Violet82 Posté(e) 28 juillet 2022 Posté(e) 28 juillet 2022 Ce topic est juste la preuve que le FCGB est un club dans une autre stratosphère.......😏😥 Citer
Le_saint Posté(e) 28 juillet 2022 Posté(e) 28 juillet 2022 Il y a 1 heure, Violet82 a dit : Ce topic est juste la preuve que le FCGB est un club dans une autre stratosphère.......😏😥 Dans une autre stratosphère je ne sais pas. La réalité c'est que, malgré l'abandon d'une partie de la dette par les créanciers, les Girondins de Bordeaux doivent toujours 13 M€ à King Street et Fortress (plus éventuellement 8 M€ de la dette abandonnée qui pourraient être à nouveau exigibles car soumis à une condition de retour à meilleure fortune). Sont également dus à la métropole les 15 M€ de la location du stade Matmut Atlantique (auxquels viendront s'ajouter à terme les 5 M€ de la saison 2022-2023 dont le paiement a été reporté afin d'aider le club à passer la DNCG mais qui redeviendront exigibles par la suite). Si on y ajoute les intérêts des emprunts contractés, qui génèrent encore de la dette, on peut estimer qu'en 2025 lorsqu'il faudra régler la facture, ce sont entre 30 et 50 M€ qui seront dus aux différents créanciers. Et encore, tout ceci n'est valable que si d'ici là les budgets annuels du club, saisons après saison, sont à l’équilibre. Or, pour bâtir son budget 2022-2023, Gérard Lopez a budgété une seconde place en L2 et des recettes ticketing et merchandising qui ont paru pour le moins démesurées pour pas mal d'observateurs. Autant d'éléments qui font planer le doute sur sa capacité à équilibrer son budget, et qui laissent augurer d'un nouveau déficit en fin d'exercice. Cerise sur le gâteau, si le versement de la première partie des fonds CVC n'était soumis à aucune condition, il faut savoir que le versement de la seconde partie (pour la saison 2023-2024) est conditionné au fait que les clubs soient en fonds propres positifs. Ce sont 8,5 M€ sur lesquels Gérard Lopez compte pour arrondir les angles de son budget qui, en l'état actuel des choses, ne lui seraient pas versés. Bref, si j'étais supporter Girondin, je serais content que mon club soit maintenu en L2... mais je me ferais quand même grave du soucis pour les saisons à venir. 1 Citer
PatMan Posté(e) 28 juillet 2022 Posté(e) 28 juillet 2022 Le transfert de Koundé (Séville FC) au Barça va rapporter 5 M€ à Bordeauxhttps://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Le-transfert-de-kounde-seville-fc-au-barca-va-rapporter-5-m-et-8364-a-bordeaux/1345766 ... directement reversés aux fonds d'investissement Citer
RobespierreDorsini Posté(e) 29 juillet 2022 Posté(e) 29 juillet 2022 Oh le plan social à Bordeaux ! Moi qui croyais qu'il fallait rester en L2 pour sauver les emplois... 2 1 1 Citer
Trinita Posté(e) 30 juillet 2022 Posté(e) 30 juillet 2022 Et il finit par : La situation des Girondins n’a pas été aussi bonne depuis bien avant GACP... 1 Citer
kike Posté(e) 9 août 2022 Posté(e) 9 août 2022 https://www.unfp.org/2022/08/et-a-la-fin-ce-sont-les-joueurs-qui-trinquent/ 3 Citer
arnahud Posté(e) 9 août 2022 Posté(e) 9 août 2022 il y a 29 minutes, kike a dit : https://www.unfp.org/2022/08/et-a-la-fin-ce-sont-les-joueurs-qui-trinquent/ Wow ça c'est un plaidoyer, bravo l'UNFP. Citer
en_congés Posté(e) 22 août 2024 Posté(e) 22 août 2024 Le 30/07/2022 à 14:16, Trinita a dit : Et il finit par : La situation des Girondins n’a pas été aussi bonne depuis bien avant GACP... 2 ans plus tard Citer
Coolbool Posté(e) 11 janvier Posté(e) 11 janvier C'est bizarre de voir qu'aucune mesure n'a été prise à l’encontre du club d'Angers quand on voit ce genre d'info passer. "Angers SCO n'a pu verser qu'une partie de la rémunération de ses joueurs professionnels pour ce mois de janvier. Le club de l'Anjou espère régulariser la situation à la fin du mois." Citer
