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Ligue 1 en général


Messages recommandés

il y a 6 minutes, VioletSmurf a dit :

L'accord doit déjà être passé avec le prochain diffuseur... Ils attendaient pas la décision de Mbappe. 

D'autant plus que c'est le Bein de Nasser qui devrait diffuser 🙃

Si tu le dis :)

 

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Il y a 14 heures, VioletSmurf a dit :

L'accord doit déjà être passé avec le prochain diffuseur... Ils attendaient pas la décision de Mbappe. 

D'autant plus que c'est le Bein de Nasser qui devrait diffuser 🙃

La LFP est quand même sacrément gênée... Côté image, ils ont tout misé sur la présence de 3 stars qui sont parties sans être remplacées, après plusieurs décennies à jouer le jeu de la concurrence au prix d'une offre éparpillée et instable. Il n'y a plus de diffuseur historique et le jeu de la concurrence ne marche plus. Que reste-t-il comme levier pour éviter la déflation ? Les droits à l'étranger, marché ultra-concurrentiel qui représente des sommes finalement modestes et sur lequel l'Arabie Saoudite grignote le placement markéting de la France. Tout cela n'est vraiment pas de bon augure.

 

Le départ de Mbappé, une tuile pour la LFP en quête d'un acquéreur pour les droits de la L1

Rédaction
3–4 minutes

Programmés en parallèle, les deux feuilletons ont animé les dernières semaines, étirant le même suspense : celui de la vente des droits de diffusion de la Ligue 1 pour la période 2024-2029 et celui, devenu récurrent, sur l'avenir de Kylian Mbappé. À l'arrivée, le capitaine de l'équipe de France a été plus rapide que Vincent Labrune, le président de la LFP, en optant pour un départ plutôt qu'une prolongation au PSG, un club où il évolue depuis 2017.

Ce choix et le timing de l'annonce ne rendent pas service au patron du football professionnel français, qui se débat depuis des mois pour convaincre les diffuseurs d'acheter les droits de la L1 pour les cinq prochaines saisons. Et qui perd un argument de poids dans les négociations. Pour l'heure, après un appel d'offres déclaré infructueux le 17 octobre, Labrune négocie de gré à gré avec les diffuseurs intéressés.

Une offre de DAZN insuffisante

Il a en main une première offre de l'entreprise britannique DAZN, qui veut toute la L1, mais à un montant (500 millions d'euros) encore assez éloigné de celui espéré par la LFP. Dans un deuxième temps, DAZN a accepté de se contenter de six matches en exclusivité et deux en co-diffusion avec un autre acteur. Ce qui peut permettre à la Ligue de combiner une solution avec beIN Sports ou Amazon Prime Video et d'obtenir un total plus proche de ses espérances (autour de 700 millions d'euros pour les droits nationaux de la L1 et environ 900 millions en tout avec les droits à l'étranger).

Ce départ de Mbappé arrive au pire moment, puisque la LFP doit encore convaincre les trois acheteurs potentiels du Championnat de France de faire un effort. Sans le crack de Bondy, la partie devient forcément plus serrée encore. Car si personne n'achète un Championnat pour un seul joueur, sa présence dans les rangs parisiens avec un nouveau contrat longue durée aurait forcément été un atout pour la Ligue 1.

Déjà, l'été dernier, la LFP avait craint pareille issue. En ne levant pas l'option sur sa dernière année de contrat (jusqu'en 2025) au PSG, Mbappé avait été relégué dans le loft parisien et privé de tournée au Japon. Avec la menace d'être transféré s'il ne prolongeait pas. À cette époque, la LFP peaufinait les derniers détails de son appel d'offres, dont le lancement était prévu mi-septembre et les réponses des diffuseurs attendues un mois plus tard. Le timing de cette crise avait inquiété Labrune et ses équipes, qui avaient anticipé le départ de Messi et Neymar, mais pas celui du Français. La résolution de ce psychodrame les avait soulagés. Mais pas pour très longtemps.

  • Feu 1
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Quand on s'intéresse un minimum à leurs magouilles et la façon dont ils se sont jetés sur l'accord CVC pour sauver les meubles et les apparences, je sais pas comment on peut se dire que le départ de l'unique star du championnat a été anticipé et n'aura pas d'impact sur les négociations avec les diffuseurs. Ça sent pas bon...

