Aller au contenu

Presse 2022/2023


Messages recommandés

Posté(e)
à l’instant, JR31 a dit :

Et..... Alors? 😏 (j'ai ratĂ© ma diffusion) 

Pas grand chose mais revoir le TFC dans des émissions a forte audience c'est cool ! 

il y a 7 minutes, JR31 a dit :

Et..... Alors? 😏 (j'ai ratĂ© ma diffusion). Une info qui sort du lot ? 🙄 

 

  • Top ! 2
Posté(e)
Il y a 2 heures, Casimir a dit :

On ne donne jamais ses recettes ni ses secrets de fabrication -_- 

Si on est les seuls Ă  avoir les ingrĂ©dients ou que l'on a les meilleurs, pas de soucis ! 😉

Posté(e)

C’était dĂ©jĂ  trĂšs flippant de perdre nos bons joueurs durant leur passage chez nous, aujourd'hui on a presque encore plus peur de perdre nos compĂ©tences dans l'organigramme fonctionnel du club, tous ces hommes et femmes indispensables qui a leur niveau apportent leur expĂ©rience et leur savoir faire. Et puis imaginer les voir passer a l'ennemi avec tout ce qu'ils savent c'est vraiment rageant car les heureux recruteurs gagneraient un temps incroyable dans leur progression... J'espĂšre presque qu'il y a une clause de confidentialitĂ© pour certains d'entre eux...

Posté(e)

Un peu nul cet article de L'Équipe sur les Ă©trangers. Une source moins biaisĂ©e pourrait relever qu'au final, c'est le groupe des jeunes qui passe son temps Ă  se plaindre et qui Ă©volue le plus en "clan". Nos "expats", de l'extĂ©rieur, paraissent nettement plus pros.

Posté(e)
il y a 50 minutes, Vistule a dit :

Un peu nul cet article de L'Équipe sur les Ă©trangers. Une source moins biaisĂ©e pourrait relever qu'au final, c'est le groupe des jeunes qui passe son temps Ă  se plaindre et qui Ă©volue le plus en "clan". Nos "expats", de l'extĂ©rieur, paraissent nettement plus pros.

...et article qui se termine en apothéose avec N'goumou "neveu" d'Achille Emana. Raté, c'est son cousin. 

  • Bave 1
Posté(e)
Foot
 L1, 
Toulouse
issu du journal

Toulouse, 15 nationalités différentes dans son effectif

Toulouse, champion de Ligue 2 la saison passée avec un effectif cosmopolite, a encore accentué cette tendance dans son recrutement estival pour son retour en Ligue 1.

 
La reprise de l'entraĂźnement des Toulousains, fin juin. De gauche Ă  droite, au premier rang, le Belge Brecht Dejaegere, le BrĂ©silien Rafael Ratao, le Danois Rasmus Nicolaisen et le Japonais Ado Onaiwu. (Nicolas Luttiau/L'Équipe)
 
La reprise de l'entraĂźnement des Toulousains, fin juin. De gauche Ă  droite, au premier rang, le Belge Brecht Dejaegere, le BrĂ©silien Rafael Ratao, le Danois Rasmus Nicolaisen et le Japonais Ado Onaiwu. (Nicolas Luttiau/L'Équipe)
Hugues Sionis à Saint-Sébastien (Espagne)mis à jour le 24 juillet 2022 à 00h15
ma liste
commenter
partager
 

C'est une stratégie qui a déjà fait ses preuves par le passé, à Arsenal à une époque, au PSG plus récemment. Moins à Bordeaux, relégué la saison derniÚre, avec dix-huit nationalités.

Mais recruter massivement à l'étranger est-il viable sur la durée pour un club comme Toulouse, promu aux moyens plus limités ? Pour tenter d'y parvenir, l'idée du Téfécé a été de fédérer un noyau fort autour d'un projet.

Parmi les quinze pays aujourd'hui représentés dans son effectif, plusieurs communautés se dégagent.