Le_saint Posté(e) 11 janvier Posté(e) 11 janvier Pour passer la DNCG il suffit de se montrer suffisamment beau le jour de l'entretien. Peut-être qu'Angers est passé en promettant, la main sur le cœur de vendre pour 100 millions de joueurs au mercato d'hiver (c'est ce qu'a fait Lyon il me semble l'année dernière sans pour autant réaliser sa promesse le moment venu et pourtant ils sont toujours en L1). A Bordeaux Lopez a souvent enfumé la DNCG avec des promesses bidon de ce genre, en général ça passe.... jusqu'à un certain point. Citer
GG Posté(e) 11 janvier Posté(e) 11 janvier Oui et puis il ne faut pas confondre budget et trésorerie ou fond de roulement. 1 Citer
Coolbool Posté(e) 8 mai Posté(e) 8 mai Quand on voit ce genre d'info, ça confirme ce que beaucoup pensaient au sujet de Bordeaux lors de leur précédents passage devant la DNCG. Lopez a pu bénéficier pendant un certain temps de la complaisance de cet organisme. De nombreux autres clubs, pour des dettes largement inférieures ont été enfoncé plus bas que terre sans aucune pitié. 1 Citer
Asha31 Posté(e) 8 mai Posté(e) 8 mai Rions un peu, voici l'article de sud-ouest détaillant l'ensemble des créances des Girondins de Bordeaux. Quand je pense qu'ici certains fustigent encore la gestion de Comolli alors qu'on est un des clubs français les plus sains en terme de gestion des finances... L'article: À combien s’élève la dette des Girondins de Bordeaux, placés en redressement judiciaire depuis juillet 2024 ? Le montant a souvent évolué, au fil des déclarations des créanciers et des éventuelles contestations de la part du club. Il est désormais officiellement acté. D’après un courrier adressé en début de semaine par les administrateurs judiciaires à l’ensemble des créanciers, et que nous avons pu consulter, il s’élève à 92,262 millions d’euros. Auxquels s’ajoutent 1,64 million d’euros de dettes toujours contestées par le club. Surtout, ce document liste les quelque 400 entreprises ou structures auxquelles le FCGB doit de l’argent, et combien il leur doit. Ces créanciers sont regroupés en 13 classes selon la nature des dettes. Leur nombre considérable et les montants parfois sidérants traduisent, s’il en était encore besoin, à quel point le club vivait au-dessus de ses moyens depuis plusieurs années, y compris en Ligue 2, quand le besoin de restructuration se faisait impérieux. Après les 85 salariés licenciés, les autres grandes victimes de la chute du club se trouvent ici. 1. Les principaux créanciers : Lopez, la Métropole, Fortress… Le principal créancier des Girondins est leur propriétaire, Gérard Lopez, via La Dynamie, société possédée par l’homme d’affaires et qui détient 99,9 % des actions du club. Ces presque 41 millions d’euros sont principalement composés du compte courant d’actionnaire dû à Lopez (38 millions d’euros) et des 2,6 millions d’euros qu’il a injectés dans le club depuis l’ouverture du redressement judiciaire pour permettre la poursuite d’activité cette saison. Vient ensuite la Métropole de Bordeaux, propriétaire du Matmut Atlantique pour lequel les Girondins cumulent quasiment 20 millions d’euros de loyers en retard. Le fonds Fortress, à qui Bordeaux doit toujours 6 millions d’euros (en plus de 1,4 million via des filiales), constitue à lui seul la première classe de créanciers. Son accord est impératif pour que le plan soit validé par le tribunal de commerce. Il est donc vraisemblable qu’il sera payé en totalité. Les impôts (5 millions de TVA) et l’Urssaf (3,3 millions) suivent. Environ 400 créanciers des Girondins recensés Le montant total des dettes déterminées par le mandataire judiciaire s'élève à 93,9 millions d'euros. Les créanciers sont répartis en 13 classes selon la nature de leur créance. 