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Oui, et leur seul espoir de sauver les meubles reste la déclaration de Nasser qui a promis un super mercato à Paris. Je ne vois quand même pas comment ils espèrent obtenir la somme attendue, 900 millions me parait énorme surtout que d'après l'article ci-dessus ils estiment les droits à l'international à 200 M€ alors que j'avais lu ailleurs que 100 M€ serait bien plus réaliste. A moins d'une énorme magouille, ce sera déjà bien s'ils en tirent 750 M€.

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il y a une heure, GG a dit :

Quand on s'intéresse un minimum à leurs magouilles et la façon dont ils se sont jetés sur l'accord CVC pour sauver les meubles et les apparences, je sais pas comment on peut se dire que le départ de l'unique star du championnat a été anticipé et n'aura pas d'impact sur les négociations avec les diffuseurs. Ça sent pas bon...

Le pire, c'est que l'Allemagne est elle aussi en train de céder aux même sirènes que la France, alors que les supporteurs sont absolument contre...

Je suis à peu près sûr que l'on verra de belles affaires de corruptions d'ici quelques années autour de ces sociétés commerciales. Un peu comme après le choix du Qatar pour la CdM 2022.

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Le 16/02/2024 à 14:31, Vistule a dit :

Le pire, c'est que l'Allemagne est elle aussi en train de céder aux même sirènes que la France, alors que les supporteurs sont absolument contre...

Je suis à peu près sûr que l'on verra de belles affaires de corruptions d'ici quelques années autour de ces sociétés commerciales. Un peu comme après le choix du Qatar pour la CdM 2022.

Je serai interessé de faire / voir une etude de micro economie du retour sur investissement qu’aurait un diffuseur a TOUT recuperer. Genre t’as tous les matchs de tous les championats yc europens. Jaimerai bien voir la courbe d’elasticité (a quel prix d’abonnement mensuel tu maximises le couple volume valeur) et de facto a cb est l’offre pour break event le marché

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l'OM c'est le club qui fait toujours tout dans la précipitation. Chaque année il veut une équipe performante immédiatement, et bien entendu il n'y parvient pas car la politique du club est mauvaise erreurs de recrutement, ne s'appuie pas sur son centre de formation, "les jeunes de la région vont dans d'autres clubs car ils savent qu'à l'OM ils ne joueront pas en équipe une" dixit Di Méco.

Il aurait tout à gagner à prendre son temps en construisant un projet sur quelques années. Mais non, il y a toujours une pression de résultat immédiate qui les en empêche. Ce club renouvelle les mêmes erreurs depuis des lustres. 

Modifié par CanisLupus
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Après son week-end noir, l'arbitrage français est en pleine confusion

De l'avis général, l'arbitrage français a connu, lors de la 22e journée de L1, un week-end noir. Avec une succession de bourdes (penalty assez évident non sifflé pour les Niçois en déplacement à Lyon, même chose à Brest pour l'OM, carton rouge oublié pour un Rémois face à Lens) qui viennent s'ajouter à pas mal d'autres (notamment l'expulsion contestable de Dante lors du derby Nice-Monaco il y a une semaine) depuis la reprise début janvier. Ce qui a eu le don d'électrifier le climat autour des matches.

« Pendant un temps, on ne pouvait que se satisfaire de l'évolution de l'arbitrage, explique Jean-Pierre Caillot, président de Reims et du collège de Ligue 1. Personnellement, j'étais ravi du dialogue avec les arbitres, un des éléments pour lequel je m'étais battu. Mais force est de constater qu'un certain nombre d'erreurs techniques est arrivé dans ce début d'année. Et certaines sont amplifiées par le fait que le dialogue est compliqué avec certains arbitres qui sont encore dans l'ancienne mouvance au niveau de leur comportement. »

