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César Gelabert


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il y a 15 minutes, Harry_Kop a dit :

Encore une info foireuse sur LV.com dans leur article d'avant-match . Décidément ça va pas fort en ce moment leur source...

Gelabert a fait une courte entrée, difficile de se faire une idée sur lui mais c'était rassurant de le voir un peu sur la fin de cette préparation.

On dirait qu'il a joué avec la trouille tellement ses passes étaient fébriles.

 

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  • 2 semaines plus tard...
il y a une heure, Olimil31 a dit :

J'ai fait un gros Google Trad :

Gelabert, après un récent match sous le maillot toulousain.
Gelabert, après un récent match sous le maillot toulousain. CG

"J'aurais aimé jouer au Sporting, c'était la première ville où j'ai connu le football"

«L'an dernier, avec Mirandés, on a fait un match à dix. On avait prévu de presser très haut, à '6', pour voler » César Gelabert Footballeur toulousain et ancien footballeur des Mirandés

 

QUARTIER JAVIER

GIJON.

Vendredi 18 août 2023, 01:29

 
 
 

César Gelabert (Palencia, 2000) parle la même chose qu'il joue. Avec Es pure confiance en soi. La "boussole" qui a dirigé Mirandés vers la jugulaire du Sporting lors de la dernière visite de l'équipe de Burgos (3-4), avec un superbe jeu de ce jeune milieu de terrain, vit et évolue aujourd'hui à Toulouse, en Ligue-1, où il est arrivé après deux années de durcissement à Miranda de Ebro, se taillant une carrière qui progresse à pas très fermes, au galop de sa verticalité et de son talent, et laissant libre cours à une passion qui s'est enflammée au cours des deux années où il a vécu à Gijón en raison de l'emploi situation de son père, Juanmi, alors joueur du Sporting. Sa mémoire de tout, "inoubliable".

Comment vas-tu en France ?

-Bien. Je viens d'arriver. Tout est très nouveau, comme pour toute adaptation. Petit à petit je m'habitue à la langue, à mes collègues, à la nourriture, qui est différente de celle de l'Espagne... Je suis très contente et j'ai envie de me donner à cent pour cent.

 

Avez-vous récupéré de votre blessure?

-Ouais. Au cours de la deuxième semaine de pré-saison, il y avait beaucoup de travail et j'ai eu la malchance d'avoir une petite déchirure au quadriceps. J'ai du arreter. Mais il y a deux week-ends, j'ai déjà joué un quart d'heure contre la Roma et j'ai été appelé petit à petit, avec une adaptation progressive.

-L'entraîneur des Girondins de Bordeaux a glissé que Pedro Díaz n'avait pas atteint le point de forme requis en France. Y a-t-il une telle différence dans la préparation à partir de là?

-Oui oui. La pré-saison, sur le plan physique, a été beaucoup de course à pied, beaucoup de physique, de gym, de ballon aussi... Cette Ligue est pleine de transitions, de longs ballons dans l'espace, de seconds jeux. Un defi. Mais il faut tout faire.

-Tu as vécu deux ans à Gijón. Comment vous en souvenez-vous ?

-Il vivait dans une urbanisation près d'El Molinón. Gijón est une très belle ville. Ma famille aime beaucoup. Je suis allé dans une école à Las Metas, pour la maternelle. Ensuite, j'étais à El Clarín, où j'ai commencé en tant que joueur. Ce furent deux années merveilleuses.

-As-tu pu jouer à Mareo ?

-Oui, mais rival. Contre Sporting prebenjamín. La dernière fois que je suis allée à Mareo j'étais très changée, mais ce sont de très beaux souvenirs. Ce furent deux années merveilleuses, vraiment. J'avais 5 ou 6 ans. Était très petit.

-Vos premiers maillots seraient du Sporting, non ?

-Clair. Et je faisais douze tailles de plus (rires) ! Ils venaient de mon père. Chez Astore ! J'ai encore des photos autour. C'était très spécial. J'ai vécu El Molinón en tant que fan total, mais j'ai dû jouer les deux dernières années contre Mirandés. El Molinón est un parcours spectaculaire.

- Était-ce le premier stade auquel vous alliez en tant que fan ?

-Ouais. Je pense que je suis allé à Séville avant, quand mon père était là-bas, mais il était très, très petit. El Molinón est le premier champ où je suis allé pour être conscient. J'y ai pris mes premiers coups de pied et j'ai ressenti l'envie de vouloir y jouer au football. Voir ce fan du Sporting presser... Ça m'a beaucoup motivé. J'ai vraiment aimé être fan d'El Molinón.

-Un peu de mémoire ?

-(Réfléchi). Je me souviens d'un 5-4 contre Cadix où le Congo a marqué. Ce fut un retour brutal à El Molinón. Je regardais le match où le tunnel des vestiaires, avec les expulsés. Je pensais que le stade tombait au sommet quand le Congo a marqué. J'entrais toujours dans le tunnel, je ne sais pas pourquoi, mais j'aimais ça. Je me souviens de Barral, Congo, Ximo Enguix, 'Gati', Diego Castro...

-Il n'y a jamais eu de négociations ouvertes ces deux dernières années pour revenir à Gijón en tant que footballeur du Sporting ?

- Je n'avais pas de nouvelles. J'ai parlé à mes représentants à chaque mercato et rien n'est jamais venu du Sporting.

-Et ça vous aurait plu ?