2. Sportif : transferts et commissions d’agents en retard Les Girondins doivent près de 10 millions d’euros à plusieurs clubs pour des transferts encore non payés en intégralité : 3 millions d’euros à Amiens pour Aliou Badji, 2 millions à Maribor pour Zan Vipotnik, 1,5 million à Gijón pour Pedro Diaz. L’AEK Athènes (Clément Michelin), le Dinamo Batumi (Zuriko Davitashvili), Guingamp (Jérémy Livolant), Farul Constanta (Alexi Pitu), et Lille (Junior Onana) appartiennent à cette dixième classe. À noter 1 million d’euros dus à… l’agence brésilienne qui représente Malcom et qui était intéressée sur sa vente en 2018. Sauf accord des clubs et de cette agence, Bordeaux doit payer intégralement ces sommes pour ne pas être interdit de recrutement par la Fifa. Lorsque l’on additionne ces dettes sportives à celles dues à Fortress et aux impôts, le total obtenu donne une idée du passif incompressible. En clair ? Quoi que donnent ces renégociations, le club ne pourra pas descendre sous les 20 millions de dettes. Côté sportif toujours, des créances existent envers Nice (52 000), Rennes (86 000) et la fédération suisse (500 000), suite au débauchage de Vladimir Petkovic en 2021. Mécaniquement, des agents de joueurs sont en attente de paiement. Sans surprise, vu la propension du club à faire intervenir les intermédiaires, ils sont très nombreux. Parmi les dossiers les plus significatifs, l’agence intervenue sur la vente de Zuriko Davitashvili quelques jours avant le redressement judiciaire (475 000), l’agent prétendument impliqué dans la vente de Sekou Mara à Southampton en 2022 (425 000), un agent allemand (183 000) et l’agent de Rémi Oudin (125 000). 3. Une multitude de PME dans la région et ailleurs La onzième classe est la plus fournie. Elle est composée de plus de 250 créanciers dits chirographaires, c’est-à-dire qui ne bénéficient d’aucun privilège. En clair : ils seront probablement les moins bien remboursés sur les 12,5 millions d’euros que le club leur doit. Il s’agit de fournisseurs et prestataires divers. Les agents de joueurs en font partie, tout comme l’entreprise de communication Havas (190 000 euros), le cabinet d’avocats August-Debouzy qui… accompagne toujours les Girondins aujourd’hui dans la mise sur pied du plan de continuation (76 000 euros). Les Girondins doivent des sommes conséquentes à leur association (217 000 euros), dont ils sont tenus d’équilibrer les comptes à la fin de chaque saison, mais aussi à leur… CSE (59 000 euros). Et à AG2R, entreprise de prévoyance dont ils n’ont pas réglé plusieurs mois en fin de saison dernière (700 000 euros). De nombreux hôtels partout dans le pays au gré des matchs à l’extérieur (plus de 60 000 euros) sont concernés, au même titre que des entreprises de la région bordelaise dans des secteurs diversifiés : espaces verts (99 000 euros dus à Lafitte), événementiel, sécurité, ménage (80 000 dus à Azur propreté), transport, logistique, production audiovisuelle, informatique, formation, énergie, marketing, traiteur… Bref, quand les Girondins sont placés en redressement judiciaire, c’est tout un tissu local qui s’en trouve affecté. Et qui devra en payer une bonne partie du prix, dans un contexte économique déjà défavorable. 1 2 Citer
Blob Marley Posté(e) 8 mai Posté(e) 8 mai Plus on laisse Gégé aux commandes plus les factures s'accumulent, c'est indécent la mansuétude dont il bénéficie, ce mec devrait être interdit de diriger un business. Citer
PatMan Posté(e) 9 mai Posté(e) 9 mai Il y a 16 heures, Asha31 a dit : Rions un peu, voici l'article de sud-ouest détaillant l'ensemble des créances des Girondins de Bordeaux. Quand je pense qu'ici certains fustigent encore la gestion de Comolli alors qu'on est un des clubs français les plus sains en terme de gestion des finances... L'article: À combien s’élève la dette des Girondins de Bordeaux, placés en redressement judiciaire depuis juillet 2024 ? Le montant a souvent évolué, au fil des déclarations des créanciers et des éventuelles contestations de la part du club. Il est désormais officiellement acté. D’après un courrier adressé en début de semaine par les administrateurs judiciaires à l’ensemble des créanciers, et que nous avons pu consulter, il s’élève à 92,262 millions