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Topic Arbitrage


Fabrizio

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Il y a 1 heure, CanisLupus a dit :

Ras le bol des discussions sur les arbitres. Aujourd'hui c'est Lille, il y a peu c était Nice qui n'assumait pas. Nous ne sommes pas mieux sur le forum ou on vilipende souvent les arbitres. Les sportifs doivent avoir l'esprit sport et avant tout chercher ce qu'ils ont mal fait pour perdre.

Ok il y a des exceptions qui confirme la règle, comme Séville 82, et M. Foot aussi :grin:

Nan mais sérieux, il n'y a pas scandale ce soir.

Le problème de l'arbitrage, ça l'extrême hétérogénéité des décisions. Rien que cette aprèm, entre la première et la seconde mi-temps, c'est le jour et la nuit côté arbitrage. Ça plus des instances qui ne protègent pas les arbitres, ça fait que tout le monde du football se sent légitime à râler tout le temps.

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Après l'arbitrage n'a pas vocation à être parfait et à ne pas faire d'erreurs, c'est impossible.

C'est les enjeux économiques grandissants et la médiatisation à outrance qui nous imposent cette vision de l'arbitrage, avec toujours plus d'angles de vue, de ralentis et de super-loupes.

Sans compter les débats interminables à la radio et à la télé.

Dans tous les championnats c'est pareil, c'est partout pareil, ici on parle quasiment à chaque fois autant de l'arbitrage que du match en lui-même.

Modifié par LutherBlissett
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Il y a 6 heures, LutherBlissett a dit :

Après l'arbitrage n'a pas vocation à être parfait et à ne pas faire d'erreurs, c'est impossible.

C'est les enjeux économiques grandissants et la médiatisation à outrance qui nous imposent cette vision de l'arbitrage, avec toujours plus d'angles de vue, de ralentis et de super-loupes.

Sans compter les débats interminables à la radio et à la télé.

Dans tous les championnats c'est pareil, c'est partout pareil, ici on parle quasiment à chaque fois autant de l'arbitrage que du match en lui-même.

Et on ne parle pas d’erreur manifeste là, si erreur il y a. Dans aucune des trois situations. 

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Un ami m'a rappelé le TFC - Lille de l'an passé, avec le "fameux" premier but de Lille à la 88e...

- Corner inexistant

- Poussette dans le dos de Rouault

On a pas entendu l'entraineur Lillois reconnaître en conférence de presse que son équipe avait bénéficié d'un arbitrage favorable....

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Tous les dimanches apportent son lot de plaintes sur l'arbitrage . pas un club qui ne  dit  que les arbitres sont contre nous.

Normalement en fin de championnat les mauvaises et les bonnes décisions s'équilibrent.

On en fait des caisses mais 48h après on passe à autre chose( heureusement)

 

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il y a une heure, ClarkGaybeul a dit :

Un ami m'a rappelé le TFC - Lille de l'an passé, avec le "fameux" premier but de Lille à la 88e...

- Corner inexistant

- Poussette dans le dos de Rouault

On a pas entendu l'entraineur Lillois reconnaître en conférence de presse que son équipe avait bénéficié d'un arbitrage favorable....

c'est vrai que là c'était silence radio... Chevalier n'a fait que pleurer au micro, il était ridicule.

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https://www.sofoot.com/articles/pour-labolition-de-la-var

Ca participe aussi à cette folie qu'il y a autour des arbitres.

Citation

La VAR a clairement démontré non seulement qu’elle nuisait au foot et au jeu, mais, qui plus est, son inefficacité. Elle échoue en effet quasiment dans toutes ses missions : faciliter le travail des arbitres, apaiser joueurs et dirigeants de club ou encore supprimer les injustices. Une question devrait s’imposer, et la réponse en découler naturellement : qu’attendons-nous pour nous débarrasser d’un « machin » auquel d’ailleurs les hommes et les femmes en noir recourent de moins en moins ?

