est aussi le cas de l’entraîneur Philippe Montanier, qui a dirigé la Real Sociedad ou encore Nottingham Forest avant de se poser dans la Ville rose, et de son nouvel adjoint espagnol Carles Martinez Novell, également grand voyageur. Leurs expériences respectives participent à la réussite actuelle du Téfécé. Autant que la communication bien huilée mise en place autour des nouveaux joueurs venus de l’étranger.


Leur intégration rapide est favorisée par deux salariés polyglottes exclusivement dédiés, le team manager Seji Rose et l’officière de liaison Léonie Caubet. Grâce à eux, le Néerlandais Saïd Hamulic, dernier arrivé au club, a par exemple vite trouvé un appartement en ville et déjà commencé à apprendre le français. « C’est obligatoire pour les recrues, confirme le capitaine Brecht Dejaegere, élément central de la cohésion du groupe par ses facilités linguistiques (anglais, espagnol, flamand et français) qui lui valent le surnom de “traducteur”. C’est une bonne chose, quand on joue dans un autre pays, d’avoir la volonté de s’adapter en parlant vite la langue. »


La présence dans le vestiaire de plusieurs groupes de compatriotes ou de joueurs aux origines similaires contribue aussi à la bonne harmonie de l’équipe. Conscient de cette chance, l’entraîneur n’hésite pas à se reposer sur celles qu’il appelle affectueusement des « mafias ». La plus importante, « la hollandaise », compte cinq membres (Aboukhlal, Dallinga, Hamulic, Spierings et Van den Boomen), auxquels s’ajoutent le Belge Brech Dejaegere et le Franco-Australien Denis Genreau, marié à une Néerlandaise et qui comprend aussi le flamand. « C’est une vraie aide. Le coach nous donne des consignes et on en parle entre nous en match », confie Dejaegere, citant l’exemple du coup franc marqué par Branco van den Boomen face au PSG (1-2, le 4 février), après une rapide discussion avec son partenaire.


Aboukhlal et Chaïbi complices en « franglais »


Les cinq Scandinaves (Desler, Haug, Kamanzi, Nicolaisen et Zanden) et les deux Sud-Américains (Ratao et Suazo) se sont aussi naturellement rapprochés mais aucun circuit de communication n’est figé. Un peu isolé au départ dans cette galaxie cosmopolite, le Serbe Veljko Birmancevic a été heureux d’accueillir cet hiver Saïd Hamulic, Bosnien d’origine, et se montre plus ouvert depuis qu’il peut mieux s’exprimer.
L’international marocain Zakaria Aboukhlal et Farès Chaïbi, déjà appelé avec les Espoirs algériens, ont aussi noué une belle complicité malgré la barrière de la langue. Le deuxième ne parlant pas arabe, c’est dans un mélange de « franglais » qu’ils échangent le plus souvent. « En Belgique, on dit “parler avec des cheveux”, c’est trop drôle », se marre leur capitaine.


Dans ce melting-pot, les Français ne sont pas en reste. À l’image des jeunes Kévin Keben et Christian Mawissa, qui n’hésitent pas à demander conseil aux nombreux anglophones pour certains mots, ou d’Anthony Rouault qui prend des cours d’anglais, les joueurs – formés au club pour la plupart – ont compris les efforts à effectuer pour fluidifier la communication, même si celle-ci l’est déjà, selon Comolli. Ce qui n’empêche pas « une petite jalousie » ressentie à l’égard des étrangers, d’après un proche de joueur francophone. Rien d’handicapant au vu des bons résultats. Montanier préfère d’ailleurs souligner la « très bonne ambiance », assurant qu’aujourd’hui, «le foot est international ».
 
Mikkel Desler (à gauche) et Rasmus Nicolaisen (à droite), ici à la poursuite d’Adrien Thomasson, sont les deux Danois du Téfécé. - Alexandre Dimou/FEP/Icon Sport
 
Le Serbe Veljko Birmancevic, ici face au Monégasque Caio Henrique, était un peu isolé avant l’arrivée du Bosnien d’origine Saïd Hamulic. - Nicolas Luttiau/ L’Équipe

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