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Pascal Dupraz


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Ca fait 4 ans qu'ils nous cassent les couilles à ne parler QUE du PSG H24, et dès que ça parle d'un autre club (ou plutôt qu'ils parlent, parce que c'est ça le pire: c'est eux qui en parlent pour dire que c'est chiant) on les voit sortir la carte du "c'est bon, on a compris, arrêtez de parler de ça" :grin:

Y avait longtemps que j'avais pas été aussi heureux, enthousiaste et impatient qu'on soit le week-end pour voir jouer mon TFC, je vous emmerde et j'espère vous emmerder bien longtemps encore messieurs les "spécialistes" :)

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Il y a 3 heures, LaCroix a dit :

Ca fait 4 ans qu'ils nous cassent les couilles à ne parler QUE du PSG H24, et dès que ça parle d'un autre club (ou plutôt qu'ils parlent, parce que c'est ça le pire: c'est eux qui en parlent pour dire que c'est chiant) on les voit sortir la carte du "c'est bon, on a compris, arrêtez de parler de ça" :grin:

Y avait longtemps que j'avais pas été aussi heureux, enthousiaste et impatient qu'on soit le week-end pour voir jouer mon TFC, je vous emmerde et j'espère vous emmerder bien longtemps encore messieurs les "spécialistes" :)

Ç est exactement ca !! Di meco et dugarry qui dit qu'on le voit partout , qu'il faut qu'il arrête .....  sauf quand deux semaines :

-c'est eux qui l'invite sur RMC deux fois 

-c'est la même boîte qui fait un face à face Rigolo /Dupraz à la télé 

-comme c'est les PSG , on s'intéresse d'un coup bien plus à ces conf de presses qui sont obligatoires pour lui .

En effet on le voit partout mais à qui la faute ...

Puis le coup du " il vole la vedette aux joueurs à la fin du match avec tour d'honneur et spectacle dans les vestiaires car y avait la caméra , comme s'il avait gagné là champions league"

 C'est juste N'imp quand on sait qu'il le fait apres chaque victoire avec ces joueurs meme à l'extérieur et qu'à mon avis la caméra dans les vestiaires il en avait mais strictement rien à braire et qu'il aurait fait exactement la même sans . Il est juste bon vivant quoi , ca change de bon nombre de ses collègues " mous du genoux "

Modifié par simba
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Bon ben aujourd'hui c'était un petit tâcle pour di meco et le fameux tour d'honneur , la politique de médiatisation de Sadran et des nouvelles  des troupes .

Apparement Sadran aurait dit à PD que par son action (sur le terrain mais aussi  hors du terrain ) il faisait un bien fou à l'image du club . Ç est pas faute de le dire depuis 15 ans qu'il faut bosser  son image auprès du grand public .....

 

Et une grosse pensée pour Brice de la part du groupe pour conclure la conf :inlove:

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Citation

 

Comment Canal+ a transformé Pascal Dupraz

 

Comment un entraîneur à tendance «parano» en arrive-t-il à ouvrir aux caméras les portes de son vestiaire ? Pascal Dupraz, le coach de Toulouse, raconte comment sa saison sur Canal+, en tant que consultant de l'émission J+1, a changé son rapport aux médias.

Comme beaucoup d'entraîneurs, Pascal Dupraz avait la hantise des médias. Il se méfiait terriblement de ces journalistes, de leurs critiques faciles et de leur (supposée) faculté à inventer des histoires ou créer des polémiques. «Oui, j’étais parano. Oui, je pensais que tout le monde m’en voulait», reconnaît d’ailleurs l'entraîneur de Toulouse, troisième du Championnat. Un jour, alors qu’il était sans emploi, l'ancien coach de l'Evian-Thônon-Gaillard a été contacté par les responsables de l'émission J+1 pour en devenir la caution technique, dans la lignée des deux Frédéric, Antonetti et Hantz. «On l’avait reçu en invité et j'avais ciblé son gros potentiel humain», nous explique l'ancien rédacteur en chef Laurent Salvaudon, à l’origine de sa venue. «Mais son image était très brouillée à cause de ses embrouilles avec la direction de l’ETG, poursuit celui qui est désormais directeur de la rédaction de SFR Sport. Pendant ses conférences de presse, on ne comprenait pas trop de quoi il parlait. Il faisait des allusions, lançait des pics, ce n’était pas très clair.»

 
 
 

«J'avais perdu ma sérénité»

 
 

Comme sa saillie du 28 février 2014 (après une victoire de l’ETG) envers «les mécréants» qui «vont fermer leur gueule». Il ne visait pas les médias, mais son ancien président Patrick Trotignon et son entourage. «Il était dans un club qu’il avait façonné, c’était vingt-cinq ans de sa vie, mon grand-père avait participé à l’aventure, donc l’affect pouvait prendre le dessus», analyse son fils Julian, qui gère aujourd'hui sa communication via la société Offre digitale. Dupraz père s’en était également pris aux arbitres, à certains de ses confrères, comme Willy Sagnol ou Hervé Renard. Bref, il passait pour un bougon, un «gueulard». «J’avais perdu ma sérénité», concède l'intéressé. «Mais on l’a quand même fait venir malgré les moqueries», raconte Salvaudon.