Depuis le début de la saison d’une Ligue 1 plutôt excitante sur le terrain, deux scandales semblent saper les fondements du bel édifice d’un foot français en pleine reconstruction : les débordements des supporters et la VAR. Alors que tout le monde s’affaire pour régler le cas des tribunes, on continue de jeter un voile pudique sur cette grande escroquerie du football moderne que reste le vidéo-arbitrage. Les exemples ne cessent de se multiplier, pour faire finalement système. On se plaint de son usage, du ralentissement du jeu, ou encore à l’inverse de sa non-utilisation lorsqu’une action semble litigieuse. Troyes contre Angers, Lyon au PSG, Lyon de nouveau contre Lorient… Chaque journée enfante son petit scandale. Évidemment rien de neuf. Jean-Michel Aulas crie contre l’arbitrage quand il lui est défavorable – il le fera toujours – et passe son fusil sur son autre épaule les jours où ça l’arrange. L’immense croyance qu’une seule décision peut figer un score continue d’occuper les sempiternels « on refait le match » . Les arbitres demeurent la cible de tous les reproches dans un foot où en retour, les fourberies, simulations ou coups de pression systématiques des joueurs sont considérés comme naturels, voire presque de la conscience professionnelle.

Effets pervers

Toutefois, c’est bien ici que le bât blesse. L’instauration de la VAR était censée apporter la paix sur le rectangle vert. Nous allions mettre un terme au doute sur les buts, les penaltys et bien sûr les cartons rouges. L’homme en noir, dépendant autrefois de ses seules compétences, ne serait plus seul face à des choix cornéliens, dans un sport dont l’explosion des performances et des capacités physiques paraissent interdire à l’œil humain de tout capter en temps réel. L’inévitable erreur humaine deviendrait péché devant la gloire lumineuse des écrans et des ralentis. Une armada de caméras et des collègues à l’oreillette veilleraient sur lui. Seulement, la VAR l’a surtout déresponsabilisé dans ses prises de décision. Elle est devenue un filet de protection qui affaiblit le poids de son autorité, alors que 90% de ce qu’elle juge nécessite toujours l’interprétation individuelle et finale de celui qui détient le sifflet. Voilà donc l’arbitre non seulement amené à se justifier de ce qu’il a vu, mais aussi désormais des circonstances et à quel moment il a dessiné le petit carré dans l’air avec ses mains. Résultat, une foire d’empoigne supplémentaire, le refrain du « pourquoi ne pas avoir recouru à la VAR ? » ou bien son pendant « étonnant la sanction adoptée au regard des images que nous avons nous aussi pu consulter » . La VAR a donné des raisons et des moyens additionnels de critiquer l’arbitre sans lui fournir en retour les arguments « juridiques » incontestables pour se défendre.

Enfin, loin d’assagir les joueurs, les entraîneurs ou même les présidents de club, la VAR leur a offert une raison supplémentaire de se plaindre, une opportunité nouvelle de faire pression auprès de l’arbitre, de le déstabiliser, sans oublier de passer ensuite pour la victime en conférence de presse. Doit-on désormais acquérir une âme de comptable pour convaincre les ultimes partisans de cette ignominie ? Les quelques erreurs corrigées n’équilibrent pas les pertes endurées par un football de plus en plus administratif. Avant qu’il ne soit trop tard, et même par simple pragmatisme au regard du spectacle qui s’offre à nous chaque week-end, il est temps d’abolir la VAR pour le foot, pour le jeu, pour les arbitres.

 

Par Nicolas Kssis-Martov

 

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Il y a 3 heures, LutherBlissett a dit :

https://www.sofoot.com/articles/pour-labolition-de-la-var

Ca participe aussi à cette folie qu'il y a autour des arbitres.

 

Mon cher Luther, la folie n'était pas moindre avant l'instauration de la VAR. Et si elle venait à être abolie, elle ne sera pas moindre après...

Le foot est le jeu collectif au cours duquel on marque le moins de points : le but est rare et il vaut donc très cher. De surcroit, c'est le sport collectif qui donne sans doute le plus lieu à interprétation. La pression sur l'arbitre est donc maximale car ses décisions peuvent en effet faire basculer le sort d'un match. 

Le problème, depuis le début de la VAR, vient de ce qu'au lieu d'être un outil à leur service, elle a été complètement détournée, travestie, corrompue par des modalités d'usage à la con. Les arbitres ont d'ailleurs leur part là-dedans à partir du moment où ils estiment que s'en servir est déshonorant...

Modifié par Gollum
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il y a 1 minute, Zitoun a dit :

Impossible à juger sur ce ralentit, mais si la balle ne sort pas en 6 mètres, alors oui péno -_- Le main empêche une remise dans la surface.

Tout pareil.