Les 5 matches clés qui ont ramené Toulouse en Ligue 1

Avec la derniÚre arrivée du Suédois Oliver Zanden, les Scandinaves (Desler, Haug, Nicolaisen, Pettersson et Skytta) sont devenus aussi nombreux que les Néerlandais (Dallinga, Spierings et Van Den Boomen), auxquels il faut ajouter Zakaria Aboukhlal, recruté à l'AZ Alkmaar, l'Australien Denis Genreau, marié à une Néerlandaise, et le Belge Brecht Dejaegere.

Tous les trois comprennent parfaitement le néerlandais, l'une des langues les plus parlées dans le vestiaire toulousain.

« C'est un truc de "ouf", se marre le capitaine originaire de la région flamande, parfois amené à jouer les traducteurs. Pour moi, c'est pratique, tu peux utiliser des petits mots que les autres ne comprennent pas. Je pourrai dire dans quelques mois si ça nous aide ou pas. »

Au milieu de cette joyeuse colonie, l'entraĂźneur Philippe Montanier a dĂ» s'adapter, dĂšs la saison passĂ©e. Polyglotte lui aussi, il s'exprime en anglais - l'autre langue de rĂ©fĂ©rence Ă  Toulouse - dans ses causeries et les sĂ©ances, oĂč il n'est pas rare d'entendre ses adjoints lui emboĂźter le pas, pour ĂȘtre sĂ»rs d'ĂȘtre bien compris.

C'est le nombre de saisons dans l'élite du TFC (*). Il arrive au 20e rang national, à égalité avec Auxerre, également promu. Tous deux vont rejoindre Valenciennes (L2) cette saison.(*) Un premier club à Toulouse, fondé en 1937 puis disparu en 1967, avait auparavant joué dix-neuf ans en D1. Le TFC a été créé en 1970.

« Le cĂŽtĂ© sympa quand vous ĂȘtes Ă  l'Ă©tranger, c'est que vous ĂȘtes encore plus proches les uns des autres. Je l'ai vĂ©cu ici d'ailleurs, se souvenait l'ancien coach de la Real Sociedad (2011-2013), le week-end dernier aprĂšs la victoire de son Ă©quipe (1-0) en amical Ă  Anoeta. On pourrait penser qu'il y a des clans mais, au contraire, tous les Ă©trangers apprĂ©cient parce qu'ils sont tous dans la mĂȘme situation d'expatriĂ©s. »

Cela n'empĂȘche pas des groupes de se former naturellement, celui des jeunes formĂ©s au club Ă©tant bien reprĂ©sentĂ©. Et des « crispations » d'apparaĂźtre, plus avec la direction qu'entre joueurs.

Une stratégie basée sur les data

« Il y a un certain mal-ĂȘtre avec le prĂ©sident (Damien Comolli) vis-Ă -vis des joueurs qui ont obtenu la montĂ©e et dont les contrats n'ont pas encore Ă©tĂ© revalorisĂ©s parce qu'il n'y a soi-disant pas d'argent. Pourtant, le club ne cesse de recruter des nouveaux Ă  l'Ă©tranger, qui n'Ă©blouissent personne pour l'instant », explique un familier du club.

Pour un ancien haut dirigeant de deux clubs de Ligue 1, « ne mettre que des étrangers peut créer un problÚme, ils peuvent se croire au-dessus du lot. En revanche, on ne peut pas leur reprocher de mettre du temps à s'adapter ».

En interne, on assure que la priorité est donnée à la formation. « Toute nationalité est la bienvenue » mais elle reste « une donnée comme une autre » dans le processus de recrutement.

b9cb9.jpg

En misant sur les data depuis deux ans, Toulouse s'est automatiquement ouvert à d'autres Championnats.

Avec parfois le risque de s'enfermer dans son systÚme, comme cet été, lorsque le gardien norvégien Kjetil Haug a été préféré à Quentin Braat (ex-Niort), pourtant libre et fort d'une solide expérience en Ligue 2, mais qui ne remplissait pas tous les critÚres.

Cet exemple, ajouté à un récent accrochage à l'entraßnement entre un Scandinave et un jeune du club, seul exclu ce jour-là, montre que l'équilibre reste difficile à trouver.

Pas de quoi jusque-là remettre en cause une stratégie assumée, qui a permis à la Ville rose de retrouver sa place dans le gotha français.