d’euros. Auxquels s’ajoutent 1,64 million d’euros de dettes toujours contestées par le club. Surtout, ce document liste les quelque 400 entreprises ou structures auxquelles le FCGB doit de l’argent, et combien il leur doit. Ces créanciers sont regroupés en 13 classes selon la nature des dettes. Leur nombre considérable et les montants parfois sidérants traduisent, s’il en était encore besoin, à quel point le club vivait au-dessus de ses moyens depuis plusieurs années, y compris en Ligue 2, quand le besoin de restructuration se faisait impérieux. Après les 85 salariés licenciés, les autres grandes victimes de la chute du club se trouvent ici. 1. Les principaux créanciers : Lopez, la Métropole, Fortress… Le principal créancier des Girondins est leur propriétaire, Gérard Lopez, via La Dynamie, société possédée par l’homme d’affaires et qui détient 99,9 % des actions du club. Ces presque 41 millions d’euros sont principalement composés du compte courant d’actionnaire dû à Lopez (38 millions d’euros) et des 2,6 millions d’euros qu’il a injectés dans le club depuis l’ouverture du redressement judiciaire pour permettre la poursuite d’activité cette saison. Vient ensuite la Métropole de Bordeaux, propriétaire du Matmut Atlantique pour lequel les Girondins cumulent quasiment 20 millions d’euros de loyers en retard. Le fonds Fortress, à qui Bordeaux doit toujours 6 millions d’euros (en plus de 1,4 million via des filiales), constitue à lui seul la première classe de créanciers. Son accord est impératif pour que le plan soit validé par le tribunal de commerce. Il est donc vraisemblable qu’il sera payé en totalité. Les impôts (5 millions de TVA) et l’Urssaf (3,3 millions) suivent. Environ 400 créanciers des Girondins recensés Le montant total des dettes déterminées par le mandataire judiciaire s'élève à 93,9 millions d'euros. Les créanciers sont répartis en 13 classes selon la nature de leur créance. 2. Sportif : transferts et commissions d’agents en retard Les Girondins doivent près de 10 millions d’euros à plusieurs clubs pour des transferts encore non payés en intégralité : 3 millions d’euros à Amiens pour Aliou Badji, 2 millions à Maribor pour Zan Vipotnik, 1,5 million à Gijón pour Pedro Diaz. L’AEK Athènes (Clément Michelin), le Dinamo Batumi (Zuriko Davitashvili), Guingamp (Jérémy Livolant), Farul Constanta (Alexi Pitu), et Lille (Junior Onana) appartiennent à cette dixième classe. À noter 1 million d’euros dus à… l’agence brésilienne qui représente Malcom et qui était intéressée sur sa vente en 2018. Sauf accord des clubs et de cette agence, Bordeaux doit payer intégralement ces sommes pour ne pas être interdit de recrutement par la Fifa. Lorsque l’on additionne ces dettes sportives à celles dues à Fortress et aux impôts, le total obtenu donne une idée du passif incompressible. En clair ? Quoi que donnent ces renégociations, le club ne pourra pas descendre sous les 20 millions de dettes. Côté sportif toujours, des créances existent envers Nice (52 000), Rennes (86 000) et la fédération suisse (500 000), suite au débauchage de Vladimir Petkovic en 2021. Mécaniquement, des agents de joueurs sont en attente de paiement. Sans surprise, vu la propension du club à faire intervenir les intermédiaires, ils sont très nombreux. Parmi les dossiers les plus significatifs, l’agence intervenue sur la vente de Zuriko Davitashvili quelques jours avant le redressement judiciaire (475 000), l’agent prétendument impliqué dans la vente de Sekou Mara à Southampton en 2022 (425 000), un agent allemand (183 000) et l’agent de Rémi Oudin (125 000). 