A part que j'aurai pas mis un t à la fin de ralenti.

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il y a 7 minutes, dondiego a dit :

Si le ballon est sorti y a pas péno et s’il n’est pas sorti y a péno. 
La VAR a du avoir un autre angle que cette vidéo pour juger. 

Apparemment ils n'ont pas pu être sûrs que c'était sorti, et donc sont restés sur le péno. 

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il y a 27 minutes, GG a dit :

Tout pareil.

A part que j'aurai pas mis un t à la fin de ralenti.

J'ai hésité à mettre bien d'autres lettres, mais ce "t" perché tout en haut du clavier et plein centre me semble bien trop souvent oublié.

Et puis, je suis pas en bons termes avec le "d" ces derniers temps, j'ai joué à l'affectif. Mais la routourne.

il y a 10 minutes, Flolynyk a dit :

Apparemment ils n'ont pas pu être sûrs que c'était sorti, et donc sont restés sur le péno. 

De mon temps :ninaj: :claude: il fallait que plus de la moitié du ballon sorte. Maintenant même si un centimètre n'a pas passé la ligne, le ballon reste en jeu, ça peut aider les joueur lache-rien comme sur cette action du grand Pierrot.

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il y a 11 minutes, Flolynyk a dit :

Apparemment ils n'ont pas pu être sûrs que c'était sorti, et donc sont restés sur le péno. 

Le débat était effectivement celui là (j'aurais dû préciser)

Personne ne dit qu'il n'y a pas main, mais le débat était "ballon sorti ou pas"

Est-ce que la VAR avait un autre angle ? J'en doute

https://rmcsport.bfmtv.com/football/ligue-1/strasbourg-brest-une-incomprehension-entre-la-var-et-l-arbitre-principal-aurait-eu-lieu-sur-le-penalty_AV-202402250302.html

Citation

(...)une incompréhension entre la VAR et l'arbitre central aurait amené au pénalty brestois qui a mis fin au suspense.

Selon Canal+, Jérôme Brisard n'aurait pas compris que ses assesseurs de la vidéo l'appelaient pour vérifier une sortie de balle juste avant le pénalty obtenu par les Brestois. (...)

Les arbitres présents à la vidéo n'ont pas pu clairement établir la sortie du ballon. 

(...)L'arbitre de la rencontre Jérôme Brisard aurait donc décidé, dans ces conditions, de se fier à sa première impression et à celle de ses assistants sur la pelouse en maintenant le penalty 

 

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il y a 14 minutes, Zitoun a dit :

De mon temps :ninaj: :claude: il fallait que plus de la moitié du ballon sorte. Maintenant même si un centimètre n'a pas passé la ligne, le ballon reste en jeu, ça peut aider les joueur lache-rien comme sur cette action du grand Pierrot.

Je crois que ça a toujours été comme ça et que tu te fourvoies, mais je me trompe peut-être. 

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il y a 45 minutes, Flolynyk a dit :

Je crois que ça a toujours été comme ça et que tu te fourvoies, mais je me trompe peut-être. 

C'est un faux problème de toute façon !

Quel que soit la ligne que l'on fixe (milieu du ballon ou circonférence) il faut déterminer si ça a franchi entièrement la ligne ou pas (bord extérieur de de ligne je précise). En la matière, je préfère m'en remettre à un contrôle vidéo plutôt qu'à l'oeil humain qui me semble plus aléatoire. Pour les autres types d'actions la décision finale doit être à l'appréciation de l'arbitre, aidé de la vidéo ou non en fonction de la situation.

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Déjà, si tu mets une ou deux minutes voire plus à savoir s'il y a faute ou pas, HJ ou pas, main ou pas, ballon sorti ou pas, l'erreur ne peut pas être manifeste. Donc tu laisses l'arbitre décider. L'assistance vidéo doit rester une assistance et pas un second arbitre. 

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Il y a 2 heures, Casimir a dit :

Déjà, si tu mets une ou deux minutes voire plus à savoir s'il y a faute ou pas, HJ ou pas, main ou pas, ballon sorti ou pas, l'erreur ne peut pas être manifeste. Donc tu laisses l'arbitre décider. L'assistance vidéo doit rester une assistance et pas un second arbitre. 

C'est plus ou moins ce que dit le dernier article de L'Équipe sur le sujet.