L'avis de « L'Équipe »

AprĂšs deux ans d'absence en Ligue 1, les attentes sont nombreuses autour des Violets. Le rachat du club par le fonds d'investissement amĂ©ricain RedBird Capital Partners, aprĂšs la relĂ©gation en 2020, doit lui permettre de se pĂ©renniser dans l'Ă©lite, sans se fixer de limites. Le promu s'est donnĂ© les moyens de rĂ©ussir avec un recrutement ciblĂ©, pour renforcer l'ossature d'une Ă©quipe qui a produit un jeu offensif la saison passĂ©e, et avec une prĂ©paration sans fausse note. À l'exception peut-ĂȘtre de la situation Ă  Ă©claircir de Rhys Healey, son meilleur buteur, dont l'avenir reste incertain.

Calendrier de la premiÚre journée de Ligue 1 2022-2023

  • Top ! 1
Posté(e)
il y a 3 minutes, VioletSmurf a dit :
Foot
 L1, 
Toulouse
issu du journal

Toulouse, 15 nationalités différentes dans son effectif

Toulouse, champion de Ligue 2 la saison passée avec un effectif cosmopolite, a encore accentué cette tendance dans son recrutement estival pour son retour en Ligue 1.

 
La reprise de l'entraĂźnement des Toulousains, fin juin. De gauche Ă  droite, au premier rang, le Belge Brecht Dejaegere, le BrĂ©silien Rafael Ratao, le Danois Rasmus Nicolaisen et le Japonais Ado Onaiwu. (Nicolas Luttiau/L'Équipe)
 
La reprise de l'entraĂźnement des Toulousains, fin juin. De gauche Ă  droite, au premier rang, le Belge Brecht Dejaegere, le BrĂ©silien Rafael Ratao, le Danois Rasmus Nicolaisen et le Japonais Ado Onaiwu. (Nicolas Luttiau/L'Équipe)
Hugues Sionis à Saint-Sébastien (Espagne)mis à jour le 24 juillet 2022 à 00h15
ma liste
commenter
partager
 

C'est une stratégie qui a déjà fait ses preuves par le passé, à Arsenal à une époque, au PSG plus récemment. Moins à Bordeaux, relégué la saison derniÚre, avec dix-huit nationalités.

Mais recruter massivement à l'étranger est-il viable sur la durée pour un club comme Toulouse, promu aux moyens plus limités ? Pour tenter d'y parvenir, l'idée du Téfécé a été de fédérer un noyau fort autour d'un projet.

Parmi les quinze pays aujourd'hui représentés dans son effectif, plusieurs communautés se dégagent.

Les 5 matches clés qui ont ramené Toulouse en Ligue 1

Avec la derniÚre arrivée du Suédois Oliver Zanden, les Scandinaves (Desler, Haug, Nicolaisen, Pettersson et Skytta) sont devenus aussi nombreux que les Néerlandais (Dallinga, Spierings et Van Den Boomen), auxquels il faut ajouter Zakaria Aboukhlal, recruté à l'AZ Alkmaar, l'Australien Denis Genreau, marié à une Néerlandaise, et le Belge Brecht Dejaegere.

Tous les trois comprennent parfaitement le néerlandais, l'une des langues les plus parlées dans le vestiaire toulousain.

« C'est un truc de "ouf", se marre le capitaine originaire de la région flamande, parfois amené à jouer les traducteurs. Pour moi, c'est pratique, tu peux utiliser des petits mots que les autres ne comprennent pas. Je pourrai dire dans quelques mois si ça nous aide ou pas. »

Au milieu de cette joyeuse colonie, l'entraĂźneur Philippe Montanier a dĂ» s'adapter, dĂšs la saison passĂ©e. Polyglotte lui aussi, il s'exprime en anglais - l'autre langue de rĂ©fĂ©rence Ă  Toulouse - dans ses causeries et les sĂ©ances, oĂč il n'est pas rare d'entendre ses adjoints lui emboĂźter le pas, pour ĂȘtre sĂ»rs d'ĂȘtre bien compris.

C'est le nombre de saisons dans l'élite du TFC (*). Il arrive au 20e rang national, à égalité avec Auxerre, également promu. Tous deux vont rejoindre Valenciennes (L2) cette saison.(*) Un premier club à Toulouse, fondé en 1937 puis disparu en 1967, avait auparavant joué dix-neuf ans en D1. Le TFC a été créé en 1970.