3. Une multitude de PME dans la région et ailleurs La onzième classe est la plus fournie. Elle est composée de plus de 250 créanciers dits chirographaires, c’est-à-dire qui ne bénéficient d’aucun privilège. En clair : ils seront probablement les moins bien remboursés sur les 12,5 millions d’euros que le club leur doit. Il s’agit de fournisseurs et prestataires divers. Les agents de joueurs en font partie, tout comme l’entreprise de communication Havas (190 000 euros), le cabinet d’avocats August-Debouzy qui… accompagne toujours les Girondins aujourd’hui dans la mise sur pied du plan de continuation (76 000 euros). Les Girondins doivent des sommes conséquentes à leur association (217 000 euros), dont ils sont tenus d’équilibrer les comptes à la fin de chaque saison, mais aussi à leur… CSE (59 000 euros). Et à AG2R, entreprise de prévoyance dont ils n’ont pas réglé plusieurs mois en fin de saison dernière (700 000 euros). De nombreux hôtels partout dans le pays au gré des matchs à l’extérieur (plus de 60 000 euros) sont concernés, au même titre que des entreprises de la région bordelaise dans des secteurs diversifiés : espaces verts (99 000 euros dus à Lafitte), événementiel, sécurité, ménage (80 000 dus à Azur propreté), transport, logistique, production audiovisuelle, informatique, formation, énergie, marketing, traiteur… Bref, quand les Girondins sont placés en redressement judiciaire, c’est tout un tissu local qui s’en trouve affecté. Et qui devra en payer une bonne partie du prix, dans un contexte économique déjà défavorable. C'est juste fou !!! Citer
vince82 Posté(e) Mercredi à 18:19 Posté(e) Mercredi à 18:19 https://www.toulousefc.com/play/blog/2025/06/le-toulouse-fc-obtient-le-feu-vert-de-la-dncg-pour-la-saison-2025-2026-alors-que-les-proprietaires-accompagnent-la-transition-de 1 Citer
CAHORS Posté(e) Mercredi à 18:54 Posté(e) Mercredi à 18:54 il y a 28 minutes, vince82 a dit : https://www.toulousefc.com/play/blog/2025/06/le-toulouse-fc-obtient-le-feu-vert-de-la-dncg-pour-la-saison-2025-2026-alors-que-les-proprietaires-accompagnent-la-transition-de comme les années précédentes, RedBird Capital Partners (RedBird) a apporté des fonds supplémentaires au club afin de garantir sa solidité financière pour la saison 2025-26 Étonnant, je croyais que c'était pas le cas. Et l'argent des transferts de l'année dernière? C'est pas très cohérent. 1 Citer
jerome69 Posté(e) Jeudi à 07:32 Posté(e) Jeudi à 07:32 Il y a 12 heures, CAHORS a dit : comme les années précédentes, RedBird Capital Partners (RedBird) a apporté des fonds supplémentaires au club afin de garantir sa solidité financière pour la saison 2025-26 Étonnant, je croyais que c'était pas le cas. Et l'argent des transferts de l'année dernière? C'est pas très cohérent. oui moi aussi, il me semble qu il n avait pas mis un rond depuis la première saison et notre NOn_montée en L1 un peu surpris que Montpellier passe la DNCG sans soucis Citer
CAHORS Posté(e) Jeudi à 07:40 Posté(e) Jeudi à 07:40 il y a 1 minute, jerome69 a dit : oui moi aussi, il me semble qu il n avait pas mis un rond depuis la première saison et notre NOn_montée en L1 un peu surpris que Montpellier passe la DNCG sans soucis Pour Montpellier c'est étonnant même s'ils avaient commencé à dégraisser l'effectif l'hiver dernier. Deux possibilités soit le groupe Nicollin a injecté du pognon soit la DNCG est clémente, peut être un peu des deux. 1 Citer
fifidu31170 Posté(e) Jeudi à 08:02 Posté(e) Jeudi à 08:02 La DNCG à l'air d'être clémente cette saison es ce dû aux menaces de certains dirigeants ? 1 Citer
Trinita Posté(e) Jeudi à 17:08 Posté(e) Jeudi à 17:08 Je soupçonnais que la DNCG serait clémente, ça ne fait que confirmer mes suppositions. The show must go on. 1 Citer
en_congés Posté(e) Jeudi à 17:31 Posté(e) Jeudi à 17:31 Il y a 9 heures, fifidu31170 a dit : La DNCG à l'air d'être clémente cette saison es ce dû aux menaces de certains dirigeants ? Si c'est le cas, la DNCG sont une bande de décérébrés qui ont déjà oublié les largesses faites à Lopez, et là où ça a amené le fcgb. Citer
Nens Posté(e) Jeudi à 21:34 Posté(e) Jeudi à 21:34 Faut pas oublier que Montpellier a bien vendu cet hiver justement en prévision de la descente. 2 Citer
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