Les débuts de Pascal Dupraz ne sont pas pour le rassurer. Il a du mal à trouver sa place et son ton. Il raconte : «J’avais un trac incroyable. Mes proches ont bien vu que je n’étais pas à l’aise au départ. Au fil des émissions, l’équipe m’a aidé et j’ai pris du plaisir. J’ai vraiment passé une super année !» Qui a modifié sa perception du milieu : «Ça a confirmé ce que je pressentais, à savoir que les journalistes, pour la plupart, restent objectifs ou tentent de l’être, travaillent beaucoup et connaissent très bien le football. Ce sont de vrais passionnés. C’est assez réconfortant de savoir qu’on est jugé par des gens objectifs.»

 

«Il a pris conscience du rôle essentiel des médias» - Son fils

Auparavant, comme la plupart de ses confrères, il avait du mal à accepter le jugement des non-initiés, de personnes qui n’ont jamais connu le haut niveau. «Ça m’a encouragé à ouvrir», résume-t-il. «Il a pris conscience du rôle essentiel des médias», ajoute son fils.

C’est le premier effet J+1, dont on citera comme moments mémorables son interview d’Hervé Renard et le Périscope parodiant Serge Aurier (voir par ailleurs). Dix jours après cette séquence, alors qu’il pensait s’être grillé, Dupraz devient entraîneur du TFC, qui avait un pied et quatre orteils en Ligue 2. Sa première mesure : une opération portes-ouvertes pour un club traditionnellement fermé. Fini les huis clos, place aux entraînements ouverts au public. «Les joueurs de foot aiment jouer devant du monde. Je ne vois pas pourquoi ils n’aimeraient pas s’entraîner devant du monde», explique-t-il. Pour le match du maintien à Angers, il accepte une caméra dans les vestiaires pour filmer sa causerie, devenue mythique. «Je ne l’ai pas préparée différemment des autres. Je suis resté exactement le même. Elle a été filmée. Pourquoi ? Parce que je savais que je pouvais avoir confiance envers le journaliste qui filmait. Je savais que ça n’allait pas faire de mal au TFC, ni au foot. J’ai demandé au président (Olivier Sadran) avant, il a accepté.»

Il l’avait d’ailleurs prévenu avant de signer son contrat, lui disant qu’il ne supportait pas le confinement : «Ça contribue à l’abrutissement des joueurs.» Sadran a accepté d’ouvrir les portes du centre d’entraînement et de donner accès aux caméras, quelles qu’elles soient. «Pas plus Canal que les autres», précise Dupraz. Il a continué à le faire cette saison, permettant notamment à son ancien employeur de filmer le vestiaire deux minutes avant d’entrer sur le terrain pour la rencontre contre le PSG (victoire 2-0). «Quelle incidence ça peut avoir sur la performance ? Quel secret devrais-je garder lors de ces deux minutes pré-compétition ? Rien. Après, je respecte ceux qui veulent cloisonner, c’est leur problème. Ce sont eux qui veulent fermer, mettre des bâches et tout ça. Comme si on avait peur de notre ombre.» S’il fait ça, il l’assure, ce n’est pas pour s’attirer la sympathie des médias, ni celle des téléspectateurs ou des lecteurs. «Je considère que ça fait partie de mon travail. Mais il ne faudrait pas qu’on me décourage.»

Il raconte le tournage du Périscope

«J'ai mis du temps à accepter. J'ai dit à Laurent Salvaudon : ''Avec tes conneries, je vais reprendre une année de chômage. Déjà qu'on me prend pour un fou, là, on va me prendre pour un débile.'' C'était un moment inoubliable. Vous ne pouvez pas savoir le nombre de prises de vue qu'il a fallu tellement on s'éclatait. Ça a commencé lorsque Pierre Demarest a essayé de me poser la première question en aspirant la chicha. Il s'est étouffé une dizaine de fois avant de pouvoir me la poser. Après, tantôt c'était lui, tantôt c'était moi. Le cameraman se marrait aussi par moments. On partait d'un fou rire incroyable. On a passé un vrai bon moment. J'étais très anxieux du résultat. Je ne voulais pas que ça paraisse nul. Après, ça a fait marrer tout le monde. En plus, je pense que Serge Aurier l'a bien pris. Je ne sais pas s'il l'a vu mais il a dû comprendre que c'était de la dérision parce que c'était vraiment le cas.»

 

Pas le temps de mettre en forme, je mets ça à l'arrache -_-

 

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