 

Très utilisé et critiqué, le VAR est en surchauffe en Ligue 1

En attendant de savoir s'ils vont conserver - ou pas - leur boss (Stéphane Lannoy), sur la sellette depuis plusieurs semaines, les arbitres professionnels poursuivent leur saison. Toujours accompagnés de nombreuses polémiques, notamment à propos du VAR, dégainé avec frénésie sur tous les terrains de Ligue 1 ce week-end, mais sans grande ligne directrice.

Samedi, les embrouilles ont démarré lors de Strasbourg-Brest (0-3), avec une incompréhension entre l'arbitre, Jérôme Brisard, et ses assistants vidéo. Il a sifflé un penalty pour les Brestois à la 56e minute, mais il a été impossible de déterminer si le ballon était sorti avant le centre de Pierre Lees-Melou qui a touché le bras du Strasbourgeois Lucas Perrin.

Au Parc des Princes, dimanche après-midi, à l'occasion de PSG-Rennes (1-1), le VAR a aussi fait parler de lui. Une première fois en bien, puisque Bastien Dechepy, l'arbitre de la rencontre, avait sifflé un penalty inexistant sur Gonçalo Ramos. Appelé par le VAR, il est logiquement revenu sur sa décision.

« Il faut que ce soit de l'assistance vidéo à l'arbitrage et pas de l'arbitrage vidéo. »

Éric Borghini, président de la commission fédérale des arbitres

Mais dans le temps additionnel, l'avant-centre portugais du PSG s'écroule à nouveau dans la surface. Cette fois-ci, Dechepy ne bronche pas. Mais sollicité à nouveau, il donne finalement penalty, alors qu'aucune image probante n'accrédite la faute et qu'il n'a donc pas commis d'erreur manifeste. « C'est des "penalties grande équipe" ça, ou dans certains stades, pas partout », s'est agacé Julien Stéphan, l'entraîneur rennais. Sanctionné d'une faute et d'un carton jaune sur l'action, Steve Mandanda n'en démordait pas : Gonçalo Ramos s'est jeté dans ses jambes : « Prendre ce penalty comme ça, à la fin... En plus, une décision... Après, il a bien joué le coup. Il a poussé. Quand on regarde le ralenti, il commence à tomber avant même le contact avec moi. »

Cette action, comme bien d'autres avant elle, illustre une dérive qu'il convient de corriger, selon Éric Borghini, le président de la commission fédérale des arbitres (CFA). « Il est clair qu'il y a actuellement un problème dans l'application du protocole VAR avec des polémiques à répétition, lance-t-il. Très probablement, la CFA et la Direction de l'arbitrage vont être amenées à repréciser les missions de la VAR pour revenir à ce qui était la philosophie initiale, c'est-à-dire corriger, dans les cas prévus dans le protocole, une décision clairement erronée de l'arbitre (le texte parle d'« erreur manifeste »). S'il faut un nombre incalculable de ralentis et des examens des images sous tous les angles pour s'apercevoir que, finalement, il y a peut-être un doute, on ne devrait pas avoir à intervenir. La décision de terrain devrait prévaloir. L'arbitre VAR, c'est le juge de l'évidence. Il faut clarifier les choses car personne ne comprend plus rien, ni les joueurs, ni les entraîneurs, ni les clubs. Les arbitres sont probablement perdus. Il va falloir décider rapidement. Il faut que ce soit de l'assistance vidéo à l'arbitrage et pas de l'arbitrage vidéo. »

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J’ai lu cet article ce matin et je trouve ce passage extrêmement déplacé : « Cette fois-ci, Dechepy ne bronche pas. Mais sollicité à nouveau, il donne finalement penalty, alors qu'aucune image probante n'accrédite la faute et qu'il n'a donc pas commis d'erreur manifeste. »

Depuis quand sont-ils arbitres professionnels ? Les journalistes de l’Equipe participent en permanence à ce qu’ils critiquent…

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On donnera un peu d’air aux arbitres le jour où on fera peser un peu de responsabilité sur les coachs en passant de la/le VAR au challenge vidéo comme en dans les principaux sports américains (NFL/NBA/NHL). On gagnera du temps, ce sera plus clair et les arbitres ne seront plus attaquables sans conséquence sur chaque action. Bien entendu ça ne règlera pas tout mais ça repartira un peu mieux entre les acteurs la charge du problème.

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