« Le cĂŽtĂ© sympa quand vous ĂȘtes Ă  l'Ă©tranger, c'est que vous ĂȘtes encore plus proches les uns des autres. Je l'ai vĂ©cu ici d'ailleurs, se souvenait l'ancien coach de la Real Sociedad (2011-2013), le week-end dernier aprĂšs la victoire de son Ă©quipe (1-0) en amical Ă  Anoeta. On pourrait penser qu'il y a des clans mais, au contraire, tous les Ă©trangers apprĂ©cient parce qu'ils sont tous dans la mĂȘme situation d'expatriĂ©s. »

Cela n'empĂȘche pas des groupes de se former naturellement, celui des jeunes formĂ©s au club Ă©tant bien reprĂ©sentĂ©. Et des « crispations » d'apparaĂźtre, plus avec la direction qu'entre joueurs.

Une stratégie basée sur les data

« Il y a un certain mal-ĂȘtre avec le prĂ©sident (Damien Comolli) vis-Ă -vis des joueurs qui ont obtenu la montĂ©e et dont les contrats n'ont pas encore Ă©tĂ© revalorisĂ©s parce qu'il n'y a soi-disant pas d'argent. Pourtant, le club ne cesse de recruter des nouveaux Ă  l'Ă©tranger, qui n'Ă©blouissent personne pour l'instant », explique un familier du club.

Pour un ancien haut dirigeant de deux clubs de Ligue 1, « ne mettre que des étrangers peut créer un problÚme, ils peuvent se croire au-dessus du lot. En revanche, on ne peut pas leur reprocher de mettre du temps à s'adapter ».

En interne, on assure que la priorité est donnée à la formation. « Toute nationalité est la bienvenue » mais elle reste « une donnée comme une autre » dans le processus de recrutement.

b9cb9.jpg

En misant sur les data depuis deux ans, Toulouse s'est automatiquement ouvert à d'autres Championnats.

Avec parfois le risque de s'enfermer dans son systÚme, comme cet été, lorsque le gardien norvégien Kjetil Haug a été préféré à Quentin Braat (ex-Niort), pourtant libre et fort d'une solide expérience en Ligue 2, mais qui ne remplissait pas tous les critÚres.

Cet exemple, ajouté à un récent accrochage à l'entraßnement entre un Scandinave et un jeune du club, seul exclu ce jour-là, montre que l'équilibre reste difficile à trouver.

Pas de quoi jusque-là remettre en cause une stratégie assumée, qui a permis à la Ville rose de retrouver sa place dans le gotha français.

L'avis de « L'Équipe »

AprĂšs deux ans d'absence en Ligue 1, les attentes sont nombreuses autour des Violets. Le rachat du club par le fonds d'investissement amĂ©ricain RedBird Capital Partners, aprĂšs la relĂ©gation en 2020, doit lui permettre de se pĂ©renniser dans l'Ă©lite, sans se fixer de limites. Le promu s'est donnĂ© les moyens de rĂ©ussir avec un recrutement ciblĂ©, pour renforcer l'ossature d'une Ă©quipe qui a produit un jeu offensif la saison passĂ©e, et avec une prĂ©paration sans fausse note. À l'exception peut-ĂȘtre de la situation Ă  Ă©claircir de Rhys Healey, son meilleur buteur, dont l'avenir reste incertain.

Calendrier de la premiÚre journée de Ligue 1 2022-2023

Donc c'est un familier du club qui balance sympa.

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet


×   CollĂ© en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut Ă  la place

  Seulement 75 Ă©moticĂŽnes maximum sont autorisĂ©es.

×   Votre lien a Ă©tĂ© automatiquement intĂ©grĂ©.   Afficher plutĂŽt comme un lien

×   Votre contenu prĂ©cĂ©dent a Ă©tĂ© rĂ©tabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insĂ©rez-les depuis une URL.

×
×
  • CrĂ©er...

Information importante

Nous avons placĂ© des cookies sur votre appareil pour aider Ă  amĂ©liorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramĂštres de cookie, sinon nous supposerons que vous ĂȘtes d’accord pour continuer.