-Eh bien... C'est clair. Le Sporting est une équipe que j'aime beaucoup. C'est la première ville où j'ai vraiment vécu le football. Quand j'ai quitté Madrid, cela aurait été une bonne option, mais je me suis retrouvé à Mirandés, ce à quoi je suis très reconnaissant. J'ai été impressionné par la ville et les fans. Ce n'est pas une grande ville, mais ils encouragent, poussent... La vie quotidienne est incroyable.

-Quel match il a joué l'année dernière à El Molinón...

-Ce que j'avais pour mon équipe. Nous étions très concentrés. Nous savions ce qui était en jeu ces derniers jours, puisque notre objectif était de nous sauver nous-mêmes, et nous avons bien travaillé. Nous avons un jeu de dix. On est presque allé jusqu'au bout (rires), mais on s'en est très bien sorti. C'est ce jour où tout sort.

- Ont-ils étudié les faiblesses du Sporting lorsqu'il a perdu le ballon ?

-Nous avions étudié toutes les équipes. Pendant la semaine, nous avons fait beaucoup de tactiques, nous avons regardé les équipes en vidéo. On a fait arrêter le ballon, la pression était très coordonnée. On avait prévu de presser haut et surtout contre '6' (Marsà) pour voler devant. Les transitions se sont parfaitement déroulées.

-Et pour toi était-ce une motivation particulière ?

-Je connaissais bien El Molinón. Pas en tant que joueur, mais en tant que fan. L'année précédente, j'avais déjà disputé mon deuxième match à l'extérieur dans le football professionnel à Gijón et j'avais été très impressionné. Ce qui se vit de l'extérieur, de l'intérieur est très différent. Vous sentez la pression, les gens qui poussent. C'est la plus belle chose qui soit.

Allez-vous voir le match dimanche ?

-Clair. Je les vois tous. J'aime beaucoup le football, le Second. Je regarde beaucoup de matchs.

- Dans quelle position vous sentez-vous le plus à l'aise ? L'année dernière, on l'a même vu comme milieu de terrain.

-Lancé dans le groupe, en tant qu'attaquant... J'ai tout joué. Où l'entraîneur me met. Si je suis honnête, le poste que j'aime le plus est celui de '10', en tant que milieu de terrain. Avoir la liberté sur le terrain. Mais écoutez, l'année dernière, c'était la première fois que j'ai pu jouer en '8' et j'ai aussi aimé ça. Je suis une personne qui aime moins défendre (rires), mais j'y ai pris goût.

-Que pensez-vous de ce Sporting ?

-J'ai vu quelque chose : le départ de Pedro aux Girondins, la signature de Róber Pier, aussi que Cristo est parti, que je l'avais comme coéquipier au Castilla... Je vois qu'il y a un bon effectif. L'idée de jeu du coach était appréciable l'an dernier et je pense que, dans la continuité, ça s'annonce plutôt bien.

-Quel sentiment te procure le match de dimanche ?

-J'ai vu le départ de Mirandés, qui était spectaculaire. Je pense que ce sera un match égal. Ce sont deux équipes qui aiment jouer au ballon. Que les meilleurs s'en emparent. Je ne vais pas m'installer ici (rires).

-Vous voyez-vous jouer au Sporting un jour ?

-Si la situation se présente, la vie du footballeur sait ce qu'elle est, il faudra bien l'examiner avec mes représentants et ma famille, et prendre une décision. Je ne sais pas. Je serais ravi, oui, parce que j'y ai vécu pendant deux ans.

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Une carte Pokemon toujours pas jouée et au chaud dans le deck! Ca nous ménage un brin de suspens (je n'arrête pas de me demander ce qu'il vaut, comme ce que ferait Schmidt sur un match complet) mais son temps de jeu actuel à 0 interroge également.

A date disons nous pour nous rassurer qu'il est revenu depuis trop peu de temps et donc pas encore prêt.  

Modifié par arnahud
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il y a 2 minutes, arnahud a dit :

Une carte Pokemon toujours pas jouée et au chaud dans le deck! Ca nous ménage un brin de suspens (je n'arrête pas de me demander ce qu'il vaut, comme ce que ferait Schmidt sur un match complet) mais ça son temps de jeu actuel à 0 interroge également.

A date disons nous pour nous rassurer qu'il est revenu depuis trop peu de temps et donc pas encore prêt.  

Tout a fait. Je me demande quand il sera opérationnel et prêt. Je suis  curieux de savoir si Carles (qui apparemment le chouchoute) ne veut pas le pourrir sur des matchs où on ne domine pas. 

J'espère le voir jouer un peu plus pour savoir si on a un crack ou un bust.

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il y a 5 minutes, Rémi Loret a dit :

Tu as vu ça où ? Il s'est blessé ?

C'est pour cela qu'on prend aussi le 2eme but , c'est lui qui doit couvrir et revenir sur le buteur strasbourgeois mais on le voit revenir en boitant , il n'arrive plus à courir à ce moment là, après le but il s'est même écroulé dans la surface ....j'espère que ce n'est pas trop grave .

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Il y a 1 heure, Rémi Loret a dit :

Tu as vu ça où ? Il s'est blessé ?

Il a boité les 5 dernières minutes du match, après un gros contact sur lequel il récupère un ballon.

Autrement, il a fait une très belle entrée. Son premier contrôle est une merveille et c'était plus ou moins le seul qui courrait vers l'avant sans ballon.

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