Utilisé sans ligne directrice, le VAR cristallise les tensions, comme le reconnaît Éric Borghini, le président de la commission fédérale des arbitres (CFA), également membre du comité exécutif de la FFF, qui met aussi en avant le conflit entre Stéphane Lannoy, en charge du secteur professionnel (dont il n'est plus très fan), et Antony Gautier, le directeur technique de l'arbitrage (DTA), pour justifier une corporation en perte de repères. « La situation au sein de la direction de l'arbitrage et le flottement que les arbitres ressentent, notamment quand ils sont en stage, joue un rôle, assure-t-il. Tout comme la ligne technique qui leur est demandée d'appliquer, dont ils me disent qu'elle n'est pas toujours cohérente. Tout ça a joué sur les arbitres et a contribué à les déconcentrer un petit peu, à les perturber. Ce sont des sportifs de haut niveau et donc des mécaniques de précision. Le moindre accroc peut les dérégler. Je pense que c'est ce qui s'est passé depuis un mois et demi.

« Je ne suis pas sûr qu'il fallait un responsable général comme l'ont décidé les gens à la Fédération, à savoir Jean-Michel Aulas et Marc Keller »

Jean-Pierre Caillot, président de Reims et du collège de L1

Cela se ressent dans certaines décisions, mais pas toutes. Il ne faut pas exagérer. Ce n'est pas un cataclysme... Mais la machine s'est un peu déréglée. Au niveau du VAR, c'est pareil. Il y a des éléments à revoir. Il faut absolument que l'on reprécise les choses. Ce n'est pas normal que dans certaines situations on n'envoie pas les images et que dans d'autres, on le fasse... Dans les deux cas, ce n'est pas toujours pertinent. Il y a un sujet qu'il faut regarder de près. On est en train de resserrer un peu les boulons pour finir la saison dans de bonnes conditions. »

Pour Caillot, la petite usine à gaz (Gautier DTA, Lannoy pour les pros, Stéphanie Frappart pour les féminines et Alain Sars pour les amateurs) montée après le départ de Pascal Garibian, l'ancien DTA remercié fin 2022, ne fonctionne pas. « Je ne suis pas sûr qu'il fallait un responsable général (Gautier) comme l'ont décidé les gens à la Fédération, à savoir Jean-Michel Aulas (ex-président de l'OL, aujourd'hui vice-président de la FFF) et Marc Keller (Strasbourg, membre du comex). Il y aurait eu un responsable de l'arbitrage professionnel, cela aurait été bien suffisant. »

L'organigramme bientôt chamboulé ?

Aujourd'hui, Caillot sent bien que Lannoy pourrait payer la note. « L'arbitrage revient à la Fédération, poursuit-il. Ils sont en train de remettre en question ce qu'ils ont mis en place il y a six mois, c'est un constat d'échec. Aujourd'hui, pour des histoires personnelles, ils (Gautier et Lannoy) n'arrivent pas à travailler ensemble. J'ai l'impression que les arbitres ne savent plus trop qui est véritablement leur patron. Et comme en plus, les deux ne sont pas d'accord entre eux, ça n'arrange pas les choses. Il aurait pu y avoir un organigramme beaucoup plus simple. La Fédération a souhaité rajouter une strate, je ne suis pas sûr qu'on y ait gagné. Il n'y aurait qu'un responsable, ce serait plus fluide. »

Borghini, lui, espère tout de même que la tension va bientôt retomber : « Il faut que l'ensemble du groupe reprenne confiance en lui, se reconcentre, réclame-t-il. Les arbitres ne sont pas devenus mauvais d'un coup. Il faut aussi que les clubs se calment, que ce soient les présidents ou les entraîneurs. À chaque décision qui ne convient pas, il y a une polémique. Il faut calmer le jeu, laisser les arbitres arbitrer. » En attendant, la FFF va décider si elle chamboule son organigramme. En clair si Lannoy, qui était le choix des clubs et de la LFP, est poussé vers la sortie. Ce qui pourrait faire à nouveau monter la température.

Etienne Moatti.
  • Top ! 1
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  • 2 semaines plus tard...

Je regarde Montpellier PSG. Je ne sais pas qui est le plus insupportable, entre Savanier qui passe son temps a gueuler et mettre des gifles, ou Mbappe qui se permet de prendre l'arbitre par les épaules et l'amener à l'écart pour discuter du pénalty accordé contre le club de la capitale...

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  • 2 semaines plus tard...

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